@moderatus
Vous prenez les gens pour des cons, avec votre lorgnette instrumentalisée, au lieu de voir le plan d’ensemble. Et les présidents d’opérette, imposés par le Kremlin, pour tenter de faire disparaitre l’ukraine.
Le dombass, c’est le même narraitf que les sudètes d’Hitler.
Résultat final. Le peuple Ukrainien s’est arraché la langue russe de la gueule. Et il n’y aura plus aucune histoire possible entre les deux peuples. Quand à la culture Russe, qui a encore envie de s’y intéresser. Mis à part « crime et chatiment »
@charlyposte
Un tribunal présidé par des représentants venus de corée du nord, et d’iran..
.Les indiens n’ont pas fiini de rigoler, après avoir entendu les déconnades de Labrov, le one’s man show impayable....
@Massada
Pour faire une expertise, il faut avoir le patient en face de soi, et mulitplier les entretiens, et les observations. Je suis surpris qu’un psychiatre déroge à cette évidence. Il est certain que Poutine tient du paranoïaque, ( méfiance, rigidité, hypertrophie du moi, fausseté du jugement) mais la paranoïa n’est pas une maladie mentale, juste un type de personnalité. Les parnoïques sont souvent très bien intégrés, grace à ce que certains tiennent pour des qualités, et qui peuvent l’être effectivement dans les métiers de la surveillance.
Il est assurément psychopathe. Aucune émotion. Un homme froid qui aime humilier ses proches. Toujours sur ses gardes comme un serpent. Manipulateur, il a su construire sa toile comme Staline avant lui, que Trosky a méprisé à tort. Poutine lui aussi à fait croire à la monenclatura qu’on pouvait l’instrumentaliser. Boris Eltsine s’est aperçu un peu tard de son erreur.
Ce qui est certain aussi, c’est que l’homme s’est isolé, victime lui de ce qu’il a imposé, une verticalité du pouvoir, en lien avec ses précédents notoires, tel Ivan le terrible, possiblement halluciné et fou, et Joseph staline, que n’importe quel homme en URSS épouvantait, tant il était imprévisible, et pervers. Il est mort faute de soins, car aucun médecin n’osait intervenir....
On pensa longtemps Poutine comme un interlocteur possible. Les liens commerciaux n’auraient pas été faits sinon...Merkell a été tout de même un brin victime de son refus de voir le risque lié à un manque de diversité des sources d’energie en allemagne. Cette naïveté a tourné ensuite dans le camp Russe, quand Poutine pousse la mégalomanie à croire qu’il peut exercer un chantage total sur l’occident avec la détention des robinets de gaz et de pétrole.
L’homme s’est certainement enfermé dans son propre narratif, et se pense maintenant comme l’incarnation historique d’une necessité, celle d’un nouveau « lelbenstraum », ce délire de la maitrise d’un espace vital necessaire à la réalisation d’une recomposition de l’empire. Il n’est pas habitué à la critique, et encore moins à l’échec. Il se vieillit et traverse une épreuve qui s’avère sans issue pour lui.
C’est en ce sens qu’ll est sans doute aussi dangereux qu’Hilter qui avait pensé que son peuple n’était plus digne de lui, quand les choses ont mal tourné, et que le mieux à faire était que la naiton allemande devait disparaitre. Une obsession de la mort comme solution finale.
Face à un psychopathe, qui a la psychologie d’un pervers doublé de celle d’un maitre chanteur, la régle est de l’affronter. Et surtout pas de céder.
@Nicole Cheverney
Chrétienne... ? Comme le patriarche de Moscou qui incite les légions wagner au pogrom ?...Quand on a lit Montesquieu on est à priori vacciné contre la bétise et le totalitarisme....Il faut de solides oeillères pour sortir de telles aberrations, sans compter un manque total de dicernement tenant du fanatisme.
Cela me fait penser à la femme de Geobbels qui au bout du mensonge et de la nuit, avait empoissonné tous ses gosses avant de se suidicer elle même, pour ne pas avoir à assumer ses mensonges
@Pie 3,14
La propagande demande une certaine habiliité et doit se conformer au pays où elle tente de s’implanter, sinon c’est du n’importe quoi....
