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Les commentaires de Taverne



  • Taverne Taverne 24 octobre 2010 21:11

    Vous faites encore avancer le débat Djanel ? Quel talent ! Cela vous dérange-t-il que les gens s’expriment. Ou cela vous dérange-t-il de voir que des personnes ont du vocabulaire et pas seulement, comme vous, des mots d’injure et de mépris ?



  • Taverne Taverne 24 octobre 2010 21:07

    « pauvre plouc de basse bretagne. » On dirait du Sarko dans le texte avec ses « connards de bretons ». Les types qui n’ont que l’insulte comme argument sont bien à plaindre et souvent ils ne jouent aucun rôle utile pour leur pays.



  • Taverne Taverne 24 octobre 2010 12:30

    C’est ainsi qu’on les prit en photo tous les deux réunis sous un parapluie. Sur les planches de Deauville, il pleuvait mais on entendait la chanson : “shabada bada, shabada bada”. Comme au bon vieux temps des comédies musicales. Mais personne ne force Nicolas à la fermer pas plus que Fred à s’taire . On faillit assister à la fin de l’idylle quand il dit “je dois vous parler de la Grèce”. “Que dites-vous là”, s’indigna-t-elle, je n’en ai point de trop. Hier encore, les trois petits cochons y trouvèrent bien à faire…” Mais, non, rectifia Nicolas qui s’aperçut de sa méprise et se tira d’affaire en lui parlant du cas des Grecs. Ils décidèrent qu’ils allaient les punir. Au moment de la photo finale, comme Nicolas se perdait dans cette forêt de grandes jambes, tandis que le petit poussait - petit Poucet - , Angela, un peu amère - et même s’il n’y avait pas plus amère qu’elle - Merkel -, lui fit une place auprès d’elle.



  • Taverne Taverne 24 octobre 2010 12:03

    Mais restons encore un peu dans cette histoire. Car, après tout, un petit coin de parodie pour un coin de paradis, vous n’perdez pas au change, pardi ! Mais lui, non plus, le Nicolas, qui avait maintenant le nez dans le corsage d’Angela. « Il se faut bien reconnaître qu’il y a du monde au balcon », se dit-il, et il ne se pencha que mieux, se prenant à rêver que du haut de ce charmant balcon, il pourrait mieux regarder passer le peuple des rois des cons. Car c’était un jour de manif .



  • Taverne Taverne 24 octobre 2010 11:35

    Qu’avez-vous là dans votre panier à provision, lui demanda Angela. Oh ! ce n’est rien qu’un petit million, et la galette du peuple des rois des cons mais ça me réchauffe le coeur à la manière d’un feu de bois. Justement, de feu de bois il n’y avait pas car Angela avait oublié de faire du feu dans la cheminée. Alors ce qui devait arriver arriva, le petit Nicolas prit froid :

    - « Ach ! Pitite nature ! », s’écria Angela.
    - Angela, Angela ! J’ai des engelures, se plaignit Nicolas, Ma mie regagnons la voiture ! "

    C’est ainsi qu’ils partirent pour Deauville.



  • Taverne Taverne 24 octobre 2010 11:21

    Le petit Nicolas se promenait dans la forêt avec son petit panier à provision. Y’avait dedans un cadeau de grand’maman Liliane : un tout petit miliion parce qu’il le vaut bien et la galette des fonds de pension du peuple des rois des cons. Nicolas tenait à la main le billet doux de sa promise « Ach ! meine pitite Nicolas, je me languis d’amour pour. Rétrouvez-moi dans ma kleine Zimmer. » Il arriva devant la maison de sa bienaimée mais la porte ne s’ouvrit pas :

    « Angela l’attendait là, dans son lit, grimée en grand méchant look. Elle lui cria : Tire la talonnette et l’oreillette cherra. Nicolas tira la talonnette et la porte s’ouvrit. »



  • Taverne Taverne 24 octobre 2010 10:50

    - "Nicolaaaaas !
    - Angelaaaaa !
    - Nicolaaaaas !

    - Angelaaaaa !"



