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Les commentaires de Yannick Harrel



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 16 juillet 2010 17:51

    Bonjour,

    Je vois mal comment l’Euro ne pourrait pas être ébranlé si les pays qui ont élaboré les règles (draconiennes) de stabilité ont clairement fait exploser celles-ci par un déficit et une dette incontrôlés.

    Là où je suis consterné c’est que la crise mondiale ne date pas d’aujourd’hui. Lorsqu’elle a frappé les Etats-Unis avec la crise des subprimes, il n’y a eu qu’amorphie de la part des dirigeants Européens. Le pire étant avec la crise Grecque où là seulement il y a eu un commencement de vrais ébauches de plan de sauvetage (les gentilles sauteries du style G20 à part réunir des happy few pour des agapes et lancer de tonitruantes sentences volatiles n’ont jamais abouti à du concret). Auparavant j’ai juste entendu qu’il fallait surtout se défier de tomber dans le protectionnisme, sous-entendu ne changeons surtout rien et voyons ce qui va se passer ! Exit le volontarisme politique en matière économique, les responsables laissant par défaut opérer la vieille recette du libéralisme effréné qui dissocié le social de l’économique tout interdisant toute régulation salvatrice.

    La rigueur s’avance, elle ne dira jamais son nom mais elle en portera indubitablement les stigmates : réforme des retraites, coupes claires dans les aides et les incitations d’investissement (écologiques par exemple), sabrage des budgets de la défense / justice (liste non exhaustive) comme variable d’ajustement budgétaire, hausse de taxes indirectes etc.

    Ce qui m’ennuie c’est que dès le départ les efforts face à la crise seront inégalement répartis. Déjà faudrait-il que les élus et gouvernants vivent dans le même monde que leur administrés, mais ça dans une république désormais aussi dévoyée je n’ai plus aucun espoir...

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 16 juillet 2010 17:12

    Bonjour,

    Très appréciable focus sur cette bataille qui est effectivement célébré jusqu’au Belarus (n’oublions pas que ce territoire fut sous dépendance Lituanienne jusqu’aux trois fameux partages du XVIIIème siècle) comme j’ai pu m’en rendre compte par moi même. 

    Par la suite après cette bataille l’Ordre ne sera plus que le fantôme de sa gloire passée. Sous tutelle Polonaise (acceptant de devenir vassal du roi de Pologne lors du second traité de Thorn en 1466) et miné par des problèmes financiers endémiques. 

    C’est surtout que l’Ordre était quasiment devenu anachronique à l’époque de l’éveil des nations et des structures étatiques remplaçant peu à peu les structures féodales. Mais il allait toutefois renaître avec le protestantisme et la sécularisation des biens du territoire.

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 4 juin 2010 10:51

    Bonjour,

    Pour l’heure, l’Allemagne nage dans la Lenamania (référence à ce petit bout de femme ayant décroché le titre de l’Eurovision 2010). Et elle a bien besoin de cette fraîcheur et insouciance au moment où la tourmente s’accentue autour, enfin au sein plutôt, de la zone Euro et qu’elle est désormais accusée par plusieurs de ses partenaires de ne se soucier que de ses propres intérêts.

    Je salue le courage de Herr Köhler, comme celui du Premier Ministre Japonais Yukio Hatoyama : tous deux se sentant désavoués n’ont pas préféré aller plus en avant et courroucer davantage. Un phénomène bien entendu impensable en France où la mauvaise foi politicienne comme l’impunité atteignent des sommets. Le particularisme gallican sans doute...

    Le Président Fédéral c’est un peu comme le Roi des Belges : un arbitre au-dessus de la mêlée politicienne s’autorisant toutefois s’immiscer dans les débats nationaux lorsque les intérêts supérieurs du pays sont en jeu. Ce fut le cas sur le sujet épineux des troupes Allemandes opérant hors du territoire national, Horst Köhler a parlé car à mon humble avis il désirait le faire impérativement, et en a assumé les conséquences (peut-être trop hâtivement car il n’y avait pas de réelle fronde populaire non plus)., ce qui mérite le respect quoiqu’on en pense sur le fond.

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 27 mai 2010 01:58

    Bonjour,

    Ce personnage qu’est Asselineau (un phénomène propre au net à ce propos) a au moins un mérite essentiel : être une force de proposition. Force qui dérange, et c’est tant mieux, en mettant à bas des dogmes érigés comme insusceptibles d’être remis en cause. Je le sais pour l’avoir subi durant ma scolarité où l’on martelait que l’Europe-ci l’Europe-là. Evidemment je ne conteste pas la belle idée projetée (et que l’on vend avec force marketing politique) mais dans les faits ? Dans les faits c’est la négation des populations quant à leur sort et leur vote et la neurasthénie économique généralisée pour l’ensemble des pays de la zone Euro (sauf l’Allemagne pour qui l’Euro a été créé sur mesure ce qui peut se comprendre).

