Arrêtez de me traiter d’homophobe quand je dis que vous n’êtes né ainsi

par Jean-Luc ROBERT
jeudi 11 avril 2024

La pensée du jour : #Transidentité : évoquer des raisons psychologiques devient un crime aujourd'hui dans cette ère du #neurobiologique où la psychologie n'a plus sa place.
Questionner des raisons psychologiques fait de vous un #transphobe, un #transphobe ou un lgbtphobe.
Pourtant les personnes qui détransitionnenent après avoir réalisé qu'elles allaient toujours mal existent bel et bien.
Non toutes les personnes #non_binaires#transgenres#genders_fluid... ne sont pas systématiquement nées ainsi. On en parle ?
https://lnkd.in/gmPyatn (╭ರ_•́)

Qui sont les détrans ? Il s'agit de celles et de ceux qui reviennent sur leur transition, l'annule, retrouve leur genre d'origine. Ces personnes sont cachées parce qu'elles dérangent la pensée wokiste.

Le sujet est délicat à tellement d’égards n'est-ce pas ? Ces personnes qui espéraient aller mieux en faisant correspondre leur physique à leurs ressentis se rendent compte au final que ça ne va toujours pas.

Nous pouvons prendre par exemple le cas d'Élie, 22 ans, cheveux courts blond scandinave, originaire de Belgique, fondatrice de Post Trans, l’une des premières assos dédiées au sujet et elle-même concernée. Elle affirme : « À 15 ans, j’ai annoncé à ma famille que j’étais lesbienne, relate-t-elle. Ça s’est bien passé. Ma sœur m’a répondu qu’elle était fière de la femme que je devenais. C’est là que ça m’a heurté·e : je ne me sentais pas “femme”. » 

Élie a ensuite consulté une association trans et une gynécologue recommandé par cette asso afin de commencer un traitement hormonal pour transitionner vers le genre masculin. De la testostérone, suivie d’une mastectomie (ablation des seins) ont fait qu'elle se sentait mieux : « Je me sentais de mieux en mieux dans mon corps. J’avais le sentiment de me le réapproprier. Mais, au fil du temps, je me suis rendu compte que je me sentais mal à l’aise avec le statut d’homme hétéro. J’avais le sentiment de cacher une partie de moi ». A 20 ans, Élie a donc arrêté les hormones, abandonner son prénom masculin et recommencé à se faire genrer au féminin, c'était donc un processus de détransition.

Depuis la diffusion de séries documentaires sur le sujet entre 2018 et 2020 (aux Pays-Bas, en Suède et en Angleterre), le sujet affole les médias étrangers. Ce qui les alarme : l’augmentation des demandes de transitions (quatre fois plus en cinq ans, par exemple, dans le principal service de réassignation de genre du RoyaumeUni). En France, elles ont été multipliées par cinq depuis 2012, nous a rapporté l’Assurance Maladie, atteignant environ (et seulement) cinq cents dossiers.

Non toutes les personnes #non_binaires#transgenres#genders_fluid... ne sont pas systématiquement nées ainsi. Le lobbys LGBTQIA+ font tout pour amener les gens se trouvant mal dans leur peau qu'elle pourrait trouver leur salut dans une transition de genre. Un honteux mensonge. On en parle ?
https://www.jeanlucrobert.fr (╭ರ_•́)


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