Nous sommes en GUERRE ? Alors FAISONS-LA !

par VICTOR Ayoli
samedi 16 juillet 2016

Nous sommes en guerre nous serinent nos responsables. Et dans cette guerre nous venons de perdre une nouvelle bataille. Avec des dizaines de morts civils innocents. Alors, on pleure, on on se bat ?

Le jour même où défilaient gaillardement nos forces armées sur « la plus belle avenue du monde », en un lieu où la foule heureuse saluait les gerbes lumineuses du traditionnel feu d’artifice, marqueur traditionnel de notre Fête Nationale. Fête qui exalte nos valeurs de liberté, d’égalité, de fraternité, valeurs conquises dans le sang et les larmes contre la dictature des monarques et l’obscurantisme des religieux.

Ce sont justement ces symboles qu’abhorrent les ennemis qui tuent chez nous. Ennemis qu’il faut savoir nommer : les adeptes de l’islam salafiste. Ennemis enfermés dans des luttes sanguinaires mais archaïques jusque dans leur vocabulaire, parlant de « croisés », de « mécréants », d'« infidèles ». On cauchemarde devant tant de débilité mentale.

Ceux-là détestent la Fête.

Ceux-là rejettent l’égalité, en particulier celle homme femme.

Ceux-là se qualifient entre eux de Frères, mais rejettent tous ceux qui ne sont pas strictement de leur secte.

Ceux-là se réfèrent à une idéologie obscurantiste n’admettant aucune contradiction.

Ceux-là vénèrent la mort, celle des autres comme la leur.

Ceux-là se revendiquent d’une névrose collective appelée « religion », canal islam wahabite.

Ceux-là ont déclaré la guerre aux valeurs de l’Occident en date du 11 septembre 2001.

Il faut dès lors bien admettre cet état de guerre et agir en conséquence. La guerre, ce n’est pas la discussion de café du commerce ; c’est une chose horrible qu’il faut livrer « in fine » avec tous les moyens dont on dispose, une priorité absolue et une stratégie claire et pérenne. Tous les moyens, cela veut dire tous les moyens. Une stratégie claire dans le contexte actuel consisterait à éradiquer l’islamisme en y mettant tous les moyens policiers, militaires et citoyens disponibles, tout en luttant avec acharnement, culturellement et politiquement contre l’islamisation rampante de la société avec les lois de la République et la défense intransigeante de la laïcité. Ce qui serait aussi rendre service aux musulmans de France qui souhaitent vivre en paix et que la République a le devoir de protéger. Comme elle a le devoir de protéger les athées, aussi.

Qu’est-ce qui motive ces tueurs de masse ? La haine de notre mode de vie fait d’un goût du vivre ensemble, d’égalité homme femme, de tolérance envers les choix de vie y compris sexuels, du goût de la fête, du rejet de tous les tabous, d’acceptation de toutes les religions et de ne pas avoir de religion du tout, etc.

Les tueurs sont parmi nous, ils sont de chez nous, ils sont souvent nés sur notre sol, ont été éduqués selon nos valeurs. Et pourtant ils tuent. Ils nous tuent au nom d’une dérive sectaire qui, certes, n’est pas l’islam, mais qui pourtant s’en revendique. Ces tueurs lobotomisés sont responsables de leurs actes. Ils ne sont ni des malades mentaux, ni des « loups solitaires » victime d’une société qui les rejetterait (selon la doxa des idiots utiles des nazislamistes). Mais ils partagent cette responsabilité avec ceux qui les endoctrinent et les poussent à l’acte : les imams ultra-radicaux qui puisent leur idéologie haineuse dans la doctrine des frères musulmans et du salafisme. Ce sont eux qui encouragent et légitiment les actes les plus barbares.

Qui est-il cet assassin du carnage de Nice ? Ce serait, paraît-il une petite racaille venue du Maghreb pratiquer ses talents nuisibles sur la Côte d’azur. Ils sont nombreux à franchir impunément la Méditerranée pour venir sévir chez nous. S’est-il « radicalisé » sur internet ? A-t-il été sensible aux prêches de ces imams salafistes envoyés par nos « amis » de l’Arabie saoudite pour pourrir notre pays de l’intérieur ?

Ou bien est-il allé faire ses classes de tueur dans les universités de l’État Islamique, section poids lourd ? Il y a plus d’un millier de Français qui sont allés y « faire leurs études de tueur ». Ils seraient paraît-il parmi les plus sanguinaires. Et ils sont des centaines à revenir. Pour se repentir ou pour former des cellules dormantes prêtes à être activées ? Comment peut-on avoir la naïveté de croire que les tueurs de l’État Islamique accepteraient de voir retourner dans leur pays d’origine des « volontaires » qui se dégonfleraient ? Les lâches, chez eux, sont tout simplement tués pour l’exemple. Donc tous ceux qui reviennent sont des tueurs de confiance, des durs fanatiques, des endoctrinés à mort.

«  Non, l’islam, ce n’est pas ça » s’égosillent les islamo-gaucho-bobos qui déguisent leur peur en tolérance et dont les jérémiades incitent à la résignation.