    Je permets de renvoyer à l’analyse grinçante d’un économiste, Frédéric Lordon, quant à la crise actuelle : http://blog.mondediplo.net/2010-05-18-En-route-vers-la-Grande-Depression

    Ce que l’Union Européenne est en train de mettre en place, c’est ni plus ni moins que les bases d’une nouvelle dépression.

    Le plus intéressant c’est de lire désormais ici ou là le mea culpa (et je les en félicite) de personnalités ayant cru que le Traité de Lisbonne résoudra enfin les problèmes structurels de l’UE. Las, ils ont désormais décillé les yeux. Comme le Président du Conseil Européen ou la Haute Représentante pour les Affaires Etrangères et la Politique de Sécurité : inaudibles lors de la crise actuelle et de toute manière ignorés par la communauté internationale sur les grands dossiers... Lorsque ces gens sont le fruit d’un consensus mou, on ne peut que s’attendre à des décisions molles de leur part. Comme Barroso, reconduit par défaut.

    Il arrivera à l’Union Européenne ce qui doit arriver à toute construction politique sans âme tentant de faire abstraction des peuples : l’échec. 

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 13 avril 2010 16:27

    Bonjour,

    Ce qui est fascinant dans le droit des technologies de l’information et de la communication c’est qu’il est très vivant, loin d’être fossilisé et qu’il soulève des problématiques qui ne souffrent pas de réponse à l’emporte-pièce.

    Maintenant évidemment le choix pléthorique en matière de licences n’est pas non plus la panacée. Il faudra de toute manière une fusion, sous couvert de quelques aménagements, pour une meilleure visibilité juridique et ensuite une vraie reconnaissance par les diverses juridictions. Mais je retiens dans le cas présent que tout est parti d’une directive Européenne : seul souci, ces dernières laisse une certaine marge pour la transposition dans la législation nationale. Ainsi les textes ne seront pas forcément identiques en France comme en Espagne.
    Néanmoins l’on peut considérer cette licence comme un pas plutôt positif.

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 12 avril 2010 21:29

    Bonjour et merci à tous pour vos compliments,

    Les Pétchénègues, comme les Khazars, font partie des peuplades Turques qui contrôlaient les grands espaces steppiques et qui constitueront plus tard, par agrégation forcée, le fer de lance de l’armée Mongole (c’est pourquoi il convient mieux de parler d’invasion tataro-mongole). Le fait que les Khazars aient embrassé la religion judaïque est sujet à débat, d’autant que certains éléments donnent à penser raisonnablement que ce furent principalement les élites qui étaient converties et qu’il coexistait au sein de leur empire des minorités païennes, chrétiennes et musulmanes.

    Sinon pour l’origine des Slaves, effectivement on nage en pleine conjecture sans pouvoir avancer de théorie emportant la décision. Plus étonnant encore est la cité d’Arkaïm mise à jour en 1987 et qui n’en finit pas de fasciner par son organisation complexe comme sa disparition inexpliquée, a fortiori lorsque l’on apprend que l’endroit est généralement daté entre le 20ème et 17ème siècle avant J.C. 

    Nous autres Européens qui sommes à l’étroit sur notre bout de péninsule Eurasiatique, il est difficile de se rendre compte combien de grands Empires naquirent puis sombrèrent dans les steppes immenses...

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 12 avril 2010 15:55

    Bonjour Arunah !

    Mes sources sont principalement Russes, et Anglaises pour le reste (côté Français il est vrai que j’aurais peut-être pu me servir de l’ouvrage de Riazanovski mais je ne l’ai pas fait, mea culpa). Les sources Anglaises emploient de préférence Atil et les sources Russes Itil, j’ai tranché en faveur d’Atil mais les deux versions semblent acceptées.
    Merci pour vos explications sur la ville de Kiev. D’ailleurs sur un lien au sein de mon article, il est décrit que l’aire d’influence maximale des Khazars s’étendait un peu plus loin que Kiev si vous regardez bien. Là nous touchons malheureusement à la pauvreté des sources Rus’ hélas, nous rendant dépendants des contributions Byzantines et Arabes principalement.

