Woerth et ses petites affaires : le livre !

 Il m’en fallut du temps mais le résultat en vaut la peine. En lisant les quelques 150 pages très fournies en documents (copie des carnets, agendas, convention, courriers divers, mémo) vous saurez que définitivement : Woerth ment ! Quelle découverte n’est-ce pas ? Cependant cette découverte, étayée et prouvée de très nombreuses fois et, enfin, définitive par l’aveu de Woerth lui-même pour le courrier de la breloque, devient évidente quand on fait la synthèse et que l’on pose bien à plat bout à bout tous les éléments en notre possession. Tous ces éléments m’ont permis de faire un organigramme hallucinant où l’on voit que quelques personnages influents et ou très riches sont liés entre par une multitude fils. L’on dit vaut mieux un bon dessin qu’un long discours et ce schéma de l’organigramme ne pourra vous laisser qu’effarés, comme cela a été mon cas une fois fini. Vous pouvez dores et déjà vous délecter de cet organigramme ici.

 

Ce livre n’est pas parfait, loin de là, sans doute quelques oublis et peut-être parfois de légères erreurs, et comme il pourra être mis à jour vous pouvez toujours m’envoyer à cet e-mail (imhotep.forumlogos@free.fr) vos corrections et autres commentaires, ou de ces fautes d’orthographe qui me sont perpétuellement reprochées comme argument absolu de mon incompétence ou même peut-être de ma haine. Il se trouve qu’avec un stylo c’est rare pour moi de faire des fautes, même si j’en fais, avec un clavier outre les fautes de frappe, les correcteurs automatiques sont des fausses sécurités qui en laissent passer certaines tout en vous trompant car vous parler ou vous parlez sont tous deux considérés comme justes par les correcteurs basiques et je n’utilise pas de ceux qui tempère(nt) la mauvaise grammaire. Par ailleurs ces articles me prennent beaucoup de temps sur ma vie professionnelle et personnelle (et ouf cela va diminuer) et il m’en manque pour passer au peigne fin ceux-ci. Enfin c’est ainsi et viva la vita !

 

Ce qu’il faut que vous sachiez - bien que vous le sachiez déjà - c’est que ce livre est parfaitement, intégralement gratuit (gratis pro vobis comme dirait Jules, le bon avec lauriers, (en compensation si vous le souhaitez vous pouvez faire un don à Agoravox ou vous abonnez à Médiapart) ! Non seulement il est gratuit mais je vous conseille de le diffuser à la plus grande échelle possible, à envoyer à toutes vos connaissances, les journalistes, les blogs, les élus. Et si vous avez les coordonnées des juges et procureurs, des brigades de police qui s’occupent de l’affaire et que vous me confiez les adresses électroniques ou les fax, je me ferais un plaisir de leur communiquer où le télécharger. Ce serait une immense joie par exemple de l’envoyer à un certain Etienne Mougeotte. C’est gratuit évidemment car il me serait insupportable (et en cela Vespasien à tort, l’argent a de l’odeur et en l’occurrence ici celui de l’arrogance, du mensonge, du bling bling, de la mauvaise foi, de l’amoralité, de l’injustice) de toucher le plus petit picaillon de cette histoire. A l’argent mal gagné et adulé je réponds gratuité et liberté !

 

Vous trouverez donc dans cet opus un grand nombre de documents afin de claquer le beignet à ceux qui ne parlent que de rumeurs, des liens vers plus de 130 articles et sources diverses (j’ai dû en consulter plus de deux cents je pense, en tout cas pas moins) et une chronologie ébouriffante qui, si elle n’est pas exhaustive, me semble bien fournie (plus de 85 dates, donc encore plus de faits). Ce travail est donc assez sérieux, pour le moins et assez complet, je pense.

 

Je retrouverai sur mon chemin ces quelques roquets qui me fascinent par leur mauvaise foi et leurs arguments de pure forme, toujours les mêmes. Ils ne se rendent pas compte que leurs mots qu’ils veulent définitifs et probants ne sont que le reflet outré de ce qu’ils sont eux-mêmes. Ils ne cessent de parler de ma haine, de mes certitudes, de ma position de juge absolu. En disant cela ils déversent sur moi leur haine de mes écrits (peut-être de moi, mais cela ne me touche pas), leurs propres certitudes et en premier celle-là même que j’en ai, et que je n’ai que cela, ce qui est évidemment une sottise sans nom, tous mes écrits sont étayés, développés, argumentés, et ce faisant bien évidemment ils me jugent - c’est à mourir de rire - eux qui me condamnent au pilori et à tous les maux les plus divers parce que je jugerais et eux me jugent !, non seulement me jugent mais me condamnent. Alors de ces trois maux dont ils m’accusent, ils en sont badigeonnés de la tête au pied jusqu’à l’intérieur de leur cœur. Or tout un chacun peut constater que dans toute cette affaire, et ce livre en est une preuve éclatante, je me suis contenté de deux choses :

- la démonstration sans difficultés et avec preuves que Woerth ment avec une arrogance inouïe, ce qu’évidemment personne ne peut ne pas condamner

- et qu’il faille que la justice passe.

 

Voilà, j’ai parlé de toutes les affaires connues : Compiègne, Wildenstein, César, Pleyel, l’Hôtel de la monnaie, les paris en ligne, les liaisons étroites et dangereuses de tout ce petit monde pollué ; mais dans ces textes - ce qui est facile à vérifier - je n’ai fait que poser des questions et mettre en doute les affirmations de Woerth et Cie soit par des preuves soit par des raisonnements. Le nombre de questions que j’ai posées est très important. Et c’est hallucinant de voir que ces questions ont été transformées en autant de condamnations, comme si en définitive ces mordeurs de mollet étaient convaincus que j’avais raison.

 

Vous trouverez ici ce fameux livre à faire circuler et lire sans modération. En haut de page et à gauche (une flèche vers le bas) vous pourrez également le télécharger en pdf et , comme un certain gars bien connu, les démultiplier. Cela en vaut la peine.

 

Je mettrais des mises à jour en ligne régulièrement, mais l’essentiel est dit. Ceci est définitif et condamnable au plus haut point car cette affirmation prouve de toute évidence qu’il ne faut pas laisser tomber et que la justice doit aller à son terme, car ce fait n’est que la preuve que derrière il y a autre chose :

 

WEORTH MENT !

 

Je ne peux résister à ces deux grands moments immortalisés en vidéo où l’on voit ce qui ne peut qu’être le mensonge à l’état brut, Woerth déclarant : je n’ai jamais menti (!) et cette autre vidéo où Woerth est complètement défait et dit un peu n’importe quoi, que c’est en tant que député qu’il a fait cette demande qu’il n’avait pourtant pas faite. En tant que député ? Tiens donc : ce n’est ni sur papier à entête de l’Assemblée Nationale, ni adressé au bon ministre, en l’occurrence celui de l’économie, mais sur celui d’une association de soutien politique à un ministre candidat qui démissionnera très peu de temps après, dont la fonction ministérielle (de l’intérieur) n’a strictement aucun rapport avec le champ de cette demande de légion d’honneur, en pleine campagne électorale, après des dons substantiels (30 000 €) légaux des Bettencourt et sans doute illégaux (150 000 €) en liquide. Quelle conclusion en tire-t-on ? demande-t-il : Qu’il ment. Régalez-vous !