@moderatus
Troisième guerre mondiale ou pas, ce n’est ni Zelensky ni nous qui avons mis le feu aux poudres, mais Poutine.
Il porte toute la responsabilité de son acte fou. Sans doute pensait il qu’avec ses menaces il nous tenait par les couilles, pour reprendre sa vulgate fachisante. « Qui sème le vent récolte la tempète », dit la Bible.
@moderatus
Votre version honteuse du « clown zelensky » né de la bouche de Poutine, pour tenter de discriditer l’Ukraine, un pays qui selon lui n’existe pas, et de la même obédience que celle d’Hitler, qui disait que la Pologne n’était pas un vrai pays.....
Une vulgate fachisante, faisant scession de toute intelligence, basée sur la haine, et le mépris, tentant de donner un sens à ce qui n’a aucune légitmité. C’est sur ce sujet, que vous auriez du faire un article. Dont les derniers crimes issus de cette volonté de dégrader l’autre, ont été observé en Bosnie et au rwanda....
Il faut salir l’autre avant de le tuer, de le priver de sa dimension humaine. C’est à ça que s’emploie la Russie. Anna Arendt à travailler sur ce sujet dans ses écrits sur le totalitarisme. C’est un classique.
Vous ne vous illustrer pas par la clairvoyance en reprenant ce narratif fait pour mettre les foules en marche. Qu’il fonctionne en Russie dans ce pays totalitaire et propagandiste où les mensonges tournent en boucle est désolant.
Les reprendre dans un pays libre, sans voir à priori leur caractère fascisant et criminel en essence est plus grave. Et tient soi de la bétise, soit de la volonté de manipulation. Mais même la propagande doit s’adapter à chaque pays. La traduction du Russe en Français de bien des articles ici, comme ceux du soi disant « Bravo » en sont des exemples
Zelensky est indibitablement un héros bien plus consistant qu’un polititicien de métier comme notre Fillon, l’homme du Kremlin qu a failli être notre président...Cet homme venant des chemins de traverse, est maintenant honnoré dans tous les pays libres.
Il n’a pas fui de son pays quand les soudards sont arrivés. Ce n’est pas le premier « clown » a étonné. Gandhi était considéré comme un pouilleux par les anglais. C’est dans les circonstances graves que la trancendance s’éxprime au travers d’homme à priori peu faits pour le pouvoir, et par cela même, arrivant à une légitmité par leur clairvoyance et leur engagment, dénué d’ambition personnelle, se mettant au service d’une cause. Mais même une femme, comme notre Jeanne d’arc national, considérée comme une ’sorcière" afin de pouvoir la bruler, est dans les mêmes hauteurs de l’histoire. Poutine restera pour l’histoire, un imbécile et un criminel de guerre. Et Zelensky un exemple certain d’engagement et de courage !
@marly
« avec cette détestation de tout ce qui est russe »
Vous vous trompez. J’ai beacoup apprécié ’crime et chatiment« ...L’histoire présente méttrait ce titre de Doestoeski au pluriel.....
Sans compter »Guerre et paix’ du grand Tolstoï. Le titre vaudrait maintenant des ennuis au conte, qui avait eu des mots très durs sur ceux qui envisageaient une guerre contre les Ukrainiens, qu’il appelait déjà un crime fraticide.
Il serait peut être obligé de le renommer « Opération spéciale et suite ». Un titre qui pourrait encore évoluer.
A vrai dire, je doute que Poutine ait lu autant de romans Russes que moi. Contrairement à ce que vous pensez, j’aime la Russie, sa culture. J’aime aussi la culture allemande mais je n’aime pas plus Hitler que Poutine.
Un des romans Russes que je préfère ; « Oblomov’ de Gondcharov. Oblomov est un type qui ne ferait pas de mal à une mouche. Un brin apragmatique, mais très intelligent, et un brin dépressif, persuadé que toute agitation est vaine.
»Même de nos jours, le Russe, au milieu de la réalité sans fantaisie qui l’environne, aime croire aux séduisantes légendes du passé. Et il se peut fort bien que pendant longtemps encore il refuse d’y renoncer."
@volèm rien
« Au fait, Staline était géorgien et pas russe »
Dommage que staline n’est pas été Ukrainien.
