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Les commentaires de Rounga



  • Rounga Rounga 15 décembre 2014 11:04

    Sérieux qui a envie de se taper 1000 pages contre Soral & ses potes ?


    Pour mise au point : l’article concerne non pas l’ouvrage de 1000 pages que Nabe a annoncé (et qui devrait plutôt en faire 2000), mais sa revue Patience, dont le numéro 1 est consacrée exclusivement à l’Etat Islamique.
    Ensuite, il faut peut-être préciser à ceux qui ne comprennent rien à la démarche de Nabe que le livre ne va pas parler uniquement de Soral et Dieudonné, mais abordera également toute l’actualité récente. Il s’agira d’une immense fresque.


  • Rounga Rounga 15 décembre 2014 11:00

    Au fait, rahsaan, j’ai envoyé deux mails à l’adresse que tu m’as donnée. Tu les as reçus ?



  • Rounga Rounga 13 décembre 2014 13:10

    Enfin ! Depuis le temps que cet article moisissait en modération. J’ai bien cru qu’il n’allait jamais paraître...

    Énorme morceau que ce numéro 1 de Patience, plein d’informations inédites dont les conspis feraient bien de prendre connaissance. C’est Nabe au meilleur de sa forme.


  • Rounga Rounga 7 décembre 2014 00:33

    Je repasserai probablement jeudi soir vers 18h, sauf imprévu. D’ici là j’essaierai de faire un article ici-même sur Patience. A bientôt j’espère smiley



  • Rounga Rounga 5 décembre 2014 16:24

    J’ai déjà écrit un article pour montrer où mène la science. Refusé trois fois. J’essaie encore une fois de le publier la semaine prochaine.



  • Rounga Rounga 5 décembre 2014 15:09

    Bien écrire demande de la concentration, de l’application, une maîtrise de ses gestes et de sa respiration. Les asiatiques le savent mieux que nous, et pour eux la calligraphie est un art très pratiqué, tandis que chez nous c’est un passe-temps obsolète. S’appliquer à bien faire quelque chose de sa main est inutile pour la plupart des métiers, mais c’est essentiel pour la formation de la personnalité. Car si nous sommes différents des autres animaux, c’est parce que nous avons un langage et que nous avons des mains. L’écriture manuelle, qui consiste à retranscrire son langage grâce à la main, est une activité éminemment fondatrice de notre humanité. On peut s’imaginer que dans un futur éloigné, nos descendants auront muté et n’auront plus qu’un seul doigt à chaque main, tant la robotisation aura rendu inutiles les organes de préhension, et l’intelligence aura considérablement chuté.



  • Rounga Rounga 5 décembre 2014 08:17

    Tout juste !



  • Rounga Rounga 4 décembre 2014 12:01

    il y a juste une vulgarité bête et infantile très courante


    Pour rappel, Hara Kiri était un journal autoproclamé « bête et méchant ».


  • Rounga Rounga 4 décembre 2014 11:50

    Bonjour Eric,

    C’est en effet frappant de constater à quel point le régime représentatif est présenté comme le meilleur, ou du moins « le pire à l’exception de tous les autres », pour reprendre le mot de Churchill. Il s’agit sûrement d’une tendance générale de tout pouvoir d’affirmer qu’il n’est pas possible de changer de régime, sous peine de courir de grands périls. Le pouvoir s’octroie ainsi un rôle de protecteur contre d’hypothétiques ennemis (le fascisme, le terrorisme, la barbarie, etc.), ce qui permet de contrebalancer ses échecs les plus patents.
    Mais ce qui est spécifique à la démocratie moderne, c’est que cette posture est contradictoire avec les principes qui la fondent. Car si c’est le prétendu Progrès qui est au coeur de toute la dynamique politique actuelle, et qui préconise de se débarrasser des archaïsmes, pourquoi ce principe ne s’étendrait pas à la démocratie, qui serait appelée à revêtir une nouvelle forme ? Cette contradiction n’existe pas dans une monarchie de droit divin, qu’on ne peut remettre en question que par un changement total de paradigme (la souveraineté ne vient plus de Dieu, mais du peuple).
    On peut donc prévoir raisonnablement que ce changement aura lieu, d’une manière ou d’une autre, et que plus nous serons préparés, mieux ça se passera.