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 6 avril 2010 01:59

    @ Armand

    Bonjour,

    J’ai été aussi étonné de cette fausse note concernant l’accoutrement militaire des Romains, elle détonne d’autant plus que le reste du métrage est très correct, et que si anachronisme il y a, il se situerait vraiment sur des éléments très marginaux. Je subodore qu’Amenábar se soit tout de même entouré d’experts dans le souci de sortir une oeuvre qui ne soit pas trop sujette à caution historique.

    Le film affiche nettement la dissension entre le préfet Oreste et les dignitaires de l’Eglise, ce qui donnera d’ailleurs lieu à une scène assez forte (que je ne tiens pas à raconter pour ménager la surprise de celle-ci). Déjà c’est le combat entre le spirituel et le temporel qui s’amorce.

    Le christianisme des origines est passé par plusieurs phases, notamment de radicalisation. Avec l’appui de Théodose, c’est nettement une période de radicalisation qui s’annonce. Non seulement envers les païens mais aussi les juifs comme le film l’explicite fort bien (Alexandrie sera vidée de sa population juive sous le ministère de Cyrille). Il ne faudrait pour autant pas penser que les rivalités étaient plus douces entre les différentes obédiences chrétiennes : nestoriens et ariens (pour s’en tenir à ces courants) ont été combattus avec vigueur visant à leur éradication.

    J’attends tout comme vous avec impatience ce DVD en espérant qu’il soit inclus une partie documentaire riche pour mieux appréhender le film dans ses contours religieux et historiques. Sans quoi je me demanderai à quoi peut bien servir un tel support...

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 1er avril 2010 19:12

    @Hieronymus

    Bonjour,

    Pour répondre à vos questions, sachez tout d’abord que l’Agora est un lieu de prime importance où se déroulent les débats publics susceptibles d’intéresser la population de la cité. Or le film débute réellement à partir d’une altercation où un prédicateur chrétien en vient à molester, voire attenter à la vie d’un contradicteur païen. Là où le païen demande de démontrer, le chrétien demande de croire.

    Pour l’incendie de la bibliothèque d’Alexandrie sous César, deux points à souligner : il apparaîtrait que les dégats n’auraient pas été si conséquents que cela, ne détruisant que partiellement le Museîon, ce qui ne sera pas le cas plusieurs siècles plus tard ; César prit l’initiative une fois la situation accalmie de combler les pertes du mieux qu’il le put en transférant un maximum de documents antiques d’autres régions pour les archiver au sein de ce temple du savoir. Il ne pouvait qu’en aller autrement avec les monothéismes universels qui souffraient du besoin de raser le passé pour construire leur avenir. D’autant que le corpus général comportait un temple païen : je le mentionne à nouveau car cela n’est pas innocent dans la soif de destruction des fanatiques lancés à l’assaut du Musée d’Alexandrie (dont la Grande Bibliothèque n’est qu’une annexe).

    J’insiste sur ce point : les païens comme les juifs n’ont jamais eu comme ambition d’imposer à autrui leurs croyances ainsi que de sauver les âmes (surtout contre leur gré) des « infidèles ». Au contraire, au sein de la cité antique pouvaient prospérer plusieurs cultes. Un des moments les plus instructifs du film est justement le zèle poussé à son extrême par les hiérarques chrétiens pointant du doigt l’impiété des juifs qui ne respecteraient pas le chabbat ! Leçon de morale d’autant plus savoureuse lorsque l’on connait la genèse du christianisme en tant que secte judaïque jusqu’à ce que Paul de Tarse décide de s’intéresser de près au sort des Gentils...

    En ce qui concerne le dogme au Vème siècle, il n’était pas encore (et loin de là) totalement fixé. Quand bien même le siècle précédent fut-il très nourri en édits et conciles. L’Empire Romain était entré dans une période de déliquescence de plus en plus irrémédiable : les derniers Empereurs soutinrent (à tort) que le christianisme pouvait resouder les différentes composantes de la société Romaine. Las, il en alla autrement du fait que querelles incessantes, paralysantes et meurtrières. Et je ne parle pas de la crise de conscience des soldats chrétiens du fait du célèbre : « Si tu tues par l’épée, tu périras par l’épée ». Difficile de la sorte de perpétuer la vocation militaire chez les convertis (quand bien même Saint Augustin répondra sur ce point en évoquant le roi David mais il était déjà trop tard). Du fier citoyen Romain Cincinnatus au fédéré Barbare majoritaire dans l’armée Romaine, toute une évolution qui ne favorisa pas le maintien d’une cohésion sociale de l’Empire comme d’une préoccupation du maintien du limes.

