@Aita Pea Pea
Pourquoi ces procès d’intention ? L’auteur vous le dit explicitement : il est un écologiste.
Sa première préoccupation est donc celle d’un très brutal refroidissement de notre planète, dont personne n’ose parler, tant cela fait peur.
Il y a plus de six cent mille ans que le volcan de Yellowstone n’est pas entré en éruption, et la prochaine est donc imminente si on tient compte de la périodicité bien établie du phénomène.
Bien des signes (soulèvement des terrains en particulier) donnent à penser qu’une éruption se prépare aussi du côté des champs phlégréens, dans la baie de Naples.
Dans les deux cas, l’émission de poussières dans la haute atmosphères aura des conséquences bien pires que l’éruption du Laki en Islande, en 1783. Ce sera l’équivalent d’un long hiver nucléaire.
votre développement [...] est hors sujet.
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@Kader Hamiche
Vous voudriez donc que votre général vînt au pouvoir en tant que simple « citoyen De Villiers ». Pourquoi pas ? Ses démêlés avec le jeune irresponsable de l’Elysée me l’avaient rendu tout à fait sympathique et ça le ferait probablement rigoler si on lui imputait l’intention de s’emparer du pouvoir avec le soutien de la grande muette, comme De Gaulle obligé de préciser qu’il n’allait pas « devenir un dictateur à 65 ans ».
Mais je ne sache pas que le général de Villiers soit actuellement à la tête d’un quelconque parti politique. Il est connu -et apprécié— comme un militaire soucieux de ses responsabilités, et qui ne se laisse pas marcher sur les pieds ; on ne lui connaît pas de programme politique, même s’il est aisé de le percevoir comme un conservateur de bon aloi, tout fait capable de rompre avec cette lâche politique de démission d’inspiration maréchaliste qu’on connaît depuis quarante ans.
Pour cette raison même, je ne vois pas ces sortes de Cincinnatus arriver à la présidence par les urnes. Il faut aller les chercher -ce que vous faites-, et cette entreprise ressemble un peu à celle des factions qui se constituent, dans les moments où l’état parvient au dernier degré de sa décomposition, en vue d’une sorte de pronunciamento. C’est ainsi, de toute façon, que les choses risquent d’être perçues par les belles âmes naïvement démocrates.
Quand on sera plongé dans les horreurs de la guerre civile -ce qui ne saurait tarder— des gens de la trempe de De villiers seront assurément un dernier recours, mais s’il veut arriver « normalement » à l’Elysée, il faudra bien qu’il ait un parti, comme ses prédécesseurs, et qu’il se livre à toutes les gesticulations démagogiques sans lesquelles, par les temps qui courent, on ne peut pas être élu.
@lloreen
Si, pour les auteurs de cette pétition, la vaccination obligatoire est un « crime contre l’humanité », il convient qu’ils soient immédiatement mis hors d’état de nuire et conduits aux urgences de l’hôpital Sainte-Anne pour y être soignés.
Ces sortes de délires étant en général incurables, il en résultera un internement d’office pour une durée indéterminée. C’est bien fâcheux mais ce sera quand même un moindre mal.
à l’auteur,
Votre analyse de la situation actuelle est des plus pertinentes. Effectivement, on ne voit pas de solution. En revanche, votre appel à un général De Villiers me paraît tout à fait saugrenue ; c’est comme si vous vous proposiez de résoudre un problème complexe en recourant à la baguette magique des vieux contes. Le recours à l’armée, prévu par la constitution (état de siège, état de guerre) n’est pas une solution politique ; a contrario, il sanctionne la mort du politique et une suspension, en cas de force majeure, des libertés républicaines. C’est l’équivalent de la dictature dans la république romaine, et il est fort peu souhaitable de devoir en arriver là.
Cela dit, on va tout droit vers la guerre civile, et on ne peut pas se faire trop d’illusions sur le sympathique soulèvement des gilets jaunes que les organisations les plus extrémistes, encore plus pernicieuses que celles qu’on voit au pouvoir, essaient déjà de récupérer. N’importe quoi peut surgir assez rapidement au sommet de cette grosse vague tumultueuse, et la fermentation des banlieues islamisées qu’évoquait Collomb lors de sa démission est aussi une menace qui finira par éclater au grand jour et qu’il convient de prendre en compte.