  • Rounga Rounga 4 décembre 2014 10:29

    Il s’agit de dessins pour Hara-Kiri, donc on ne peut pas vraiment attendre quelque chose de « culturel ». C’est destiné à faire rire avant tout.



  • Rounga Rounga 4 décembre 2014 10:26

    Merci pour cette contribution enrichissante.



  • Rounga Rounga 3 décembre 2014 09:53

    J’ajoute que le catalogue de l’exposition est consultable ici.



  • Rounga Rounga 2 décembre 2014 10:29
    Selon moi il faut bien distinguer le polémiste du philosophe. Soral est plus polémiste que philosophe. Il a une bonne culture philosophique qui lui permet d’étayer ses analyses, mais il n’a rien créé en philosophie. C’est en ce sens qu’il s’inscrit, comme je l’ai dit, dans une tradition, et qu’il réutiliser les concepts des autres en se les assimilant. En revanche, on peut lui reconnaître qu’en tant que polémiste, il a souvent été en avance sur les autres. A présent Zemmour, Finkielkraut, Polony,et même Mélenchon répètent des choses qu’il était seul à dire il y a quinze ans.


  • Rounga Rounga 2 décembre 2014 09:19

    en quoi la source de « Hitler m’a dit » serait-elle suspecte ?


    Parce qu’il ne s’agit que de propos de table attribués à Hitler, et que rien ne nous garantit de l’authenticité de leur contenu. Rauschning aurait très bien pu écrire n’importe quoi, on n’a aucun moyen de vérifier. Cela dit la plupart des propos rapportés m’ont l’air probables, car ils correspondent assez bien à l’analyse qu’on peut faire du nazisme.


  • Rounga Rounga 2 décembre 2014 09:11

    je parie gros qu’il n’a rien inventé, rien découvert, rien compris tout seul 


    Parce que vous pensez que ça existe, des gens qui inventent, découvrent, comprennent tout seuls ? A part quelques génies arabes capables de découvrir le théorème de Thalès dans le trou du cul du monde, aucun penseur ne peut se targuer d’avoir une pensée intégralement originale et nouvelle. Tout penseur s’inscrit dans une tradition, récupère la pensée de ses prédécesseurs, l’analyse, la critique, y apporte des ajustements, en extrait ce qu’il trouve pertinent, en retire ce qui l’est moins, et tente de rendre ce qu’il a intégré dans un tout cohérent. Vous ne trouverez jamais un intellectuel qui n’ait pas procédé de la sorte. Par conséquent, critiquer Soral parce qu’il n’aurait rien inventé tout seul est totalement ridicule.


  • Rounga Rounga 2 décembre 2014 09:02

    exemple typique de tentative de réhabilitation du Reich


    Énoncer des vérités n’est une tentative de réhabilitation de rien du tout. C’est un respect dû à la vérité, et non une volonté de défendre quoi que ce soit à cause de préférences personnelles.
    On pourra trouver tous les défauts qu’on veut au système économique du Reich, il n’empêche qu’il a utilisé cet outil génial qui était la traite de travail, que c’est le seul pays occidental de cette période historique à avoir eu des salaires et une monnaie stables. Le défaut principal résidait dans le fait que, pour maîtriser l’inflation, il fallait également maîtriser la consommation, d’où le rationnement. C’est justement pour mettre fin au rationnement que le Reich avait projeté une alliance avec d’autres pays européen. En cela, fifi a raison lorsqu’elle me fait remarquer que l’idée de la construction européenne a beaucoup à voir avec le projet hitlérien, mais elle n’explique par les raisons économiques qui sous-tendaient ce projet.


  • Rounga Rounga 2 décembre 2014 08:55
    Electric,

    Quand on veut faire une bonne critique, il faut être exact, et attaquer directement les points du discours que l’on veut réfuter. Votre critique à vous s’en prend à des généralités qui n’ont qu’une lointaine et très floue ressemblance avec le discours de Soral, et par conséquent elle est totalement inopérante.

