Réchauffement climatique, CO2 et carbo-dollars !

par Nicole Cheverney
jeudi 15 décembre 2022

La théorie du réchauffement climatique a commencé à prendre une réelle ampleur médiatique avec le film de propagande d’Al Gore, sorti en 2006 : An inconvenient truth. Il nous présentait la planète Terre comme une grosse boule victime des « activités humaines » qui influenceraient le climat. En cause, une surcharge de CO2 émise dans l’atmosphère, générant un effet de serre et un réchauffement climatique planétaire. Les scientifiques les plus sérieux et maîtrisant bien le sujet, ont commencé à tiquer et lever les sourcils, devant l’audace de cette théorie. Mais l’Américain Al Gore, fort du succès de ses allégations et très en vogue chez les industriels intéressés par le capitalisme vert, une nouvelle façon d’envisager la spéculation dans le petit monde de la Bourse et de l’investissement, n’en restait pas moins droit dans ses bottes.

Al Gore estimait qu’il fallait « mettre les mécanismes de l’économie de marché au service des questions environnementales  ». En langage non codé et moins diplomatique, cela veut dire : faire du business sur les questions environnementales. Et pour faire du business, il faut s’adresser au plus grand nombre, pour cela faire une propagande massue auprès du public, inventer un « concept », celui du CO2, tout en influençant l’opinion publique et auprès des jeunes, assurément malléables et réceptifs à merci.

Al Gore fut aussi un des membres éminents du Conseil d’Administration du Forum Economique Mondial de Davos, piloté par Klaus Swhab. Un Davos qui entraînait dans ses bouffissures toutes les errances ultra-libérales dont nous avons tant à souffrir, et qui ont, avec le temps et les années atteint la côte d’alerte.

Al Gore et ses émules, n’ont pas seulement fait un succès publicitaire de leurs obsessions carbonifères avec le CO2, ils ont entraîné derrière eux, toute une génération d’écologistes, de jeunes idéalistes, d’arrivistes et de vieux briscards de la politique qui trouvèrent dans l’écologie, une reconversion à peu de frais avec le réchauffisme, l’alarmisme. De nouvelles pistes à emprunter pour leur idéologie fondée sur le mantra suivant : les activités humaines influencent le climat et génèrent par un dégagement intensif de CO2, le réchauffement climatique.

Là, vous entrez en religion ! Car émettre ne serait-ce qu’un seul doute sur cette nouvelle théorie, vous hisse directement sur le bûcher hérétique. Vous n’avez pas le droit de remettre en cause les déclarations du GIEC ! Seul organe autorisé à émettre des opinions sur les problèmes liés à des questions climatique, pas même des réserves à leur opposer… C’est tout, ou rien !

De plus, appuyés par nombre de lobby, think tank, spin doctor, tous venus du monde anglo-saxon pour rafaler les Latins que nous sommes avec leurs slogans et leurs formules pré-mâchées, les théoriciens ont beau jeu de vous imposer leurs vues. Malheureusement, malgré notre façon de penser, d’envisager le monde si différemment, nous avons rapidement pris à bras le corps tous les résidus philosophico- sociologiques et pseudos scientifiques qui n’ont rien à voir avec la réalité de notre planète, de son fonctionnement, de sa composition, de sa propre énergie, du système solaire qui la meut, lunaire, maritime, volcanique, qui l’influencent… Bref, depuis deux décennies au moins, faussaires et mystificateurs s’emploient à globaliser – comme ils veulent le faire pour l’économie et la finance, tous les climats innombrables de notre vieille planète Terre.

Parfois les termes varient, on vous parlera aussi, du dérèglement climatique, comme si les climats devaient être réglés une bonne fois pour toutes comme du papier à musique ! Alors qu’il n’y a rien de plus instable que les températures qui engendrent les climats, de part et d’autres du monde ! La distinction est ici importante, pour échapper à la « globalisation » des esprits. En général on parle de la multitude de climats qui existent sur terre et non « du  » climat en général. L’expression « se battre pour le climat », est marquée du sceau de l’imbécillité la plus crasse, de l’ignorance et de cette sorte de nouvel obscurantisme qui fait de nous les réceptacles de toutes les escroqueries politiciennes.