Ca légitimerait l’invasion de ce pays que notre camarade Vlad le vampire définit comme l’empire du crime.
« Un millon de mort », attribué à Staline. Non, même l’historien le plus véreux ne suivrait pas. C’est comme si vous disiez que Jack l’éventreur n’a tué qu’un chat...Déjà il a liquide 5 à 8 millions d’ukrainiens pendant la grande famine qu’il a artificielment crée afin de les mater.
On voit que ça n’a pas suffit. Pour le reste, les dix millions de morts contre le nazisme sont couramment évoqués. En n’oubliant pas que Staline les envoyait à la boucherie, sans dicernement.
Quand au goulag, il suffit de chercher sur le net. Mais on n’est pas là non plus au million de morts près.
@phan
Il faudra expliquer le rapport avec l’ukraine.
En n’oubliant pas au passage, que les USA et l’URSS étaient toutes deux alliés contre les forces de l’axe.
Les femmes ukrainiennes et leurs gosses ont elles à payer pour toutes les exactions sans nombre qui se sont passés sur cette planète ?
En n’oubliant pas le fait que les Russes n’ont rien à envier à personne en la matière.
Votre hostilité envers les USA n’était pas partagée par le camarade Staline, qui remercia les états unis plusieurs fois de leur aide, et Kroutchev avoua que la victoire n’aurait pas été possible sans eux...Poutine ne s’en vantera pas. Mais il y a les archives : Dans une lettre qu’il adresse à Roosevelt en juin 1941, Staline écrit :« Votre décision, Monsieur le Président, d’accorder à l’Union soviétique un crédit sans intérêt d’un milliard de dollars sous forme d’équipements et de matières premières a été accueillie par le gouvernement soviétique avec une profonde gratitude comme une aide urgente dans son combat énorme et difficile contre l’ennemi commun — l’hitlérisme sanguinaire. »
Des remerciements que Staline réitérera en portant un toast avec les dirigeants alliés lors de la conférence de Téhéran, en décembre 1943 : « Les États-Unis (…) sont un pays de machines. Sans ces machines obtenues par le biais du programme prêt-bail, nous aurions perdu cette guerre. »
Nikita Khrouchtchev, qui a dirigé l’Union soviétique de 1953 à 1964, partageait le point de vue de Staline. Il rappelle dans ses mémoires la valeur que Staline attachait au programme prêt-bail : « Il a déclaré sans ambages que si les États-Unis ne nous avaient pas aidés, nous n’aurions pas gagné la guerre. »
@marly
Non, il n’y a jamais eu de révolution en Russie.
Du régimé des tsars à Poutine, ce pays n’a toujours été que celui du règne de l’autoritarisme, de l’enfermement, du mépris total de la valeur de la vie. Un pays paranoïaque et nationaliste renfermé sur lui même, craint pas ses voisins. L’épiosode communiste fut la plus grande mystification propagandiste de l’histoire humaine.
Marx voyait en la Russie la pire hypothèse pour expérimenter un régime communiste, qui selon lui ne pouvait que de se transformer en tyrannie, du fait du féodalisme des institutions Russes, et de leur absence totale de démocratie.
@titi
« Le premier réflexe de nos dirigeants a été de faire porter la responsabilité du drame aux étrangers, en prétendant que ce submersible insubmersible ne pouvait avoir été envoyé par le fond que par un missile américain. Puis ils se sont rétractés, les avantages de faire porter le chapeau aux étrangers balayé par l’inconvénient de devoir justifier une absence de riposte, de ne pas avoir atomisé l’agresseur ou même plus. La version la plus neutre consistait alors à expliquer qu’une vieille torpille avait explosé à l’avant du bâtiment. Ils ont répandu cette rumeur avant de savoir quelle était la vraie cause qui peut bien être celle-ci, au final. Mais, dans tous les cas, ils ne voulaient pas être pris à contre-pied par les révélations des survivants. Ces hommes devaient mourir pour que le doute puisse continuer à bénéficier au pouvoir, pour que la vérité ne puisse lui être jetée à la face. Au bout du compte, que sont ces vingt-trois vies, comparées à un secret d’Etat à naître ? Rien. Et cela n’a rien de choquant. Le contraire aurait étonné. Dans un pays où la vie ne vaut rien, où la mort a longtemps été une délivrance, peut-on concevoir qu’on échange des siècles d’exercice du pouvoir dans le secret contre les vingt-trois vies d’hommes qui ont choisi le métier des armes ? Le contraire aurait été à lui seul une révolution. Et de révolution, dans ce pays, nous n’en avons jamais eu. »
Marc Dugain : « Une exécution ordinaire », A propos du sort des sous mariniers du Kourks, dont le traitement médiatique ressemble étrangement à celui du narvire « Moskva »
@Canastel
Renseignez vous. Zelensky n’a pas envahi la Russie.