Bref, si la situation continue à pourrir, et comme il n’y a aucune relève à espérer du côté des vieux partis dits « de gouvernement », par la force des choses, il faudra peut-être bien finir par compter provisoirement sur l’armée républicaine, mais ce sera vraiment en dernier recours.
Le sionisme et le colonialisme sioniste est très différent des colonialismes français ou britannique, il ne vise pas à asservir et exploiter le peuple colonisé, mais à l’expulser et le remplacer
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@leypanou
Ce que vous décrivez là, c’est l’objectif actuel, en France, des Frères musulmans de l’UOIF et des Indigènes de la République (PIR). On le voit déjà se réaliser dans nos banlieues où les « Céfrans » ou « faces de craie » sont victimes d’un ostracisme de plus en plus insupportable, particulièrement les Juifs : plus de cinquante mille, depuis le début de ce siècle, ont déjà dû émigrer vers Paris — pour commencer !
Je ne savais pas encore que l’UOIF était d’inspiration sioniste, mais le CRIF, après tout, grâce à son fameux « dîner », aurait bien été capable d’en prendre le contrôle !
Il y a déjà longtemps que je me demande si les articles les plus salement antisémites, tel celui que nous commentons, lesquels tombent régulièrement sur AgoraVox comme la vérole sur le bas-clergé breton, ne seraient pas, en fait, rédigés par des agents du CRIF pour faire croire qu’il y aurait en France un antisémitisme qui, en réalité, n’a jamais vraiment existé nulle part sinon dans l’imagination des pro-sionistes très naïfs dans mon genre.
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
On a désormais l’habitude de votre marmelade psychanalytico-astrologico-occultiste.Vous feriez bien quand même d’y inclure, à la prochaine occasion, la
dédicace accompagnant l’envoi par Freud de Pourquoi la guerre au Duce :
« A Benito Mussolini, avec le salut respectueux d’un vieil homme qui reconnaît en la personne du dirigeant un héros de la culture. » Vienne, 26 avril 1933
C’est vraiment très drôle !
Vous pourriez peut-être vous interroger aussi sur l’institut Göring :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Institut_G%C3%B6ring
L’idéologie psychanalytique est un répugnant totalitarisme, qui aura toujours su faire très bon ménage avec les pires.
La diplomatie israélienne de ces dernières semaines :
http://www.rfi.fr/afrique/20181128-tchad-israel-vers-reprise-relations-diplomatiques
https://www.bbc.com/afrique/region-46339718
Dans les mois précédents :
Relations avec l’Inde
https://fr.timesofisrael.com/topic/relations-israel-inde/
Netanyahou en Chine
@Massada
L’article que vous citez, et qui est d’une grande précision historique, ne reflète absolument pas les orientations du « nouveau journal » que vous venez de « découvrir ». Mediapart, dirigé par Edwy Plenel est à peu près l’équivalent de « Je suis partout » pendant l’occupation. C’est l’organe d’une franche collaboration avec l’islamo-fascisme installé en France. Plenel, par exemple, a fait tout ce qu’il a pu pour assurer la promotion d’un T. Ramadan avant ses petits ennuis avec la justice.
Comme il faut bien paraître démocrate, le journal, comme d’autres, héberge un certain nombre de blogs, et l’article émane de l’un d’eux. Au reste, on peut lire cette petite précision vraiment essentielle à la fin de l’article :
« Le Club est l’espace de libre expression des abonnés de Mediapart. Ses contenus n’engagent pas la rédaction ».
@JPCiron
Les « Palestiniens » en 48, bientôt appuyés par cinq armées arabes, n’ont pas voulu proclamer la naissance d’un état parce que cela aurait impliqué un partage du territoire, celui qui avait été préconisé par l’ONU. Leur objectif était donc de foutre à la mer les plus anciens habitants de la région et les sionistes qui les avaient rejoints. L’objectif était d’achever le génocide commencé par les nazis, et il était explicitement formulé par Mohammed Amin al-Husseini qui avait longtemps supplié sont copain berlinois Heinrich Himmler d’obtenir de son Führer qu’il exportât en Palestine le procédé technique de la solution finale. Ce salaud avait échappé de justesse - grâce à la France, hélas-, au tribunal de Nüremberg qui l’aurait envoyé se balancer au bout d’une corde, comme beaucoup d’autres.