    -Lorsque vous tentez de montrer que Soral a plagié l’ouvrage de Makow, vous ne faites que montrer que ce livre fait probablement partie de la bibliographie de Comprendre l’Empire, de même que Naissance de la civilisation, de Vere Gordon Childe, de La conjuration antichrétienne, de Mgr Delassus, Les trois ordres ou L’imaginaire du féodalisme, de Georges Duby, La crise du monde moderne, de Guénon, Le capitalisme de la séduction, de Clouscard, Le spleen de Paris, de Baudelaire, Wall Street et l’ascension d’Hitler, de Sutton, Les illusions du progrès de Sorel, de même que l’oeuvre de Carl Schmitt, Henry Wallon, René Girard, Jean Piaget, Lucien Goldmann, Georg Lukasc, Marx, Proudhon, Bakounine, etc. Il ne faut pas être naïf au point de s’imaginer qu’un intellectuel travaille à partir de rien, et invente des concepts ex nihilo. N’importe quel penseur s’inscrit dans une tradition, et s’assimile un certain nombre d’auteurs dont il intègre la pensée à son discours. Retrouver une de ses influences probables parmi d’autres ne suffit pas à en faire un plagiaire.

    -Lorsque vous prétendez que Soral aurait omis volontairement de son livre ou de son discours des éléments hostiles au nazisme, comme par exemple le fait que Hitler ait été financé par Wall Street, vous vous mettez le doigt dans l’oeil. Pourquoi, dans ce cas-là, vend-il Wall Street et l’ascension de Hitler de Sutton sur sa plate-forme internet ?

    -Lorsque vous « révélez » que le projet d’Hitler était fou, au passage en citant une source suspecte, on a envie de vous dire que vous découvrez l’eau chaude. On voit mal en quoi cela serait une objection au discours de Soral, étant donné qu’il se démarque toujours de la doctrine politique nazie. Le problème est sans-doute que vous vous arrêtez à l’évocation du mot « national-socialiste » sans aller voir quelle est l’intention de Soral quand il utilise ce terme. Ce n’est en rien une profession de foi pour le régime nazi, puisqu’il se prononce pour un national-socialisme français, c’est-à-dire inspiré de la pensée française, et non un national-socialisme allemand, obnubilé par la question raciale et territoriale :
    « Donc, ma réponse, c’est que je ne suis pas d’extrême-droite, je suis national-socialiste, mais tu peux considérer que c’est pire !
    J’ajouterai, pour que tu ne me prennes pas juste pour un provacateur, un national-socialiste français : sans besoin de recours à une théorie raciale pour des raisons d’espace vital, ce qui correspondait à la situation allemande. L’idéologie découlant souvent de la géographie !
    Je suis national-socialiste à la manière d’Hugo Chavez soit, compte tenu du contexte actuel de comination par le mondialisme militaro-bancaire, un authentique homme de gauche ! Comprenne qui voudra... » (Dialogues désaccordés)


  • Rounga Rounga 2 décembre 2014 08:14

    « La révolution bolchévique a été financée par Wall Street et la City » : C’est le genre d’anerie que l’on trouve chez Soral ?
    C’est la contre vérité face à la réalité du nazisme financé par Wall Street et la City, non ?


    L’un n’empêche pas l’autre. Sutton a travaillé sur l’un et l’autre.


  • Rounga Rounga 1er décembre 2014 16:30

    Non seulement Hitler était un internationaliste forcené, mais en sus, le miracle économique allemand n’a été qu’une longue fuite en avant financière qui ne pouvait amener le Reich qu’à la ruine au bout de la route.


    Alors là, pas d’accord. L’Allemagne nazie avait réduit drastiquement son taux de chômage après la crise de 23, et avait redressé économiquement le pays à tel point que celui-ci tenait encore bon après des années de guerre et d’embargo.
    Le principe économique de l’Allemagne : l’étalon-travail et la découverte du double-circuit de la création monétaire. Principes récupérés en douce par les leaders européens pendant les trente glorieuses soit dit en passant.
    Ce n’est pas parce que politiquement le nazisme était une saloperie qu’on doit taire sa réussite économique.