@Pie 3,14
Quel puisse être l’auteur de ce sabotage, on s’en félicitera.
Il a mis un terme une bonne fois pour toutes, à des relations nauséabondes.
Impossible de faire confiance en la Russie après son blitzkrieg, lié au fait que Poutine pensait tenir L’europe par les couilles en tenant le robinet du pétrole et du gaz.
On remarquera d’ailleurs que la dite ’opération spéciale’ commence juste après l’inauguration du réseau northstream .
Cet imbécile infatué, a fait une erreur considérable de jugement.
Il a tant dit que l’’occident était lâche et dégénéré qu’ils a fini par croire en ses propres mensonges.
Une conséquence économique : Cette rupture commerciale nette, va accélérer le recours aux énergies nouvelles, et menacer la rente énergétique sur laquelle était assise la Russie
@titi
« 26 millions de Russes qui se sont sacrifiés »
Le chiffre est fort, très gonfflée, « à la russe »....
Beaucoup sont morts sans aucune doute. L’URSS fut le premier pays victime du nazisme...mais aussi du stalinisme..... Mais ils ne sont pas sacrifiés pour la plupart, mais ont été sacrifié, ce qui n’est pas la même chose.
Les soviétiques furent baisés des deux cotés pendant ces années. L’ennemi était devant, mais aussi derrière. Vassili Grossman en fera le contat, en comparant les deux totalitarismes, nazi et soviétique, pour dire qu’ils étaient tous deux de même nature.
Rappelons que les purges stupides de Staline, juste avant guerre, décapita l’état major de son armée, et des centaines de milliers d’officiers.
Hitler a profité à fond de cette fenètre historique. Sans l’aide des alliés, les Russes se faisaient applatir. Le courage n’aurait pas suffi, d’autant que Staline commandait ses troupes comme Poutine le fait actuellement. L’art militaire n’est pas la première qualitré des dirigeants Russes.
Depuis des générations, ils imposent à leurs troupes d’avancer sans dicernement, et de marcher sur les cadavres. Les divisions de chars allemands rapides ont encerclé 5 millions de soviétiques, à qui leur état major avait refusé qu’ils reculent....Une bonne partie de ces hommes, parmi ceux qui survécurent, c’est à dire moins de la moiité, furent jugés, car suspectés de lacheté et de diversion. Un prisonnier Russe, est toujous suspect, quand il revient parmi les siens. Ceux qui firent les guerres perdues encore plus. Les soldats envoyés pendant la guerre d’espagne finirent tous au goulag. C’est là aussi que furent envoyés pas mal de ces ex prisonniers, quand ils ne furent pas fusillés. Le goulag, c’est la machine d’exploitation osant mettre en avant un argument politque, qui fut crée par les tsars, et dont Staline aggrandit la voilure. Un soviétique sur cinq passa par le goulag.....Des camps d’internement intensifs, qui furent niés par les communistes français pendant des décénnies. On choisit d’être aveugle quand on est militant et qu’on a sa carte.
@velosolex
Il est faux de croire que Staline cracha toujours sur les states. Le camarade Joseph pourrait venir tirer l’oreille à tous ces Zélés de Vladimir qui s’en prennent à l’occident décadent et pédophile, et certains que l’URSS nous sauva tout seul de l’oppression nazie....
Dans une lettre qu’il adresse à Roosevelt en juin 1941, Staline écrit :« Votre décision, Monsieur le Président, d’accorder à l’Union soviétique un crédit sans intérêt d’un milliard de dollars sous forme d’équipements et de matières premières a été accueillie par le gouvernement soviétique avec une profonde gratitude comme une aide urgente dans son combat énorme et difficile contre l’ennemi commun — l’hitlérisme sanguinaire. »
Quelque chose me dit que Poutine ne parle pas de cette lettre de Staline dans ses livres d’histoire et d’images d’Epinal.