Les Juifs totalement éliminés, les Arabes de la région auraient pu enfin construire, sur les ruines de la Palestine mandataire un état qui se fût étendu de la mer au Jourdain, de Haïfa à Eilat. Cela paraissait facile et à portée de main : que pourrait l’embryon d’organisation militaire que constituait la Haganah contre cinq armées organisées de la région ? C’était évidemment oublier que dans les guerres, l’avantage du nombre des combattants et des canons n’est pas grand chose quand il n’est pas servi par l’intelligence d’une stratégie.
Le même rêve imbécile et criminel aura refait surface en 67, avec le très beau résultat que l’on sait, mais pour les populations arriérées et fanatisées de la région, la leçon n’aura pas été suffisante. La charte de l’OLP, qui n’ jamais changé, même après Oslo, et les chartes du Hamas, prolongent jusqu’à nos jours le vieux rêve du mufti nazi d’une Palestine judenrein.
Les Juifs auront à chaque fois militairement ratatiné un ennemi qui voulait les éliminer jusqu’au dernier. Et ils n’ont pourtant pas infligé à l’ennemi le sort qui les attendait s’ils avaient été vaincus. Il n’y a presque plus de Juifs dans les pays d’Afrique du nord qui étaient les leurs depuis plus d’un millénaire ; il n’y en a plus en Irak ni en Egypte. Les 250 mille arabes « palestiniens » restés sur place en 48 sont désormais citoyens d’Israël, et leur population aura été multipliée par sept.
La grande erreur d’une gauche israélienne idéaliste et humaniste en diable aura été de croire qu’il était possible de faire confiance à des crapules du genre d’Arafat. Après Oslo, on s’enthousiasmait pour la paix ; ce fut l’intifada et son cortège d’atrocités terroristes. L’illusion semble désormais dissipée dans les partis de gauche, et il n’y aura pas de solution aussi longtemps que, d’un côté, les potentats palestiniens corrompus jusqu’à l’os, héritiers des théories du mufti, et de l’autre l’Iran islamo-nazi continueront à tirer les ficelles et à fanatiser des populations encore arriérées.
Le seul problème du gouvernement israélien actuel, c’est d’éviter des massacres inutiles qui, du côté du Liban comme du côté de Gaza, ne changeraient pas grand chose à la situation. La politique du wait and see, dans l’attente d’un effondrement inévitable du régime des mollahs, est donc encore la plus intelligente. Dans dix ans, si des gens ont la curiosité de lire ce qui s’écrit encore aujourd’hui sur AgoraVox pour défendre une cause palestinienne qui emmerde déjà depuis longtemps les décideurs des pays arabes, ça leur fera à peu près le même effet qu’à nous aujourd’hui de lire l’ode à Staline d’Eluard, la préface de Sartre aux Damnés de la terre ou l’apologie par Aragon du Guépéou soviétique.
A la fin de novembre 47, l’ONU a préconisé le partage de la Palestine. Le 14 mai 48, et faisant explicitement référence aux recommandations de l’ONU, Ben Gourion proclamait la renaissance d’Israël.
Qu’est ce qui empêchait ceux qu’on n’appellerait les « Palestinien » qu’après 67, de créer leur propre état ?
Qu’ont-ils fait lendemain de la déclaration d’indépendance d’Israël ? Pourquoi ? L’auteur de ce laborieux article pourrait-il nous expliquer ce que fut le rôle de Mohammed Amin al-Husseini, mufti nazi de Jérusalem, dans l’organisation de ce qui ne tarderait pas à tourner à la catastrophe (nakba) pour les pauvres et bons « Palestiniens » ?
Cette question, je l’ai posée plusieurs fois à des antisionistes sur ce site. Sans jamais obtenir le commencement d’une réponse.
Quand une guerre visant une extension territoriale a eu lieu et que le le pays qui l’a emporté par la puissance des armes en sort victorieux, s’il est suffisamment puissant pour qu’il faille réfléchir à deux fois avant de l’attaquer pour le faire renoncer à ses prétentions, la situation qu’il a créée finit par être reconnue par les autres nations. La mainmise de la Russie sur la Crimée suscite encore des protestations, mais cela ne durera pas. L’Alsace-Lorraine, qui n’avait pas toujours été française, fut allemande entre deux guerres. Elle est redevenue française, et l’Allemagne vaincue en 14-18 ne songerait plus à contester ce fait. L’auteur, peut-être, nous fera-t-il bientôt un article pour contester le rattachement à la France du Duché de Bourgogne par Louis XI après la mort du Téméraire ?