  • Taverne Taverne 24 octobre 2010 10:46

    Allez ! Une petite chanson :

    Un pt’it coin d’parapluie

    Il pleuvait fort sur la grand-route
    Ell’ cheminait sans parapluie
    J’en avais un, volé, sans doute
    Le matin même à un ami
    Courant alors à sa rescousse
    Je lui propose un peu d’abri
    En séchant l’eau de sa frimousse
    D’un air très doux, ell’ m’a dit « oui »

    Un p’tit coin d’parapluie
    Contre un coin d’paradis
    Elle avait quelque chos’ d’un ange
    Un p’tit coin d’paradis
    Contre un coin d’parapluie
    Je n’perdais pas au chang’, pardi

    Chemin faisant, que ce fut tendre
    D’ouïr à deux le chant joli
    Que l’eau du ciel faisait entendre
    Sur le toit de mon parapluie
    J’aurais voulu, comme au déluge
    Voir sans arrêt tomber la pluie
    Pour la garder, sous mon refuge
    Quarante jours, quarante nuits

    Un p’tit coin d’parapluie
    Contre un coin d’paradis
    Elle avait quelque chos’ d’un ange
    Un p’tit coin d’paradis
    Contre un coin d’parapluie
    Je n’perdais pas au chang’, pardi

    Mais bêtement, même en orage
    Les routes vont vers des pays
    Bientôt le sien fit un barrage
    A l’horizon de ma folie
    Il a fallu qu’elle me quitte
    Après m’avoir dit grand merci
    Et je l’ai vue toute petite
    Partir gaiement vers mon oubli

    Un p’tit coin d’parapluie
    Contre un coin d’paradis
    Elle avait quelque chos’ d’un ange
    Un p’tit coin d’paradis
    Contre un coin d’parapluie
    Je n’perdais pas au chang’, pardi

    Georges Brassens. Je n’ai pas changé une ligne, c’est parfait.



  • Taverne Taverne 24 octobre 2010 10:40

    A voir la photo, on croirait une comédie musicale comme « Les Parapluies de Cherbourg » ou bien l’on croit entendre « sha ba da ba da ». Quand on sait que la scène se passe sur les planches de Deauville, le doute n’est plus permis : c’est du cinéma !

    Je propose que Sarkozy et Merkel chantent dorénavant leurs discours comme chez Jacques Demy.



  • Taverne Taverne 23 octobre 2010 15:05

    Le gouvernement traque les nouveaux terroristes : les ouvriers en grève qu’il menace de prison !

    Quant aux évènements du moment, l’heure n’est plus à parler de « mouvement social » mais de début de révolution.



  • Taverne Taverne 23 octobre 2010 12:08

    Sarkozy est faible

    octobre 23rd, 2010

    Cette affirmation va surprendre. Mais je m’en vais la démontrer.

    L’idée que Sarkozy est fort est un leurre, une fausse vérité inculquée à coups d’opérations de propagande, de coups de menton et de fantasmes liés au pouvoir et à l’argent.

    La réalité est tout autre : face au géant que l’on appelle Démocratie, Sarkozy est un nain et, ici, aucune talonnette d’aucune sorte (conseillers, petites fiches, oreillettes, médias serviles, photos truquées, marche-pied ou chaussures truquées), non, aucune talonnette ne lui permet de se hisser au niveau de cet adversaire qui l’effraie : la Démocratie !

    Impressionné par ce maître, le petit Sarkozy ne dispose que d’un arsenal ridicule. Son lance-pierre préféré est la petite phrase méchante. Normal, il est jaloux de ce grand-frère qui le dépasse d’au-moins deux têtes (pensantes qui plus est…). Alors, il passe sa rage ainsi : “casse-toi pov’ con !” Heureusement pour lui, sa faiblesse tactique autant que son infériorité intellectuelle sont momentanément compensées par des alliances - plus ou moins douteuses : avec des transfuges du PS, extrême-droite, dictateurs étrangers… - et ainsi, vaille que vaille, il passe de combine en combine pour perpétuer l’illusion qu’il est très fort, plus fort que vous, plus fort que moi, plus fort que la Démocratie !

    Il s’illusionne d’ailleurs lui-même. Au prétexte que le peuple (mais surtout le fric) l’a porté là, il se croit doté de pouvoirs magiques extraordinaires. Mais, c’est curieux, Obama n’y croit pas et même s’en agace et écarte ce paltoquet. Car aux yeux du monde, Sarkozy apparaît sous sa véritable apparence : celle d’un petit homme sans pouvoir, sans capacités et qui se hausse sur la pointe des pieds en faisant du bruit pour qu’on daigne le regarder. Mais vain et inutile, totalement inutile. En un mot, un pauvre type.

    Mais, attention de ne pas tomber dans l’injure facile et je vais donc reprendre mon argumentation. Donc Sarkozy ne connaît pas la démocratie. Déjà tout jeune, on le voit manifester dans la rue contre le droit de grève, un droit sacré inscrit dans notre constitution mais qu’est-ce que la constitution pour lui, il n’en saisit même pas le sens ! Il s’oppose en fait à toute liberté d’expression. Que son premier ministre s’avise de dire “je”, il le réprimande aussitôt. C’est pourtant un vieux routard qui a témoigné de bons et loyaux services et d’un sens du sacrifice de l’amour-propre.

