Patrice Quarteron, champion de boxe thai et patriote met KO les racailles !

par Coeur de la Beauce
lundi 28 août 2017

« Quand vous portez un drapeau d’un pays où vous ne vivez pas, on vous dit “bravo, j’adore, c’est courageux, c’est un signe d’ouverture”. Quand on porte le drapeau du pays dans lequel vous vivez, où vous payez vos impôts, avec lequel vous souffrez, aimez, combattez, on vous dit : “t’es un chien, un putain de facho”. Je porte mon drapeau fièrement. Et j’emmerde les fils de putes qui préfèrent se sentir américains, marocains, russes etc tout ça parce qu’ils vont en vacances une semaine dans un autre pays et reviennent en se sentant étrangers à leur propre pays. Soyez patriotes et reconnaissants. Vous devez tout à la France. »

Merci au champion de boxe thai Patrice Quarteron pour cette déclaration qui démontre que les temps commencent à changer, trois cents morts après les attentats islamistes, et quinze ans après l'abandon de notre souveraineté au profit de la mafia libérale. Après avoir remporté un combat d'importance, il s'est enrobé du drapeau tricolore et a entonné l'hymne national, en fustigeant les idiots de service comme ils le méritent.

Les réseaux sociaux se sont déchainés à son encontre comme il se doit. "Bounty", "traitre", "harki" etc. Tous les ingrats, paresseux, rappeurs de local à poubelle et autres associaux ne sont pas restés indifférents au recadrage salutaire de Patrice, qui nous rappelle le rôle civique des sportifs de haut niveau. Il est dans la lignée d'un Zidane qui déclarait, au soir de la victoire de 1998, qu'il était "français et rien d'autre", à quelques journalistes échappés des locaux de Libération qui entendaient lui rappeler ses origines kabyles. Car comme l'a démontré le philosophe Jean-Claude Milner, une certaine gauche n'aime les enfants de l'immigration que tant qu'ils restent à leur place, dans leur rôle de "discriminés" de service.

On remarquera qu'une bonne partie de la jeunesse des quartiers populaires refuse de se remettre en question, de faire l'effort de suivre une scolarité, de se lever tôt le matin et de s'intéresser à la politique donc au collectif, en préférant s'auto-victimiser plutôt que de chercher à comprendre. Patrice Quarteron n'est pas de ceux-là, comme une bonne partie de mes anciens élèves que je croise parfois dans Paris, qui travaillent et fustigent eux-aussi les parasites et les voyous (j'ai été enseignant en banlieue durant douze ans). 

La comédie du "racisme" et des "discriminations" commence à prendre fin, car même les films les plus mauvais en ont une. Ceux, comme Patrice, qui ont grandi dans des logements avec tout le confort, se sont instruits à l'école gratuite (est-ce le cas partout ailleurs ?) et ont bénéficié de notre système social, se doivent de remercier la France pour sa générosité. En contrepartie, ils ont fait des efforts et se sont intégrés, donc chacun les respectent. Ils n'y a que les délinquants et les profiteurs qui rencontrent une légitime hostilité de la part des braves gens.

Rappelons également que le communautarisme et l'anti-racisme sont une émulation de la gauche bobo qui entendait faire oublier au peuple sa conversion au capitalisme intégral (tournant de 1983). Si des jeunes souhaitent "niquer", qu'ils s'en prennent à qui de droit et pas à leurs voisins de palier à la retraite. 

Les temps comment donc à changer dans la bonne voie. Merci à Patrice Quarteron d'être sorti du ring pour nous rappeler que les plus grands champions sont ceux qui allient la force à l'intelligence, l'arme la plus efficace face aux médiocres et aux sophistes. Bonne continuation à lui !

 


Lire l'article complet, et les commentaires