Tant d’énergie dépensée pour nier l’évidence du réel, c’est comique et pitoyable. Israël est devenu en 70 ans, dans bien des domaines, la huitième puissance mondiale. Son rayonnement dans le monde est reconnu par la plupart des états. La Chine, l’Inde, la Russie et l’Amérique traitent d’égal à égal avec un pays grand comme trois département français ! Hier, c’était le Président du Tchad qui se rendait à Jérusalem pour renouer des relations diplomatiques interrompues depuis 40 ans, sans même faire un détour par Ramallah. C’était le Président des Tchèques qui, à peu près en même temps à Jérusalem, assurait qu’il allait tout faire pour que son ambassade y soit transférée le plus vite possible.
Hier, le vieux gâteux de Ramallah voulait une réunion de la ligue arabe qui rappelât fermement ce principe : pas de normalisation des relations avec Israël tant que les Palestiniens n’auront pas leur état, mais les pays sunnites de la région, beaucoup de pays d’Afrique pourtant musulmans, ont bien compris qu’il n’y avait rien à craindre et tout à attendre d’un état surarmé mais qui n’a jamais fait la guerre que pour se défendre. Des Palestiniens qui ont tout raté par fanatisme et connerie, ils n’ont désormais plus grand chose à faire, ils peuvent aller se faire foutre.
Toutes les principautés de la péninsule arabique, et même le vilain petit Qatar aspirent à normaliser leurs relations avec l’état de la région militairement le plus puissant et pourtant le plus pacifique, lequel reste le seul recours face aux ambitions hégémonique de l’islamo-nazisme chiite.
Après les 460 roquettes tombées sur les villes du sud d’Israël et des mois de provocations imbéciles à la frontière, nourrissant des rêves de pogroms et téléguidées par l’Iran, on s’attendait à voir les chars de Tsahal, encore une fois, entrer dans Gaza ; personne ne s’en fût évidemment scandalisé : quand des villes sont bombardées, c’est la guerre, et la riposte est légitime. Elle n’a pas eu lieu parce que Netanyahou sait très bien que le Hamas et Gaza ne sont que des milices à la botte de l’Iran, et que c’est le régime iranien qu’il faut d’abord faire tomber.
Avant son départ de l’ONU, Nikki Haley se propose de faire voter une résolution à l’ONU condamnant l’organisation terroriste du Hamas. Pas facile d’obliger une assemblée de faux-culs décérébrés à oser dire tout haut ce qu’ils pensent tout bas, mais j’espère que cette remarquable diplomate réussira dans son entreprise.
Que ceux qui ont pitié de Carlos se précipitent pour envoyer leurs dons. Jamais plus terrible récit n’était arrivé jusqu’à nous. Nous sommes au désespoir devant la déchéance d’un homme si brillant. Oui, vraiment, la vie est injuste.
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à l’auteur
Si vous voulez qu’on envoie quelque chose, il faudrait au moins communiquer une adresse, mais vous oubliez de le faire.
Ce qui arrive à ce pauvre homme est effectivement terrible. Il n’a probablement jamais su ce que cela peut être qu’une série de fins de mois difficiles, quand ne voit pas le bout du tunnel.
On plaint bien injustement les gilets jaunes, mais eux n’ignorent rien de ces sortes de difficultés, ils en ont l’habitude et ils savent comment y faire face au jour le jour. Les plus heureux, en fait, dans nos sociétés, ce sont encore les SDF qui ont tout perdu et à qui rien de fâcheux ne peut plus arriver. Quand tous les gilets jaunes seront devenus SDF, nous serons dans le meilleur des mondes et je compte bien sincèrement sur Macron et ses affidés pour résoudre de la manière la plus élégante et la plus heureuse la vieille question du paupérisme.
ERRATUM
Restait à faire l’amalgame odieux avec les manifestations
anti-parlementaires et fascisantes du milieu des années trente, qui
auront fait rigoler tous les historiens.
qui AURA fait rigoler. Excuses.
Il faudrait quand même que l’auteur de cet article nous explique pourquoi on a commencé par gazer en bas des Champs Elysées, les pacifiques « bons enfants » avec les casseurs. Etait-ce pour les radicaliser un peu et les rendre solidaires, dans la confusion de l’instant, de ceux qui, peu après, commenceraient, munis du matériel ad hoc, à dépaver les rues pour agresser les CRS, et à incendier le mobilier urbain ?