    Quelle place alors laisse-t-il aux autres, à tous ceux, toutes celles , très nombreux, qui ne pensent pas comme lui ! C’est très simple : aucune ! La Démocratie, ce colosse qui lui fait de l’ombre, il le jette dans les geôles et le fait bâillonner. S’il trouve à s’échapper (car, il faut bien le dire, il est bien plus malin que notre personnage), alors Sarkozy fait appel à la force publique (la nôtre donc !). A défaut de le passer par les armes (ce serait en faire un martyr), il l’humilie en public. Dernier exemple en date : la réquisition des grévistes et leur évacuation.

    Un chef d’Etat qui recoure à l’humiliation pour se maintenir au pouvoir est un être faible.

    Maintenant que nous savons que Sarkozy est faible, à nous d’agir !



  • Taverne Taverne 22 octobre 2010 16:22

    A l’auteur. Nous ne sommes pas aveugles. Mais, vous, si vous n’êtes pas sourd, écoutez-donc ceci :

    La manif !



  • Taverne Taverne 22 octobre 2010 13:57

    Le président bloque le pays et nous prend en otages jusqu’à quand il sera arrivé à ses fins qui flirtent avec le conflit d’intérêt...

    Mais, comme vous, je retrouve la fierté d’être français quand je vois cette mobilisation générale. Je participe à ma manière sur le web et je participerai davantage après que la loi inique aura été imposée par l’oligarchie des puissants.



  • Taverne Taverne 21 octobre 2010 14:19
    Nicolas le casseur de Neuilly

    A Neuilly-sur-Seine, il est à la tête d’un célèbre gang :
    Le gang du Fouquet’s, largement soutenu par des intérêts étrangers.

    Elu grâce à de riches mécènes, soi-disant parce qu’il le vaut bien,
    Il a pris son destin en main mais, ce qui est grave, le nôtre aussi !

    Nous avons de quoi nous faire des cheveux et qui nous paiera le shampooing ?

    Il fait des raids, des descentes : contre les jeunes des banlieues concurrentes, les marins-pêcheurs, les Noirs de Dakar, les athées, les pédés, les gamins de maternelle, les fonctionnaires, les journalistes, les juges, les représentants européens, les immigrés, les Roms…et maintenant aussi les salariés cotisants !

    Il casse aussi ! Au Kärcher, au mixeur, au rouleau compresseur,
    Nicolas Sarkozy est un casseur !

    Moi, je vous le dis : les casseurs n’auront pas le dernier mot. Parce que dans notre démocratie, il y a des tas de moyens de s’exprimer, mais la violence la plus lâche, la plus gratuite, ça, ça n’est pas acceptable.

    Le gouvernement devrait recourir cet après-midi au Sénat à la procédure du vote unique sur la réforme des retraites afin de faire adopter au plus vite le projet de loi. Non, vraiment, cela n’est pas acceptable !



  • Taverne Taverne 21 octobre 2010 13:13

    Aussi brillant que son fils.



  • Taverne Taverne 21 octobre 2010 11:21

    Une lutte de casses aussi et même surtout...« La culture de la casse »





  • Taverne Taverne 21 octobre 2010 10:31

    Un petit rappel s’impose pour Papon ? Y’a qu’à demander.

    Papon

    Il était un préfet de la Seine.
    Qui s’appelait Maurice Papon.
    Un nom pas destiné aux ponts.
    Son nom est aujourd’hui obscène.

    En mille neuf cent soixante-et-un,
    Il se mit du sang sur les mains.
    Du haut du pont, la joie
    De faire des ricochets cessa.

    On vit encore en 62
    Se dérouler un drame affreux,
    Une manif qui tourna pas rond
    Dans l’eau (A-S !) fit des ronds.

    A la station d’métro Charonne
    Papon fit déferler des tonnes
    De haine et de brutalité,
    Applaudi par Michel Debré.

    Voris Bian



  • Taverne Taverne 21 octobre 2010 10:11

    Il manque la fin du titre non ? Ce n’était pas « L’homme qui rétrécit dans son pantalon » ? smiley



  • Taverne Taverne 21 octobre 2010 10:09

    Quel meilleur moyen de « liquider Mai 68 » (comme l’avait annoncé Sarkozy) que de le rejouer grandeur nature pour cette fois l’emporter ?

    Mais il ne faut pas le laisser l’emporter...