L’UMP, la grosse dondon
L’UMP, la grosse dondon
A perdu un boulon
L’UMP, la grosse dondon
Joue du mellotron.
Mellotron, boulon, dondon !
Je rappelle qu’en France, pour l’UMP, le droit de tuer ne s’applique qu’aux Roms. Un gendarme en flingue un de 7 balles à la peau. Même si le fuyard est attaché de la tête aux pieds et enfermé dans une cour remplie d’hommes en armes, c’est le Rom le coupable et le gendarme est récompensé par un séjour tous frais payés à Tahiti. Ici pareil. Le papy est innocent : il ne peut y avoir crime puisque les Roms ne sont pas êtres humains (toujours selon l’UMP).
Je rappelle aussi que le fichage illégal n’est applicable qu’aux Roms. Imaginez qu’on fiche les Juifs ! Non ,ce n’est vraiment pas possible. Mais les Roms, si !
Christine Boutin a fait plus pour le logement social que son successeur, l’arriviste Benoît Apparu, d’ailleurs très impopulaire dans le milieu du logement social et qui a Sarkozy pour seul modèle. Il n’y connaît rien à rien ! Il paraît que lors du congrès annuel des bailleurs sociaux, on a entendu scander « Revenez, Christine Boutin ! » C’est dire à quel point il est incompétent et même dangereux ce type...
Un petit poème humoristique qui parle de vous et du MoDem, Imhotep...
Puisque vous m’encouragez par des moins, en voici une autre mais plus courte :
« Séraphine, raffine ! »,
Dit l’Elysée.
Mais Séraphine rit, c’est la grève.
C’est la grève Total.
Salut Bernard, voici un - petit - hommage à notre président
Si tu n’étais pas si petit
Si tu n’étais pas si petit,
Tant par le corps que par l’esprit,
Tu aurais de grandes visions.
Mais non c’est la télévision
Le seul cadre à ta dimension.
Le ciné en trois dimensions,
N’est pas pour toi, t’es trop petit.
Tant par le corps que par l’esprit.
Tu as beau ajouter le câble,
Tu auras beau péter un câble,
y’aura jamais rien qui se passe,
C’est pas pour toi les grands espaces.
Tu as beau faire ton cinéma,
T’as pas la taille à Obama
Même sur l’écran panoramique
Tu restes d’une taille comique.
Avant, t’étais plus grand que Bush.
C’est c’qu’on dit dans les mises en bouche
Des apéros de dîner d’cons
Où l’on cite souvent ton nom.
Dans les usines, tu te la pètes
Car tu dépasses de deux têtes
Les ouvriers qui rapetissent.
Bientôt faudra qu’on s’aplatisse.
Rien n’y fait, tu resteras comme
La nature elle t’a fait bonhomme !
La nature, elle t’a fait petit
Tant par le corps que par l’esprit.
Zinédine, tsigane
octobre 12th, 2010
I
Si tu t’appelais Zinédine, tsigane,
Tu pourrais rouler en Mégane.
Comme un champion du ballon rond,
Tu pourrais gagner des millions
Avec de beaux pare-choc en chrome,
Ta bagnole f’rait da doo ron ron.
Seulement voilà tu es un rom !
Casse-toi pauv’con, et loin de Rome !
II
Si tu t’appelais Zinédine, tsigane,
Tu camp’rais pas en caravane
Tu aurais comme moi des Ray Ban.
Pour aller te montrer à Cannes.
T’aurais des fringues Paco Rabane,
Et tu chanterais da doo ron ron
Seulement voilà tu es un rom !
Casse-toi pauv’con, et loin de Rome !
III
Si tu t’appelais Zinédine, tsigane,
Et si t’avais un bel organe,
Tu chanterais la Marseillaise
Dans les stades. Tu serais balèze.
Tu fréquenterais les hippodromes
Tu s’rais pas dans un maelstrom
“Mais comme t’appelles-tu déjà ?
Rudolf Sarközi ? J’peux rien pour toi…
Si t’es pas intégré !
La page blanche ? Ah ! Comme j’aimerais connaître cette phobie de la page blanche qui vous prive d’idées, certes, mais qui vous plonge dans la tranquillitude et vous apporte l’apaisement...Enfin, j’imagine. Mais l’herbe est toujours plus verte chez le voisin.
Et il pourrait y baisser son calcif !
Bon, j’ai rectifié le texte sur mon blog. Par exemple, les mots de départ étaient « si tu étais moins agressif ». On réussit rarement du premier jet. Mais je peaufine pour mon futur album de slams sur Jamendo.
Il y aura une suite. Sans doute « Le Zinédine tsigane ». Dès que j’ai un trou, hop !
I
Si t’étais pas si agressif,
Si tu baissais pas ton calcif’
Pour jouer à celui qui pisse le plus loin,
Si tu n’allais pas aussi loin...
Si t’étais pas si agressif,
Tu ne baisserais pas ton calcif’
Devant le souverain pontife
Si t’étais pas si agressif.
Oui mais voilà, t’es agressif.
Pour faire oublier ton passif.
Oui mais voilà, t’es agressif.
Pour qu’on voie pas que t’es nocif.
II
Si t’étais pas si agressif,
Si tu baissais pas ton calcif’
Pour jouer à celui qui pisse le plus loin,
Si tu n’allais pas aussi loin...
Si t’étais pas si agressif,
On écouterait tous tes poncifs,
On t’adulerait même en shérif.
Si t’étais pas si agressif.
Oui mais voilà, t’es agressif.
Avec ta montre en or massif.
Oui mais voilà, t’es agressif.
Avec ton endettement massif.
III
Si t’étais pas si agressif,
Si t’étais pas si répressif,
On pourrait voter voter pour toi dès demain,
Mais tu nous frappes des deux mains...