Les forces de l’ordre étaient en nombre. A la différence des retraités et des mères de familles qui étaient venus là sans imaginer qu’on allait les traiter comme des délinquants, les casseurs étaient en assez petit nombre et bien repérables : masques à gaz, sacs à dos contenant le petit nécessaire de la guerre urbaine. Quelques uns ont été appréhendés sans trop de résistance, mais on a laissé les autres continuer leur petite affaire. Les camions munis de lances d’arrosage ont parcimonieusement aspergé ce qui brûlait : il fallait que les Champs fussent copieusement enfumés pour les caméras des télévisions.
Restait à faire l’amalgame odieux avec les manifestations anti-parlementaires et fascisantes du milieu des années trente, qui auront fait rigoler tous les historiens.
Ce gouvernement d’imbéciles, son chef et le troupeau des godillots de l’Assemblée peuvent être assurés d’un mépris définitif de l’ensemble du peuple français. Encore deux ou trois situations du même genre, et ils seront très vite précipités dans les poubelles du devenir avant même que les historiens aient eu le temps de faire leur boulot.
Christophe Castaner a franchi l’épreuve du feu. La journée du samedi 17 novembre 2018, et surtout, celle du samedi 24 novembre 2018, ont été éprouvantes pour celui qui est responsable de l’ordre public sur tout le territoire de la République française
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Le pauvre homme !
C’est cool la charia en fait !
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@dr.jambon-beurre
Il resterait donc encore des islamophobes en France ? Quelle surprise !
On trouvera à cette page un bon portrait photographique de la tête plâtrée de Madame Erdogan :
http://fr.newsmonkey.be/article/25214
Et beaucoup d’autres si, dans Google, on tape « Mme Erdogan » et si on clique, en haut de la page, sur « photos ».
à l’auteur,
Recep Tayyip Erdogan est un bon musulman. Pour sa défense, je citerai le verset 38 de la quatrième sourate :
« Les hommes sont supérieurs aux femmes à cause des qualités par lesquelles Dieu a élevé ceux-là au-dessus de celles-ci, et parce que les hommes emploient leurs bien pour doter les femmes. Les femmes vertueuses sont obéissantes et soumises ; elles conservent soigneusement pendant l’absence de leurs maris ce que Dieu a ordonné de conserver intact. Vous réprimanderez celles dont vous aurez à craindre l’inobéissance ; vous les reléguerez dans des lits à part, vous les battrez ; mais aussitôt qu’elles vous obéissent, ne leur cherchez point querelle. Dieu est élevé et grand. » (traduction Kasimirski)
Puisque vous paraissez mieux informé que moi de ce qui se passe chez Erdogan, je me permettrai de vous poser une question. Depuis des années, je vois à la télévision Mme Erdogan la tête enserrée dans un plâtre massif. La première fois, j’avais cru pouvoir diagnostiquer une fracture du crâne résultant peut-être de la stricte application de cette sourate, mais il y a des années de cela. or, si après quelques semaines une fracture du crâne n’est pas consolidée, on n’a guère de chances d’y survivre. Pourquoi donc ce plâtre énorme qui la défigure ? Son seigneur et maître recommencerait-il à lui casser la gueule dès lors qu’elle paraît tirée d’affaire ? Je me perds en conjectures. Merci de bien vouloir nous éclairer.
C’est une honte de cette justice dite française, composée de gauchistes méprisants les victimes et glorifiants les agresseurs, surtout s’ils sont « L’Autre », le divers, l’enrichisseur, celui qu’on glorifie à longueur de colonnes, d’ondes hertziennes et de gigabits sur tous les réseaux cuivrés ou en fibre !
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@hunter
Sur le « mur des cons » du syndicat de la magistrature, rappelons-le, figuraient les noms de deux pères dont les filles avaient été assassinées par des pauvres bougres plus à plaindre qu’à blâmer.
Sans doute, le syndicat de la magistrature n’est-il pas toute la justice en France, mais on peut quand même s’étonner de cette déclaration du Conseil supérieur de la Magistrature :
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/mur-des-cons-le-conseil-superieur-de-la-magistrature-refuse-de-rendre-un-avis_1250518.html
Extrait d’un article de Wikipedia qu’on trouvera à cette page :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Pierre_Escarfail
"À la suite du procès, Jean-Pierre Escarfail fonde l’Association pour la protection contre les agressions et crimes sexuels (APACS) et voyage dans de nombreux pays afin d’étudier les différentes législations mises en place à l’étranger pour lutter contre la récidive des criminels sexuels, et pour une meilleure prise en charge des victimes.3[réf. nécessaire]
Il participe régulièrement à des commissions, auditions ou études au sein d’institutions telles que l’Assemblée nationale et le Sénat afin d’y apporter son expertise. Son travail a notamment permis la mise en place en France de mesures comme l’évaluation de la dangerosité des délinquants sexuels, le bracelet électronique mobile, et la rétention de sûreté4.
