On s’éteint...

par Frimas
jeudi 18 février 2021

 

Par ailleurs le tout semble couplé à des parents angoissés surclassés de faux calculs dont leur concept d'avenir se composait certainement d'un tout autre, de subjectif, d'honnêtement autre que synthétique, devenant internés et gênés face à tant de confusions les amenant en principe à devoir porter scrupule sur une réalité vécue d'où l'addiction considérable cédant à une substantielle pénibilité à la mutation électronique de toute leur progéniture ramant de droite à gauche sans jamais pouvoir se confier à un milieu de toute façon délocalisé et qui ne sait plus ou aller là ici où on passe des générations entières à la passoire et j'ai pensé qu'elle lui manque des ailes à cette jouvence pour s'élever d'une terre d'émotions automatisées, aux directives hyperactives. Le symptôme est ce qui a été créé jusqu'à maintenant et certains diront éventuellement qu'il s'agit d'une sagesse munie d'anciens réflexes mais tout compte fait, l'épaisseur aride de ce contenant industrialisé finira par stimuler tout le monde avec le cauchemar du devoir, etc...

A la fin de cette journée de travail dont j'aurai jamais accès hors de ce monde commun à m'accomplir ici et assis où tout semble permis, avec tout ceci dont je me sers ; je m'imprime l'alléchante pensée censée désenvoûter l'utopie absolue comme ils adorent l'expliquer aux adages hypocoristiques qu'est de m'efforcer à continuer à proposer une définition à l'âme au sujet de la défiguration que l'esprit refuse de toutes forces ; je me finis en perpétrant encore et toujours les mêmes gestes arriérés et insensés dont profitent au final le cheptel dirigeant, cet amas imbécile quoique robuste à toute contestation mais peu importe... Leur rétrécissement continue, leurs jours sont lointains sous l'ozone. Voici : Autrefois l'adaptation aux choses me semblait liée aux conditions même avant qu'une nécessité d'un futur entame la crédulité nécessaire à accepter cette vie abrégée, inculte mais chaleureusement approprié aux corps vides qui peuplent ces industries ou ce qui est proposé en guise d'uniforme ; c'est une illusion de croire qu'un paysage intérieur où on s'accroche à de nouvelles idées existerait encore... On est là à demander de nous délivrer de ce futur chimérique qui nous attend tous enseveli sous la présence noire de ce qui est irrémédiablement donné au néant ou de tout ce qui peut subvenir aux besoins actuels, c'est-à-dire illusoires et immolants dont seul l'intérêt s'imagine gagnant.

& puis de quoi on se sent coupable ? Je me suis à peine dit que la meilleure marchandise de cette ère industrielle n'est autre que coupable, elle ne peut se donner le privilège d'avoir si facilement à discuter de quelque chose d'exclusif ; on n'est pas coupable, ni abouti ; il me semble avant que la loi des truants de tromperie qui intégrent leur funeste bile en suivant le même tracé macabre accaparant tout essai de la populace à savoir se reconsidérer à une retraite plaintive à refuser toutes ces améliorations en bloc, il y avait peut être l'aboutissement de ces quelques dizaines de milliers d'années d'évolution humaine en que corpus généalogique mais non finalement. La lumière qui éclaire ces hallucinations doit être substitué à l'amour de toutes choses pratiques, utile ou autre sortie d'un meilleur vouloir sans à devoir réclamer son contraire. J'ai lu ceci s'agissant de ce que nous entendons tous sous excès de paroles dont l'origine trouve sa source même du problème : un système nerveux positiviste modélisé à tout ce qui nous permet de refaire vivre nos rêves de ce qui pourrait nous condamner à multiplier les sensations de ce torchon de vie actuelle ; une sorte de suite de leçons au bien commun à faire aboutir cette civilisation ancrée sur son point d'appui avant de faire "décoller" tout le monde : une illusion qui s'attache à perpétuité le corps de tous à son anatomie perfectible sujet aux pires convoitises qu'on est obliger d'inventer, des figures flétries et rancies qui n'ont d'autre imagination qu'à s'étendre sur l'échafaud et s'y croire la substance d'un désir positif hors de la réalité immédiate... On ne tient pas place face à la perfection là ici ; frappé à l'évidence... Que propose-t-elle la clientèle, ce type de cheptel humain idéal qui ne saura jamais se contenter de ce qui est pas entré en phase de métamorphose... Que propose-t-elle mise à part une utilité physique qui s'arrache ces dernières misères morales sur un poste de travail sous forme de fantôme s'endurcissant aux ordres sans prescience sans jamais à devoir avoir recours au bien judicieux problème initial qu'est la pensée...

& puis il y a une préoccupation à l'égard de l'esprit qui somnole tout en s'évadant quelque part sans pouvoir créér ce qu'on lui propose de judicieux, créatif ou d'inédit à faire sur une chaîne télévision intégrant le marché captif soumis à la source même de tout détraquement vendu en fantaisie colorée que j'estime malgré tout nécessaire en adaptant son comportement de ce qui nous reste encore d'endommageable : un terme encore plus souhaitable ! Voici : Minuit passé sans direction à prendre, sans recourir au moindre de mes souvenirs assis ici à penser tout en surnageant le chaos que la stratégie industielle appelle le "début de la soirée bien méritée après une journée de travail bien remplie", il est par conséquent pas trop difficle de se croire exceptionnel au moment de se croire propriétaire du passé qui vient de faire institution selon des moyens assez similaires qui lui sont propres tout en massacrant ses gains, la dépouille qui détruit les uns et tue les autres car ils en sont arrivés tellement loin dans la basse-cour en finissant par constater leur instrumentalité ; s'étendant sous la pluie acide, couchés, sanglotants. Pour la plupart, la liberté avec laquelle ils comptent se concevoir hors raison de vivre telle connue aujourd'hui avec ses bienfaits à intelligence d'un écolier proposé à tord au procédé que des ingénieurs qui leurs obligent à ingérér des rigueurs incompréhensibles, etc... J'ai arrêté de parler pendant la consistance d'une méditation censé m'épaissir le tracé vers quelque part, un contenu de matière avec largeur et format mais non. Cela ne fonctionne plus : Je suis parvenu à me synthétiser en une âme vacante qui me définit à me place désormais polluée pareillement le résultat d'une traversée d'un continent entier sans en compter les kilomètres parcourus, hors vocabulaire, perpétuellement fatigué, ni de dehors sans avoir recours à un filtre à air, ici, uni aux maladies cardiaques ou les cellules cancéreuses se prostituant aux décisions de guérision selon le diktat de l'économie planétaire mais peu importe... Que reste-t-il à l'intérieur du règne universel dans lequel on est incarcéré avec des cloisons mobiles, des réfrigérateurs achetant des denrées phosphorescentes à notre place qu'on peut contrôler au chaud dans un quelconque bureau ; s'assurer qu'il n'a rien oublié entre deux pertes de connections de réseau... Mais il a oublié quoi ? Notre vie se résumant à actionner un bouton avec une lumière dedans, que rien n'existe plus à l'extérieur aux intérieurs de l'étroite cloison qu'on chérit dans sa totalité ramassée condamnée aux oubliettes mais peut être il y a des enfants encore qui se lèveront tôt le matin tout en n'oubliant au grand jamais les mêmes sottes habitudes et allumer des lampes à leur tour. L'incomparable du même-chose de ces choses-là entretiennent j'ai pensé, l'expression même du bien-être de la vie totalement dépourvue d'un état d'esprit.


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