Tenue de combat

par politzer
mercredi 6 septembre 2023

N’en déplaise aux partisans de la Nupes qui, P « C » F compris ont abandonné la lutte des classes pour les luttes communautaires, mais l’abaya comme le voile, la burqa et autres accoutrements, sont des marques d’appartenance communautaire, des symboles religieux pour certaines, et des soumissions aux rapports patriarcaux pour d’autres.

S’afficher dans de tels déguisements, dans un établissement scolaire, est une infraction à la loi laïque et une insulte à la culture universaliste française.

Ce soudain engouement pour un vêtement provocateur qui défie ouvertement la loi et nos mœurs ne tombe pas du ciel, comme l’analysent des commentateurs arabophones spécialistes de l’Islam et de l’Islamisme. C’est au choix un test de notre résistance à l’invasion d’une religion étrangère à notre société ou une première étape dans le renversement du rapport de force entre la société théocratique et la démocratie politique. Ce n’est plus un secret depuis des lustres : à l’arrière du front, la riche confrérie des « Frères musulmans » nationale et internationale intrigue contre les États démocratiques européens. C’est leur face légale. Les attentats relevant de leur « État profond » complice d’États islamistes ou de groupes qui prospèrent au-dedans de ces États.

Les troupes sont constituées de volontaires, qui soit dit en passant, exercent une pression sans voix ni geste sur leurs camarades « ethniques » qui devront imiter les walkyries de l’islam, sous peine de stigmatisation voire de relégation.

Des laïcs athées ou religieux invoquent l’adhésion enthousiaste de ces porteuses d’uniformes « militaires ». On leur objectera que les femmes nazies elles aussi acceptaient leur sort de pondeuse pour la grandeur du Reich, et subirent les conséquences de leur choix !

Nous sommes en guerre, des Français tombent presque quotidiennement sans qu’on sache précisément le mobile de ces crimes (barbarie ethnique teintée d’une composante religieuse ? Haine des mécréants ?). Derniers en date à Cherbourg une jeune femme mutilée sadiquement, quelques semaines avant Enzo, un adolescent qui avait choisi la France à « sang pour sang » !

Le patronat immigrationiste fait des affaires, et la Nupes fait la sourde oreille.


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