Vendredi 13, Jean-Michel Aphatie et Michel Denisot se sont fait botter les fesses : Jubilatoire

par chapoutier
lundi 16 avril 2012

NDA a remis a leur juste place tous ces parasites donneurs de leçon et lèches botte des puissants que sont les Massenet, Aphatie et Denisot.

Ce fut un crime de "lèse-majesté médiatique" en forme de coup de pied au cul comme on aimerait tous le faire.

Depuis le début de la campagne, les "petits candidats" sont étrillés, raillés, bafoués par ces pseudos journalistes aux ordres.

A l'image de leur maître Sarkozy, ils sont forts avec les faibles et faibles avec les forts, mais NDA a fait tombés de leur piédestal les Jean-Michel Aphatie, Michel Denisot et tous ces roitelets du divertissement télévisuel « qui s’en mettent plein les poches, donnent des leçons et ne savent rien de la souffrance des Français ».

C’était donc un vendredi 13, jour de pas de chance pour Michel Denisot, Ariane Massenet, et Jean-Michel Aphatie.

En effet, Massenet à voulu délibérément humilier NDA en public, insistant que l'espace dans la presse de Dupont-Aignan c'est "35 fois moins que Nicolas Sarkozy !"

La réaction de NDA n’était vraiment pas prévue et il a laissé éclater sa colère alors que Massenet s'attendait à la soumission.

Et NDA de dénoncer "les éditorialistes de bazar", "Je sais pourquoi les Français ne lisent plus les journaux", lance Nicolas Dupont-Aignan.

"Ils vont sur internet, parce que tous ces éditorialistes de bazar qui vivent ensemble, qui pondent toujours les mêmes articles, qui sont tellement coupés des réalités, qui gagnent un argent fou, ils croient connaître les Français mais ils ne les connaissent pas et on va s'en débarrasser un jour", leur lance le candidat NDA.

"Vous vous mélenchonisez", insulte suprême d'après Ariane Massenet, ce qui a pour effet d'augmenter la colère de NDA. "Je ne me mélenchonise pas", réplique-t-il. "Allez voir les Français qui souffrent ! Venez avec moi sur le terrain !"

"Mais on ne vit pas dans la lune !", lance son tour Michel Denisot en fait de moquerie.

NDA s'emporte à juste titre : "Donnez-nous votre salaire ! Combien vous gagnez ? Dites-le aux Français ! Vous n'oserez pas !"

Denisot répond de haut : "Cela ne vous regarde pas ! C’est moi qui me paie. Et c'est moi qui vous paie avec les impôts."

Ce éternel argument de libéral décomplexé lâché par Denisot, et qu'on entend régulièrement de la bouche des droitistes à l'encontre des salariés et des fonctionnaires, "c'est moi qui vous paye avec mes impôts !". Comme si les fonctionnaires ou les salariés ne payaient pas eux-mêmes des impôts. A vomir !

Ils n'osent pas, ces cumulards de la presse, dire leur salaires.

Ont-ils peur de choquer les Français aux prises avec le chômage et la baisse de leur pouvoir d’achat.

Mais NDA insiste : "Vous ne pouvez pas me regarder dans les yeux et dire aux Français ce que vous gagnez, parce que c’est une somme tellement extravagante !"

Devant le nouveau refus de Denisot, il lâche : "Ca veut dire que tous ces gens qui s’en mettent plein les poches, qui donnent des leçons à la terre entière ne veulent pas voir la souffrance des Français."

Jean-Michel Aphatie intervient : "Traitez-nous de voleurs tant que vous y êtes !", ce qui ne fait que décupler la colère de NDA qui répète plusieurs fois : "Osez dire votre salaire !" mais l’éditorialiste se borne à répéter : "Je le mérite mon salaire ! Comme vous, mais je ne vous le dirai pas !"

Aphatie traite NDA "d’inquisiteur" au comportement "pas digne de la politique… Du populisme intégral."

Nicolas Dupont-Aignan boit du petit lait : "Si vous sortiez de votre petit milieu, vous ne penseriez pas pareil…. Ce n’est pas de l’agressivité, c’est qu’il y en a assez d’avoir des leçons de gens qui ne savent pas comment vivent les Français."

Combien gagnent-ils vraiment, ces cumulards aux ordre de la Sarkozy ? Les Christophe Barbier, Jean-Michel Aphatie, Alain Duhamel, Jean-Pierre Elkabbach et quelques autres ?

Cette poignée de cacique gagnent plusieurs dizaines de milliers d’euros par mois. Mais qu'en serait-il s'ils faisaient un véritable travail de journaliste.

On comprend mieux la raison de leur soumission.

Une bouffée d'air frais dans une campagne étouffante, la vraie vie qui a repris ses droits.


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