    Pour autant le paganisme n’a pas fondamentalement disparu, et je dirais même que le christianisme a du composer avec pour s’implanter dans la durée. N’oublions pas que les premiers chrétiens étaient convaincu de l’imminence du jugement dernier, un dessein eschatologique qui tardait pourtant à venir. Devant le délai de plus en plus long de cet évènement, il devint nécessaire de composer avec la majorité de la population (surtout des campagnes) qui renâclait à délaisser ses anciens Dieux. Tout le talent des têtes pensantes de l’Eglise fut justement de reprendre dates et symboles à son compte : pensons par exemple à la date du 25 décembre ou aux Pâques.avec les traditionnels oeufs qui sont tout sauf chrétiens à l’origine. Et j’ai encore une panoplie d’exemples de ce calibre. Ces sources bénites que l’on désigne ici et là ne sont-elles pas tout simplement des sources sacrées que vénéraient déjà les ancêtres des peuples convertis ? Et ces Eglises se dressant fièrement en chaque petit village, combien d’entre elles reposent en fait sur les fondations d’un site sacré et célébré par d’anciens prêtres ? Ne dit-on pas qu’en Irlande les druides continuèrent à oeuvrer pour leurs ouailles le tout à l’ombre de cette fameuse croix celtique non sans conserver certains attributs de leurs aïeux (renseignez vous sur le christianisme Irlandais, ça vaut la peine) ?

    Comme vous le mentionnez, le Conte du Graal a lui tout seul est un chef d’oeuvre pagano-chrétien smiley

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 30 mars 2010 05:57

    Bonjour,

    Votre propos des plus intéressants mérite effectivement réponse tant le sujet ne peut être que passionnant (et passionné sans nul doute). Devant m’absenter je suis au regret de ne pouvoir y donner suite aussi rapidement que désiré. Cependant je reviends vers vous dès mon retour car les points soulevés sont de prime importance..

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 29 mars 2010 23:12

    Bonjour,

    La fin d’Hypatie est effectivement tragique car sa mise à mort fut volontairement dégradante (au final on se demande pour qui, pour la lapidée ou pour les acteurs de cet innommable spectacle ?). Le film jette un voile relativement pudique sur celle-ci, donnant selon ma propre perception un effet encore plus sordide à l’acharnement de ces fanatiques voulant punir cette femme de sa beauté comme de sa liberté de pensée : cette « démonstration de vertu » cachant mal des sentiments peu charitables refoulés et expurgés par la violence.

    Ne croyez pas que je désire botter en touche sur ce sujet passionnant des querelles religieuses (car jusqu’à la fin de l’Empire Romain d’Occident puis au sein de l’Empire Romain d’Orient) ces questions seront d’une extrême importance, pour ne pas dire gravité de par les troubles inhérents. Et les heurts entre factions furent parfois d’une violence inouïe, surtout lorsque la rivalité ethnique s’en mêlaient (que l’on songe aux Goths convertis à l’arianisme et réfractaires au dogme unifié du concile de Nicée de 325, qui fixera aussi la date des Pâques au passage). Cependant il ne faudrait pas aussi se focaliser dessus car il est nécessaire dans le même temps de se replonger dans la pensée néoplatonicienne. Très touffu comme sujet.... 

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 29 mars 2010 20:46

    Bonjour Arunah !

    C’est aussi une petite déception, cependant exceptée celle-ci et mis à part les costumes des soldats Romains qui m’apparaissent fort peu en adéquation avec les changements imposés par le temps et l’espace sur l’équipement militaire des armées d’Orient, je dois avouer que le réalisateur a eu un réel souci du détail historique. Le propos épique ne tombe pas de l’extrémisme hollywoodien, ce qui est tout à son honneur et prouve que l’on peut avoir de belles fresques cinématographiques sans tomber dans la surenchère. Ceci est d’autant plus plaisant, que les effets spéciaux sont au service de l’histoire (avec un H majuscule aussi) et non comme trop souvent le contraire avec de nombreuses productions cinématographiques.

    En ce qui concerne cet article, j’ai longtemps hésité à le faire bien plus long. En toute honnêteté, je désirais dresser une large fresque historico-théologique en débutant en 313 et le fameux édit de Milan tout en passant par Julien le Philosophe (qui s’attirera plusieurs décennies encore après les foudres de l’évêque Cyrille d’Alexandrie, le même que dans le métrage), ainsi que par les formidables querelles religieuses de l’époque que l’on a peine à imaginer par leur violence (Montanistes, Ariens, Manichéens etc.). J’ai dû faire l’impasse dessus en décidant de centrer l’attention sur le film, et non partir dans des digressions certes riches mais pouvant éloigner de l’oeuvre cinématographique. Nonobstant cet abandon, il est utile de s’y plonger pour appréhender encore davantage les évènements d’Alexandrie et leur tragique épilogue.