Au moment où j’écris ces lignes nous sommes le 13 décembre 2022, avec une température extérieure de 5 °, dans ma région, et une pluie glaciale qui tombe depuis potron-minet. Nous sommes bien loin du fameux réchauffement climatique, qui fait les beaux jours des théories climatiques, sujets jugés très importants par l’Oligarchie. D’ailleurs vous remarquerez que l’expression : réchauffement climatique n’est utilisé qu’en été où il fait chaud, très chaud parfois. L’hiver on vous parlera de « transition écologique absolument nécessaire pour combattre le CO2 et parvenir à zéro CO2 », comme les Chinois l’exigent avec leur « crédit social », un instrument totalitaire. Instrument totalitaire dont rêvent les Oligarques occidentaux pour nous l’imposer à notre tour.

Au nom de cette bouffonnerie mediatico-politique, des mesures abominables seront prises contre le Peuple, cela a commencé et risque de perdurer.

Je résume : en Hollande, les agriculteurs hollandais sont sommés par l’UE d’abattre leur cheptel de bovins – 800 000 agriculteurs et éleveurs sont concernés – Car au nom du CO2, les vaches en déféquant largueraient du méthane, le méthane dégagerait du CO2, le CO2 un effet de serre, l’effet de serre, le réchauffement climatique, et ça n’en finit plus. Idem en Espagne, où récemment, le gouvernement espagnol, sur les injonctions de l’UE, demandait récemment aux agriculteurs espagnols d’abattre leur cheptel de bovins, les pets de vaches ibères libérant des tonnes de CO2. Et puis, une vache, ça mange, ça rumine, et ça aussi c’est autant de CO2 qui part dans l’air, et donc, la planète souffre !

Avec le slogan entraînant et très musical,« C’est bon pour la planète » ! nous sommes loin d’un ultime amusement oligarchique. Il s’agit maintenant de museler les peuples, de les contraindre, de les conduire à des solutions insensées. Comme le propose l’Allemand Shwab, celui qui murmure à l’oreille des dirigeants de la planète ! Et leur impose son fameux agenda 2030, avec le Great Reseat ! Dont il détaille le programme très affriolant dans son livre.

Great Reseat ou Green Reseat ? Sans valse-hésitation, les concepteurs du changement climatique, continuent leur longue liste destructive, avec des mesures visant à démolir les classes sociales. Les métiers de bouche sont dans leur viseur : dès la crise du Covid, les restaurateurs prenaient de plein fouet le confinement et ses conséquences dramatiques, combien ont fermé leurs portes, et combien se sont suicidés après des faillites en chaîne ? Les agriculteurs, touchés, quant à eux, depuis plusieurs décennies. L’Oligarchie n’aime pas les « culs-terreux », ils les écrasent du haut de leur insensibilité de technocrates. Ils préfèrent les chefs d’entreprises genre patron de grandes exploitations agricoles sous serres et de monocultures, alimentées par des panneaux solaires et des éoliennes, comme on trouve en Espagne sur des kilomètres. C’est laid pour l’environnement, mais ça n’a pas l’air d’émouvoir les mangeurs de homard et de caviar de Davos. La mort de la paysannerie européenne et des cultures vivrières débouche sur ces immenses exploitations agro-alimentaires, employant un nouveau Tiers-Etat d’importation, par ces fameuses multinationales qui les exploitent sans vergogne pour produire des marchandises très bas-de-gamme destinées aux gueux. En général, on peut escompter environ entre 3 et 5 Euros , le tarif horaire versé à un latino-américain qui vient grossir, que ce soit en Espagne dans le sud, ou en France, les rangs de ce nouveau prolétariat corvéable et sous-payé, souvent logé dans des conditions inacceptables. De même que des ONG financées depuis l’étranger nous ramène via paquebots entiers, (voir l’affaire de l’Océan Viking), de pauvres hères d’Afrique sub-saharienne, complètement largués en Occident, déboussolés, qu’on parque sous des guitounes de toiles, à Paris ou ailleurs, de préférence à Paris, qu’on entasse en attendant de les reloger et de les employer dans les multinationales remplaçant nos bons vieux commerces parisiens, artisans, etc... 