Des remerciements que Staline réitérera en portant un toast avec les dirigeants alliés lors de la conférence de Téhéran, en décembre 1943 : « Les États-Unis (…) sont un pays de machines. Sans ces machines obtenues par le biais du programme prêt-bail, nous aurions perdu cette guerre. »
Nikita Khrouchtchev, qui a dirigé l’Union soviétique de 1953 à 1964, partageait le point de vue de Staline. Il rappelle dans ses mémoires la valeur que Staline attachait au programme prêt-bail : « Il a déclaré sans ambages que si les États-Unis ne nous avaient pas aidés, nous n’aurions pas gagné la guerre. »
@Mozart
« Vlad le révisionniste », pense que l’URSS a délivré toute seule l’europe du nazisme, en oubliant, un détail, l’aide des alliés, et particulièrement les états unis, en dollars, en munitions, avions, et.....Chars d’assaut. https://bit.ly/3y4i6aN Furent ainsi donnés, entre autres.
@charlyposte
7 Mots, c’est mieux quand même que « vos sources »..
.Faut bien faire avec vos trois neurones se mettant au garde à vous, pour gagner votre croute sur la plate forme d’influence.
@alinea
Tiens revoilà l’ankou qui plane de nouveau sur les cadavres. Elle a aimé Bachar et ses tortionnaires. Elle adore encore plus Poutine, et Labrov, sans compter les wagner se prenant pour des walkyries.
Pauvre société de spectable, qui voit des clowns, là ou il y a des héros, et des anges rédemptereurs, à la place des bourreaux.
« c’est juste que ça ne colle pas avec ce que je sais »
Que répondre à de tels déréglements ?.... Ce n’est pas de presbytie, ni de la démence. Un mix entre le réglement de compte avec la société, et un problème de digestion ayant rétréci le coeur et la raison comme un vieux cornichon baignant dans du vinaigre
Les mains dans la merde, ou dans le sang, vous remettraient davantage les idées en place, qu’en les trempant dans le lavoir, où l’on ne parvient jamais à récupérer le linge quand il est trop sale.
Cela nous ramène aux « beaux draps » de Celine, à tous ces idiots d’extrème droite qui hurlèrent avec Hitler à la mort, pensant que l’Allemagne était allié salvateur contre l’amérique.
Faut vraiment arriver à se mettre dans le sac et accepter de se transformer en couillon, pour écire une telle daube. On ne ne peut s’en tenir aux faits, évidemment, qui sont accablants.
Les nazis croyaient encore à la victoire en 45, après leurs forfaits. Les Russes sont tombés dans le même cul de basse fosse, et ne savent plus comment s’en sortir. Leurs soit alliés,comme les indiens, qui ne sont que des opportunistes en fait, ne peuvent s’empécher de rire, quand Labrov parle d’invasion Ukrainienne. Une invasion barbare, des oradour en pagaille, des villes anéanties, des dizaines de milliers d’enfants Ukraiiniens enlevés à leurs parents, pour être déclarés « adoptables » en Russie.
Et voilà un type qui se croie légitime de prendre la photo d’Enstein, (qui serait bien surpris d’être embarqué dans une telle récupération), pour soigner son avatar, inversant l’accusation pour transformer Zelensky en clown, selon la voix de son maitre Poutine. https://bit.ly/41PX6SE (l y a 3 jours — Vidéo Guerre en Ukraine : en Inde, Sergueï Lavrov provoque des rires en affirmant que le conflit a été lancé « en utilisant des Ukrainiens »
Il faut descriditer celui qu’on veut tuer. C’est une vieille raclure de l’histoire. Les nazis l’ont fait à propos des juifs. Avant cela les anglais avaient transformé Jeanne d’arc en sorcière, pour pouvoir la brûler. C’est une rhétorique fachisante, qui exclue l’intelligence, la compréhension, et qui s’adresse aux idiots, à ceux prêts à partir pour de nouveaux pogroms.
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