En 2005, il devient membre d’une Commission pluridisciplinaire des mesures de sureté. Il défend ainsi la cause des victimes et de leurs familles lors des demandes de libérations conditionnelles.
En 2006 et 2012, il écrit deux ouvrages afin de faire connaître les conclusions de ses études et continuer son travail d’aide et de prévention.
En 2013, révélé
par Atlantico,
Jean-Pierre Escarfail figure sur le « mur
des cons » du Syndicat de la Magistrature. Sa présence sur ce
mur ainsi que celle de Philippe Schmitt (dont la fille a également
été assassinée en 2007 par un criminel récidiviste) suscite une
polémique."
@ninportequoi
En voilà un, au moins, qui s’efforce avec la plus grande opiniâtreté, de justifier le pseudonyme qu’il s’est donné !
@Gilbert Spagnolo
Je ne comprends pas très bien la réaction dont votre article témoigne. Vous vivez dans un pays étranger et vous voudriez que s’y appliquent des lois qui seraient conformes à votre fantaisie ou à l’idée que s’en font encore de très vieux Français retraités de mon âge, menacés par le gâtisme et incapables de s’intégrer à une civilisation qu’ils ne peuvent comprendre.
Or, je trouve que nous sommes encore très bien tolérés. Je n’ignore pas que si je franchis le périphérique et que j’attire l’attention par des propos ou des comportements qui révèlent mon origine étrangère, je me ferai traiter de « face de craie » ou de « sale Céfran », mais dans ma petite communauté parisienne de vieux français, cela ne m’est encore jamais arrivé. Aussi évité-je de franchir le périphérique, et si quelque cas de force majeure devait m’y contraindre, je n’irais évidemment pas commander un jambon-beurre au bistrot du coin ou bien m’étonner de ne trouver nulle part une charcuterie halal. Quand on est à l’étranger, il faut s’efforcer de vivre comme les gens qui vous accueillent, et nos féministes de l’ultra-gauche, si promptes à s’émouvoir d’un regard de Gaulois qu’elles auront jugé libidineux, j’en suis bien persuadé, ne seront jamais aussi scandalisées que le vieux réactionnaire que vous êtes, par cette affaire de « viol » que justifierait pleinement le 38e verset de la quatrième sourate et la biographie même du Chamelier. S’il fallait s’émouvoir pour si peu, et même pour un « Allah akbar ! » souligné d’un coup mortel de surin, en application du verset cinquième de la sourate IX, où irions nous, mon Dieu ? Nous sommes en terre étrangère ; on nous y tolère encore, c’est déjà ça, et il serait vraiment très malséant de se plaindre, encore plus de haïr des coutumes que nous ne comprenons pas. « Vous n’aurez pas notre haine » avait dit un proche d’une des « victimes »(*) du Bataclan, et d’autres l’ont répété ensuite, très approuvés par le Sultan de la République en sa cour.
La France, de tout temps, et bien avant la conquête de Jules César, a toujours été une une vraie terre d’islam, et même une terre palestinienne, comme l’UNESCO ne tardera pas à le reconnaître, et il faut bien avouer, entre nous, qu’on ne nous y a que trop vus. Nous n’avons désormais plus rien à y faire. Personnellement, j’ai fait ce voeu de ne plus jamais me rendre à Saint-Denis aussi longtemps que la mosquée construite au XIIe siècle par le Calife Suger, et odieusement baptisée depuis « basilique des rois de France », n’aura pas été rendue au culte de la vraie religion.
(*) je mets ce mot entre guillemets parce qu’il faut bien reconnaître que ce concert était une véritable provocation destinée à heurter la sensibilité des habitants de ce pays. L’imam de Brest, désormais diplômé en religion de l’université de Rennes — une autorité, donc — nous avait pourtant maintes fois prévenu : ceux qui écoutent de la musique seront changés en singes ou en porcs. Dès lors, à qui la faute ?
Allah akbar !
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