Saint Manu, Garde-Nous de l’ONU !

par lisca
jeudi 22 novembre 2018

Monsieur le Président Macron,

J'vous ecris une petite bafouille, pour pas qu'vous vous fassiez d'mouron, car je vous trouve bien pâlichon. Voici l'affaire. Il se prépare une très sournoise opération de l'ONU, un genre de troisième guerre mondiale à l'étouffée par invasion massive de notre pays. Cela vous dépasse de très loin et a été mis en œuvre avant votre arrivée à l'Elysée. Mais vous avez l'option de la refuser, comme l'ont fait d'autres présidents.

Le peuple français vous appuiera, il oubliera volontiers que vous l'avez un peu vite assigné à la léproserie, pressionné que vous étiez par vos poussahs impopulaires (qui vous lâchent actuellement) et qui vous feront la guerre, comme ils nous la font, si vous vous décidiez soudainement à agir pour notre intérêt « hexagonal ».

Vous choisissez : les poussahs ou nous. C'est votre chance historique.

Ça urge : en décembre 2018, les dirigeants mondiaux se réuniront à Marrakech pour signer le Pacte Mondial des Nations Unies afin d'obtenir, selon eux, « des migrations sûres, ordonnées et régulières » et surtout gigantesques, dont nul au monde n'a besoin, à moins d'aimer le populicide, sauf les trafiquants d'hommes et leurs affiliés.

Pour les déplacés de leurs terres natales par ordre marchand, c'est bien affligeant voire dégradant, cette transhumance imposée, décidée et financée par des malveillants richissimes et leur domesticité, que Donald Trump englobe sous le nom de collectif « Soros ».

Et pour nous, Français, contribuables, chômeurs, entrepreneurs, salariés, gilets jaunes et chemises trouées, c'est une catastrophe qu'il est superflu d'imaginer : ce futur calculé est en partie notre présent sinistré. Nos cœurs de ville et nos cœurs de Ressources Humaines se fissurent quand ils ne croulent pas. C'est la raison non exprimée des routes aussi bloquées que l'avenir de chaque petit Français né de la dernière pluie ; s'il y parvient, cet innocent déjà lourdement endetté.

Est-ce en prévision de ce « Pacte », concocté incognito par de complets incONUs, pas le moins du monde apatrides ceux-là, collectionnant souvent même les nationalités de circonstance, « pacte » qui ignore avec un culot monstre notre avis de Français et d'Européens, que vos comptables ont prévu une telle augmentation des taxes au fil des ans, et même des décennies ?

Cette chose grandiose est, paraît-il, le « tout premier accord mondial des Nations Unies sur une approche commune de la migration internationale dans toutes ses dimensions ». Accord tacite ou verbeux entre des bouffis et des errants dépendants, par lequel les premiers conservent leurs acquis en utilisant les seconds, destinés au pillage de nations, principalement ouest-européennes. Un hold-up gratiné, surhumain, financé par des malfaisants, contre notre peuple historique, monsieur le Président.

Vous le savez : chez nous, en France, les gens sont comme saignés, d'une façon ou d'une autre. L'Etat compense encore, parfois, en versant dans les bouteilles vides la substantifique moëlle qu'il prélève dans nos bouteilles débouchées. No meilleurs crus en pâtissent, tout le monde rame. Que voilà des cibles faciles, s'extasient les tartuffes qui s'auto-proclament représentants en nations unies, ce qui est un comble. Elles sont bien trop occupées à survivre pour avoir le front de s'opposer à nos perfidies. 

Leur « pacte » affirme texto qu'aucun Etat ne peut décider seul de son immigration et qu'il remet sa souveraineté et ses obligations à la « loi internationale », c'est à dire celle du renard dans le poulailler.

S'il n'est pas toujours vrai que Je soit un autre, nous savons de source sûre que le gouvernement de la France n'est pas substantiellement celui que nous voyons. Vous, par exemple, monsieur le Président. Mais vous êtes le roi de temps à autre : regardez-vous au château. Ne vous gênez surtout pas pour être royal à fond la caisse, n'ayez pas l'air si triste. Nous comprenons.

Faites comme eux : les chefs d'Etat d'Autriche, de Hongrie, de Tchéquie, de Croatie, de Bulgarie, des Etats-Unis se sont retirés du Pacte, et affirmés en tant que nations souveraines. Le président polonais dit qu'il ne signera pas ce vilain cadeau de Noël à tous les intrus du monde. Le président italien va probablement aussi envoyer l'ONU s'asseoir sur ses cactus calabrais en cette affaire.

" J’ai bien fait de bloquer les navires des ONG. J’ai ­arrêté non seulement le trafic des migrants, mais, à ce qu’il semble, également celui des déchets » toxiques, a déclaré Matteo Salvini le 20 novembre 2018.

La question se pose : pourquoi ce hold-up des braves gens de chez nous ? Pourquoi ce massacre à petit feu des Européens en général et des Français en particulier, par la dette, par l'étouffement et l'expropriation ?

Ils ont pourtant été saignés sans relâche ou presque depuis plus de deux siècles. Terreur, grognards, tranchées, j'en passe et de nombreuses ! Aujourd'hui dépression partout, psychotropes en nombre record ! L'hécatombe se poursuit, la tombe se profile.

Pourquoi tant de haine, jusque dans ton sigle, ONU ?

ONU, tu nous manques de respect.

ONU, tu vas voir !

Or donc, monsieur le Président, nous attendons votre cinglante réponse à ces outrecuidants qui nous bazardent l'existence dans leurs bureaux cossus, prétendent nous ouvrir comme des pastèques, avec les couteaux de leurs passeurs. Et nous consommer à leur sauce, en fin de compte.

Vous avez su nous qualifier avec un tel brio, nous reconnaissant la culture, les arts, les racines et le caractère que vous nous niâtes pourtant souvenez-vous. C'était il y a bien longtemps, quand vous ne nous aimiez pas.

Oui nous sommes des Gaulois réfractaires. Vous aussi monsieur le Président. Nous nous insurgeons, vous réfractez. Vous saurez sans nul doute, très gauloisement, les remettre à leur place, ces gros machins-là d'au-delà des mers. Manu... militari s'il le fallait. On ne va pas leur remettre notre parapluie nucléaire, en plus d'Alstom ?

Dans le cas contraire, les Européens seront en droit de comploter, dans le noble esprit d'ouverture qu'on leur colle sur le dos, le droit de caler leurs vagabonds interchangeables, car ceux-ci ont des cors aux pieds à force, dans les fauteuils des machins, et de siroter la vie dans leur flûte de champagne, au sein de leur hémicycle militarisé à Nouillorque. Un beau complexe immobilier, il y a de la place. Comme il y en a chez Soros, en abondance, et dans tous les quartiers résidentiels hautement policés des machins zonus qui nous marchent dessus.

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