Employés et payés au lance-pierre, s’ils ne sont pas trop entamés par le crack et toutes drogues de synthèse, minés par les trafics, la prostitution, et tout ce que cela engendre comme abomination à l’encontre du genre humain. Poussés par des gens qui oeuvrent sous des dehors très caritatifs, parfaitement conscients de l’état de délabrement physique, psychologique de ces populations trimballées du Sud au Nord, d'Est en Ouest. Ces associations qui mènent le « bateau migratoire mondial », d’où qu’il vienne, Amérique du Sud ou Afrique, ou Asie sont largement soutenues par les media et l'UE. Ils nous les présentent sous leur meilleur jour, mais nous sommes loin de la face lisse de ces institutions extra-territoriales qui jouissent de droits quasiment équivalents à des diplomates en fonction.

Pourquoi détruire d’un côté l’agriculture européenne et les paysans européens ? Un illogisme gouvernemental ?

Non ! Un projet parfaitement synchronisé avec le plan de Davos et leur Agenda (un mot qu’ils adorent et qui revient régulièrement dans les media de grands chemins), une planification de destruction de la société telle que nous l’avons toujours connue, pour aller vers le magma d’un futur effrayant, avec comme ligne de conduite pour les peuples, une nouvelle religion étayée par des mises en scènes aussi sordides que les pass-sanitaires, vaxxinaux, et bientôt, énergétiques. Car toujours en fond de toile, le KONTROL total des peuples. Commençons par la santé, (épidémies, etc.) c’est une des crevasses idéologiques des plus sûres pour induire l’effroi dans la population, où ils s’y engouffrent avec frénésie. Ensuite, viendront l’obéissance à des règles « vertes », (vert-de-gris) seraient plus exactes. Pourquoi se gêner ? Continuons donc sur la lancée. Après les vaxx, le CO2, le contrôle par la monnaie numérique, facilité par l'IA, ça vient, et ce ne sera pour personne une partie de plaisir de se voir privé de ses moyens de paiement, donc de subsistance, le jour où, on ne sait qui, aura décidé d’en haut, de bloquer votre compte, parce que vous avez consommé trop de CO2 outre vos produits de première nécessité, avec le petit surplus qui fera plaisir à votre famille, en achetant de la Mozarella ou du fromage pour la raclette, etc.

Comme nous avançons gaillardement dans le domaine de la « folie généralisée », j’ai entendu une dernière info tout à fait indigne sur deux chaînes de media de grands chemins : que préparer une raclette, augmentait le risque de CO2.

CO2, réduit au simple rôle de phénomène expiatoire du gueux rendu responsable de tout, y compris lorsqu’il mange un petit from’ton très goûtu, fondu, et accompagné de viande ! Horreur, Oh ! Désespoir ! Un crime ! Une raclette, vous n’imaginez pas, c’est le crime absolu ! Pourquoi ? Car pour produire un fromage, il faut du lait, le lait sort du pis de la vache, la vache mange de l’herbe, ou du foin, bien souvent des granules, (cela dépend de l’intensité de l’élevage), et comme je l’énonçais en début d’article, ça largue et dégage du méthane, donc du CO2, etc. Et la boucle est bouclée pour les escrolos capables de nous pondre de tels œufs d’autruches médiatiques, car plus l’oeuf est gros, plus il passe !

Ce CO2 est devenu le passe-partout de l’idéologie nouvelle qui fera de nos enfants et petits-enfants, de vrais citoyens « libres » et "égaux en droit"… Un seul : celui de la boucler définitivement.

 

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