Pile je gagne, face tu perds !

par Clark Kent
jeudi 23 juin 2016

Quelle que soit l’issue du référendum qui se déroule en Grande-Bretagne, c’est le camp du « in » qui sera vainqueur.

Il ne peut pas en être autrement.

Les dirigeants veulent que le Royaume-Uni reste dans l’Union Européenne, et il restera... même si les électeurs choisissent l’autre proposition de l’alternative.

Ce n’est pas la logique de la « démocratie » qui est le moteur des institutions européennes. Nous sommes scellés dans un bloc monolithique, un monde occidental sans coutures, coulé dans le béton armé, et le reste du monde devra soit s'opposer farouchement soit s’y intégrer.

Les seuls adversaires crédibles sont La Russie et la Chine, mais les deux états ne constituent pas un bloc unifié pouvant se positionner comme rival.

La Grande-Bretagne est trop peuplée pour que l'UE accepte que son maintien dans l’union soit laissé au hasard d'une élection. Quelle que soit l’issue du vote, il se passera ce qui s’est déjà passé en République d'Irlande, en France, aux Pays-Bas, en Suède et en Grèce. Si les électeurs n’ont pas "compris" ce que leurs dirigeants attendent d’eux, s’ils se "trompent" de bulletin, alors il existe deux issues :

Les exemples ne manquent pas dans le passé, comme le montre le tableau ci-dessous :

 

Issues des votes dans l’UE

 


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