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 29 mars 2010 19:50

    @Alfred Mignot 

    Bonjour,

    Oui je vous en prie si vous voulez le diffuser sur votre propre espace. Du moment que les règles habituelles soient respectées je n’y vois aucun inconvénient, au contraire...

    Au passage, votre contribution m’a permis de prendre connaissance de votre portail (LEJMED.FR) très bien fourni et ergonomique. S’il est vrai que je n’opère pas de veille particulière sur cette région du monde, je n’en demeure pas moins curieux de toutes ses évolutions. Merci pour votre passage.

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 29 mars 2010 16:06

    Bonjour à tous et merci pour vos interventions,

    Je vous prie de m’excuser de ne pas opérer une réponse circonstanciée à chacun d’entre vous, faute de temps, mais souhaitant néanmoins vous signifier que je vous lis avec attention.

    Cordialement




  • Yannick Harrel Yannick Harrel 17 mars 2010 20:20

    Bonjour Fergus,

    Mais dites moi, quelle aventure sous votre plume ! Ou l’art de magnifier le sort commun en épopée éducative...

    Cordialement




  • Yannick Harrel Yannick Harrel 16 mars 2010 14:20

    Bonjour,

    J’opère avec le navigateur Opera et il semblerait que ce dernier soit très mal reconnu par les technologies d’édition d’Agoravox.

    Exemple : en employant le cartouche des commentaires, quoique je fasse sur le texte (lien internet, italique, puces etc.), tout est effacé lors de la publication.

    Pour information smiley

    Coridalement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 16 mars 2010 14:11

    Bonjour,

    Entièrement d’accord avec vous : Tim Burton est un vrai poète qui donne à tous ses métrages une touche très particulière. Je garde toujours en souvenir l’excellente adaptation d’une nouvelle de Washington Irving : Sleepy Hollow. La beauté gothique qui s’en dégage est formidable d’onirisme. Et son dernier métrage, Alice au Pays des Merveilles, semble suivre le même chemin pour le même bonheur des yeux smiley

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 16 mars 2010 13:37

    @Faxtronic

    Bonjour,

    Ce qui suscite encore davantage l’inquiétude est que rien en Europe ne semble s’opposer à cette montée des troubles. Aucune mesure concertée, aucune prise de conscience. Et pour être très franc sur cette question de flux migratoires, chaque pays a une capacité limite d’intégration : la main sur le coeur est rarement la voie qui mène aux décisions politiques les plus censées et efficaces. 

    Là où l’on attendrait du social et des mesures énergiques comme raisonnées, l’on n’a droit qu’à de la morale pour seule solution (en réalité admonestation). Comment ne pas donner raison au cinéaste Nikita Mikhalkov lorsqu’il déclare : « Mes propos vont me rendre très impopulaire, je sais, mais enfin, vous autres, les Européens, vous êtes des peuples de vieux, assis sur vos gros culs dans des fauteuils tout mous et vous donnez des leçons aux autres... » ?

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 13 mars 2010 13:40

    Bonjour,

    Ce que l’université de Rennes vient de démontrer, d’autres études (anglo-saxonnes cependant) l’avaient déjà souligné : les téléchargeurs impénitents sont aussi des consommateurs avisés ! Ce qui apparait placé sous le signe de la logique élémentaire puisqu’une personne ne téléchargeant pas est quelqu’un ne s’intéressant pas (ou si peu) aux produits de consommation visés. 

    Les droits d’auteurs sont inadaptés au monde moderne, il est nécessaire de les repenser à l’aune de cette révolution technologique. Malheureusement, la frilosité et l’incompréhension des élus combinées au lobbyisme intense des (gras) acteurs du monde culturel n’est aucunement favorable à une réflexion (et encore moins à une action) sur le sujet. Dans le dernier rapport de la Commission Création et Internet présidé par M. Zelnik, la licence globale fut écartée en quelques lignes en défendant la liberté et l’indépendance de l’artiste ! Savoureux lorsque l’on sait de quel côté penche le fléau de la balance entre les artistes et ceux qui ont en charge de gérer leurs droits...

    Cordialement



  • Yannick Harrel Yannick Harrel 12 mars 2010 22:15

    Bonjour,

    Je ne l’ai pas connu personnellement, mais en Alsace/Lorraine nous vivons encore sous ses lois.

    Pourquoi ?

    Cordialement