Onze vaccins imposés, une catastrophe sanitaire annoncée

par Paul et Danièle PIERRA
vendredi 14 juillet 2017

La proposition de vaccinations obligatoires avancée par Mme Marisol Touraine va être imposée par notre ministre de la santé, Mme Agnès Buzyn qui, sans discussion, va légaliser un vaccin contre 11 pathologies. Il est temps de nous informer, de scruter les réseaux sociaux, de s'instruire sur le sujet, de se forger une opinion et de réagir. Des citoyens, à la suite de l'obligation vaccinale des enfants avec l'infanrix hexa contenant donc six valences mais surtout, des sels d'aluminium, ont saisi le Conseil d'Etat concernant la non disponibilité du vaccin obligatoire DTP (à 3 valences). Huit arrêts de celui-ci, confirme le lien entre aluminium vaccinal et la myofascite à macrophage. Le Conseil d'Etat a mis en demeure l'Etat, soit d'arrêter l'obligation de vaccination, soit de revoir sa politique sur cette question dans les six mois. Cette échéance arrive début août 2017. Voila pourquoi nous sommes aujourd'hui confrontés à l'inimaginable : un vaccin contre 11 pathologies et contenant de l'aluminium.

Je fais partie de "ceux qui ne sont rien" en opposition à ceux qui réussissent, comme disait Monsieur le Président Macron. Convaincue de l'importance de la vaccination, je me bats cependant par le biais des seules armes en ma possession, ma plume et ma ténacité , contre l'adjuvant aluminium. Eprouvée par la perte d'un de mes enfants, je ne suis pas prête a être la spectatrice docile et décérébrée d'une catastrophe annoncée, car j'ai deux adorables petits enfants. Beaucoup d'entre nous doutent de l'innocuité des adjuvants et évoquent le principe de précaution. L'institut Pasteur lui-même, avant sa fusion avec Sanofi, avait retiré en 1974 l'aluminium de ses vaccins. Ainsi, il a utilisé entre 1974 et 1986 le phosphate de calcium. Celui-ci qui est un composant naturel de l'organisme avait fait ses preuves à la satisfaction générale.

Tout est fait dans les batailles d'experts, pour nous déstabiliser. Les experts sont méprisés. Monsieur André Cilolella, président du réseau environnement santé (RES) dénonçait "la position obscurantiste des autorités sanitaires qui tendent à marginaliser les experts" (source : futura-science).

Le président de l'Union Nationale des Associations Citoyennes de santé (UNAC) s'inquiète : "les vaccins ont des effets secondaires neurologiques, musculaires, mal mesurés et parfois irréversibles", "on ne laissera pas faire", dit-il.

Devant tant d'obscurantisme, de controverses, la suspicion s'installe en toute légitimité.

L'Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM) a annoncé qu'elle ne financerait pas la poursuite de ses travaux sur les adjuvants à l'aluminium. Pourquoi ?

L'académie nationale de médecine avait reconnu que l'aluminium pouvait pénétrer dans le cerveau, mais s'est déclarée hostile à tout moratoire sur le sujet.

Madame Michèle Rivasi, députée Européenne et professeure agrégée en SVTU, était l'invitée du journaliste Jean-Jacques Bourdin sur RMC le 5/1/2005. Elle s'indignait : "les laboratoires pharmaceutiques achètent tout le monde", avec force de dénonciation, de personnalités politiques compromises (encore visible sur le net). Le professeur et chercheur Monsieur Authier et le neuropathologiste Romain Ghérardi (hôpital Mondor) ont démontré, avec des technologies très récentes, la nocivité de l'aluminium, grâce à des biopsies systématiques. L'aluminium ne se dissout pas dans l'organisme mais s'accumule dans le système nerveux central, causant la myofascite à macrophages (cela cause fatigue chronique, fièvre, troubles neurologiques). Cette maladie, suivant notre terrain génétique et notre état de santé, touche 5% de la population. Près de 78% des malades sont en invalidité totale. Chez le nourrisson (vaccins obligatoires à deux mois) dont la fonction rénale n'est encore bien en place, une partie des sels d'aluminium via le transport sanguin, passe la barrière hémato- encéphalique.

Le professeur Michel Georget souligne qu'aucun organisme vivant n'utilise d'aluminium. Il s'agit d'un métal neurotoxique. La situation actuelle est d'autant plus préoccupante que l'évaluation des propriétés pharmacocinétiques n'est pas nécessaire pour les vaccins (la pharmacocinétique a pour but d'étudier le devenir d'une substance active contenue dans un médicament après son administration dans l'organisme (source : extrait "d'envoyé spécial du 11/02/2016).

Le biochimiste britannique Christophe Exley travaille sur l'aluminium depuis 20 ans et se demande si les maladies auto immunes, comme la sclérose en plaques ne seraient pas liées à l'aluminium ?

L'AFSSAPS (agence du médicament) recommande de ne pas utiliser de produits cosmétiques contenant ce métal sur peau lésée.

Comme une ironie supplémentaire, sur nos écrans, les publicitaires avancent comme argument de vente : "sans aluminium" pour la publicité d'un déodorant connu !

Le laboratoire Mérial, filiale de Sanofi pour les produits vétérinaires, a retiré l'aluminium de ses vaccins face à une recrudescence du "sarcome félin" imputée aux sels d'aluminium.

Parmi les 11 vaccins on trouve la valence contre l'hépatite B. En 1994 le gouvernement français a fait procéder à une vaccination massive de la population (un peu plus du tiers de la population a été vacciné). Certaines personnes ont subi des effets secondaires neurologiques, notamment, un millier de scléroses en plaques. La campagne fut suspendue.

Seule l'Italie, nous bat avec douze vaccins obligatoires provoquant une vague de protestations au sein du pays et dans le monde entier. Les premiers exilés vaccinaux ont dû quitter leur pays pour l'Autriche. Parallèlement, l'indice de perception de la corruption, en Italie, élaboré par l'ONG transparency international est l'un des plus catastrophiques d'Europe.

La loi Kouchner du 4 mars 2002 revendique la liberté de choix pour tous après information complète et objective. Ce qui risque de nous tomber dessus est donc la parfaite antithèse de la loi Kouchner !

Madame la ministre de la santé Agnès Buzyn, professeure d'hématologie et présidente de nombreuses et prestigieuses institutions, déclare qu'un bon expert est un expert proche de l'industrie pharmaceutique (comme elle l'a été par ailleurs). Cette affirmation scandalise une bonne partie du monde médical et surtout, la pneumologue, Madame Irène Frachon, docteur et lanceuse d'alerte sur les dangers du médiator. Par ailleurs, l'époux de la ministre de la santé, Yves Levy, est PDG de l'institut des sciences et de la recherche médicale (INSERM). C'est ce même institut, l'INSERM, qui a supprimé tous les crédits de recherche au professeur et chercheur Monsieur Le Bihan du CHU de Brest. Son délit : avoir soutenu le docteur Irène Frachon dans son enquête sur les dangers du médiator.

Le professeur Le Bihan, dépité, est parti et vit depuis au Canada (source wikipédia la fille de Brest, dans synopsis).

J'espère que Madame la ministre de la santé entendra notre désarroi et que la santé des enfants de ce pays ne sera sacrifiée sur l'autel de la cupidité des laboratoires pharmaceutiques.

Le professeur Montagnier, prix Nobel de médecine en 2008, s'offusque publiquement : "ce sont souvent les adjuvants qui créent ces problèmes de réactions anormales aux vaccins ... J'enrage de voir que ce problème est totalement nié pour des intérêts pharmaceutiques, des intérêts politiques".


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