Une micro puce prometteuse

par Florian LeBaroudeur
mardi 20 avril 2021

Une nouvelle passée complétement inaperçue et qui est pourtant d'importance capitale.

Tous les chercheurs de vérité sur internet ont forcément entendu parler des puces RFID sous-cutanée, une technologie capable de contrôler les êtres humains. Cette technologie existe déjà depuis de nombreuses années et des entreprises dédiées ont été fondées comme la société APPLIED DIGITAL et sa marque VeriChip.

Il aurait été étonnant que l'hystérie médiatique planétaire du COVID-19 ne pouvait offrir une fenêtre d'opportunité à cette innovation comme ce fut jadis le cas pour toutes les autres à la suite d'évenements opportuns.

Une agence du département de la défense des Etats-Unis, la DARPA ( Agence pour les projets de recherche avancée de défense ) connue nottament pour avoir lancé le projet ARPANET en 1966, l'ancètre d'INTERNET, a donc créé une micro-puce sous-cutanée qui détecte...la COVID.

Selon les dires du Docteur Matt HEPBURN, cette micro-puce a pour but de détecter la présence du virus bien avant que les symptômes se ressentent, ce qui permettrait de prévenir efficacement les contaminations. "C'est un capteur. Cette minuscule chose verte là-dedans, vous la placez sous votre peau et ce que cela vous dit, c'est qu'il y a des réactions chimiques à l'intérieur du corps qui signalent que vous allez avoir des symptômes demain. C'est comme un voyant "vérifiez le moteur"

Conscient des inquiètudes concernant la vie privée, il tente de rassurer. "Ce n'est pas une puce gouvernementale redoutée pour suivre chacun de vos mouvements, mais un gel ressemblant à un tissu conçu pour tester en permanence votre sang"

Toutefois l'intégralité de l'entretien de l'émission 60 minutes diffusée le 11 avril 2021 sur la chaine CBSnews ne peut que nous laisser dubitatif.

Il faut également signaler que la commercialisation de micro puces à grande échelle est dans les bacs depuis plusieurs années, soit avant l'apparition du COVID-19 et n'est aucunement une théorie du complot, encore moins de la science fiction. Les projets des GAFAM sur l'intelligence artificielle et le transhumanisme s'embriquent parfaitement avec cette technologie qui a tout l'air d'en étre la future pierre angulaire.

Je ne reviendrai pas sur toute l'agitation de la toile concernant Bill Gates et l'alliance ID 2020 tellement l'empoigne entre les obsédés et les naifs souffre d'une conscience socio-historique des évolutions passées, présentes et à venir qui ne sont en aucun cas fortuit.

Il faut prendre en compte le fait que l'émergence de la société de consommation en Occident date désormais de l'équivalent d'une vie humaine, 100 ans pour les Etats-Unis et 75 ans pour l'Europe de l'Ouest et que le monde ancien, celui de la débrouille et de l'autonomie s'efface symboliquement avec la forte mortalité présente des plus de 75 ans pour ne laisser que des générations n'ayant connu que la dépendance et le prêt à penser. Dès lors il devient difficile pour ces individus déracinés et dépourvus de repères traditionnelles de comprendre la vraie nature de la transformation en cours de leur environnement de vie.

C'est dans ce contexte de transition que débute sur un terreau favorable la grande réinitialisation chère au fondateur du forum de davos, Klaus Schwab. Bien qu'il ait publié un livre qui en est un manifeste, il n'est en aucun cas l'initiateur. Toutes ses idées viennent en réalité d'autres personnes plus méconnues. Son livre, la quatrième révolution industrielle est trés inspiré de l'ouvrage de Jeremy Rifkin, la troisième révolution industrielle sortie 10 ans plus tôt. Mais ce qui est essentiel de retenir, c'est qu'il est tout de mème une personnalité de poids dans le paysage médiatico-économique et qu'il avait bel et bien annoncé l'avènement des implants dans l'organisme le 10 janvier 2016 dans une interview sur la chaine suisse RTS, à compter d'une dizaine d'années, ce qui nous amène aux années 2025-2030.

Il est clair que cette merveille technologique n'aurait pu obtenir l'approbation des populations dans le monde d'avant COVID, même dans ces 20 années post-11 septembre où la securité est petit à petit devenu un thème central de nos sociétés dont l'acclimatation progressive des caméras de surveillance, des radars, de la collecte de données et des états d'urgence en sont l'illustration. Maintenant une nouvelle étape est franchie avec l'acceptation des couvre-feux, du traçage et des passeports pour l'accès au simple loisir. 

Cette micro-puce ne sera pas proposée dans une période de quiètude, mais au contraire dans un environnement contraint où les choix deviendront restreints et où les comportements sains signifiront la mise en bord de route de la société. Force est de constater que nous ne sommes déjà plus très loin du moment propice. 

 


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