« Nous sommes en guerre » nous serinent Hollande et Valls. Mais pour faire la guerre, il faut combattre. Avoir peur de se battre, se résigner, c’est déjà avoir perdu. La guerre, si on la fait, il faut se donner les moyens de la gagner sinon on se soumet et on rampe, sans honneur ni dignité.

Dès lors puisque « nous sommes en guerre » ce sont donc les lois de la guerre qui doivent s’appliquer, pas le droit commun. En temps de guerre, les citoyens d’un pays qui passent à l’ennemi sont des traîtres, des déserteurs et doivent être traités comme tels, sans s’empêtrer dans des considérations morales contre des ennemis qui se torchent souverainement avec toute morale.

Les moyens, ils sont ceux de la police, de l’armée, surtout du renseignement puisque l’ennemi est dans la place « comme une poisson dans l'eau ». Mais pour ce faire, encore faut-il ne pas casser ce qui existe, comme Sarko supprimant les Renseignements Généraux et supprimant 13 000 policiers. Les services ne sont pas coordonnés, ils se tirent la bourre, ne se communiquent pas, ou avec réticence, leurs informations, les gendarmes, pourtant au plus près de la population, ne sont même pas intégrés aux services de renseignement. Et que dire de ces services au niveau européen ! Nul ! Scandaleusement nul !

Les moyens doivent être au service d’une stratégie. La stratégie actuelle à pour but de rassurer. C’est le plan Vigipirate, l’opération Sentinelle, les soldats patrouillant dans les gares, etc. Ça rassure, mais ça n’empêche rien. Le carnage de Nice en est l’illustration dramatique…

En temps de guerre, il faut apprendre à vivre avec le danger d’être tué sournoisement, lâchement. Ça, c’est pour la mentalité des citoyens. Finie la belle tranquillité d’esprit : « Les guerres, c’est loin ». Non, maintenant c’est ici. Le danger est partout et tous les jours. Tout peut être une arme par destination, comme ce camion. Et les tueurs potentiels susceptibles de les activer sont partout, sous l'influence de ces sectes barbares appelant quotidiennement au meurtre des « mécréants ».

Les autorités doivent donc passer à une stratégie différente.

D’abord sécuriser tous les lieux publics écoles, stades, aéroports, gares, etc. Non pas par des vérifications aléatoires, mais par le passage sous des portiques de détection, la fouille systématique de tous les sacs, etc. C’est très chiant, c'est cher, ça demande beaucoup de personnel. C’est vrai, mais puisque c’est la guerre, il faut en passer par là et se donner les moyens de lutter. On ne vit pas en temps de guerre avec l'insouciance confortable des temps de paix. Il reste encore bien des vieux de la vieille qui peuvent en témoigner.

Ne pas laisser rentrer n'importe qui venant de pays où vivent des gens potentiellement hostiles. Et expulser sans état d 'âme tout étranger condamné pour quelque fait que ce soit. Mettre en rétention tout individu classé S.

Traquer et « neutraliser » les salafistes « jusque dans les chiottes » comme disait Poutine. Pour cela, il est indispensable de s’appuyer sur les Français de culture musulmane, les mieux placés pour détecter les tueurs potentiels. D’autant plus que la « communauté musulmane » y semble prête. La marche de Mantes-la-jolie en solidarité avec les deux policiers lâchement assassinés marque une prise de conscience très positive. Comme les prises de position immédiate et sans restriction des diverses organisations musulmanes comme la Mosquée de Paris de Boubaqueur et même l’UOIF.

S’occuper de cette jeunesse issue de l’immigration afin de détourner les plus fragiles de l'idéologie de mort que leur propose les salafistes. En soutenant, en aidant ceux qui le méritent, quitte à instituer dans une certaine mesure et provisoirement une « discrimination positive ». Mais aussi en mettant hors d’état de nuire sans faiblesse les quelques milliers de racailles qui pourrissent la vie des cités. Pour ce faire, la légalisation du cannabis couperait l’herbe sous les pieds de tous ces petits délinquants, viviers des salafistes.

Enfin, sur les « opex », les théâtres d'opération extérieur, il convient d'être pragmatique pour être efficace et non satisfaire les lubies mercantiles des Etasuniens ou de Frau Merkel. Ce qui veut dire s'allier avec ceux qui, réellement, luttent contre l’État Islamique : l'armée de Bachar el Assad, les Kurdes et les Russes. Hors de ça, point de salut.

La France est un peuple guerrier. C’est comme ça. Alors cessons les jérémiades, cessons les « Je suis Charlie », cessons les « Priez pour Nice », cessons les « Aux larmes citoyens » et les dessins de colombe qui pleure, cessons d'être des moutons bêlant sous le couteau de l'égorgeur, cessons de laisser nos ennemis « venir jusque dans nos bras égorger nos fils et nos compagnes. »

Le moment est revenue de criez « Aux armes citoyens » et de « former nos bataillons ».

Puisque nous sommes en guerre, faisons-là !

 

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