Si t’étais pas si agressif,
Tu serais pas aussi poussif
Dans les sondages et les récifs,
y’en aurait pas, si t’étais pas si agressif.
Oui mais voilà, t’es agressif.
Tu veux nous imposer ton fils.
Et parce que tu es agressif,
Tu dois lécher le saint pontife.
De long en large et en travers.
De long en large et dans les grandes largeurs,
Il nous emmerde, merde ! merde !
De fond en comble, en profondeur,
Il s’érige en gros emmerdeur.
Il nous emmerde, merde ! merde !
Le doigt dans le cul sans vergogne,
Jamais dans l’oeil d’son ami borgne,
Il nous emmerde, merde ! merde !
Il nous tisonne, il nous ramone,
Jusqu’au trognon et nous sermonne !
Il nous emmerde, merde ! merde !
Il nous emmerde, merde ! merde !
Le gros Bernard-l’ère-Mitterrand
Il nous emmerde, merde ! merde !
Sauf quand il vient prendre not’ argent.
Mais à quoi sers-je,
Se demande le bobo Serge.
Pas le beau Serge de Claude Chabrol :
Ce bobo-là se cherche un rôle.
Alors il fait des parodies
Qui ne valent pas un radis,
Des « lip-dub » pour leur leader
Et des lip-daubes en un quart d’heure.
Mais à quoi sers-je,
Se demande le bobo Serge.
Alors il va au café des concierges
Ou à la grand’messe poser un cierge.
Les bobos Serge sont chanteurs
D’ce seul refrain « mais à quoi sers-je ? »
On entend jusqu’à Cergy-Pontoise.
Le rire du Serge en recruteur.
Bayrou est civilisé, c’est cela qu’on a vu.
Je lis dans ce balourd aussi facilement que dans un livre ouvert à gros caractères d’imprimerie. Il me serait facile de le pousser dans ses retranchements et de le faire perdre ses nerfs.
Je vais vous dire, heureusement que c’était Bayrou. Si cela avait été moi, le Nanard en serait venu aux mains...Ou dommage ? En tout cas, on aurait vu la vraie nature du Nanard.
Je précise que je ne bois pas
Mais que je me shoote aux votes négatifs !
Essayez, y’a pas mieux !
Il est des vôôôôôôôtres,
Y’a qu’à regarder comme il se vautre !
Yep !
Tip-tap tip-tap
T’as pas tapé Tapie
Tip-tap tip-tap
C’est lui qui t’a tapé.
Tip-tap tip-tap
T’es cocu qu’attends-tu ?
Cuite-toi t’es cocu
T’as qu’à, t’as qu’à t’cuiter
Et quitter ton quartier
Ton Tapie t’a tapé
Ta tactique était toc
Ta tactique était toc
Ton Tapie t’a tapé
Ote ta toque et troque
Ton tricot tout crotté
Et ta croûte au couteau
Qu’on t’a tant attaqué
Contre un tacot coté
Quatre écus tout comptés
Et quitte ton quartier
Ton Tapie t’a tapé
Ton Tapie t’a tapé
Ton Tapie t’a tapé
Ton Tapie t’a tapé
Tout à côté
Des catins décaties
Taquinaient un cocker coquin
Et d’étiques coquettes
Tout en tricotant
Caquetaient et discutaient et critiquaient
Un comte toqué
Qui comptait en tiquant
Tout un tas de tickets de quai
Quand tout à coup
Tic-tac-tic driiiing !
Voris Bian, avec la complicité de Bobby Lapointe.
C’est bon pour les zygomatiques !
Ainsi le co-prince d’Andorre (qui est aussi, il est vrai, l’époux de Carla Bruni) s’est rendu au Vatican ? Et tiens, je vais me gêner pour m’en moquer !
J’aime pas tes tics (slam ou chanson)
Pour dire, en résumé, que la politique de Sarkozy est une politique de tics.
J’aime pas tes tics,
Quant tu récites tes cantiques
Quand tu prends un air extatique.
On aurait dit un fanatique !
J’aime pas tes tics,
T’es pathétique !
J’aime pas tes tics,
Ni tes impulsions frénétiques
Ni tes expressions argotiques.
Ni des remarques sarcastiques
J’aime pas tes tics,
T’es pathétique !
J’aime pas tes tics,
Ni tes fichiers informatiques,
Tes peines planchers automatiques ;
Ou tes quotas arithmétiques.
J’aime pas tes tics,
T’es pathétique !
J’aime pas tes tics,
Tes propos sur la génétique,
Ni ta conception de l’éthique
Ni ta morale très élastique.
J’aime pas tes tics,
T’es pathétique !
J’aime pas tes tics,
Ni ton traité de l’Atlantique,
Ni tes excès patriotiques
Ni tes pratiques dynastiques.
J’aime pas tes tics,
T’es pathétique !
J’aime pas tes tics,
Ton manque total d’autocritique,
Ta conception démocratique.
J’aime pas non plus tes diagnostics.
J’aime pas tes tics,
T’es pathétique !
J’aime pas tes tics,
Ni ton mépris journalistique,
Ni tes évasions helvétiques.
En gros, j’aime pas ta politique.
J’aime pas tes tics,
T’es pathétique !
Je reste, moi, un agnostique,
Un incorrigible sceptique.
Quitte à passer pour hérétique,
Je te le dis sans maïeutique :
J’aime pas tes tics,
T’es pathétique !
J’aurais un gros problème d’optique
Si j’voyais pas qu’le pragmatique
Cache des instincts despotiques.
Je n’adhère pas à ta tactique.
J’aime pas tes tics,
T’es pathétique !
J’aime pas tes tics
Et je te fais ce pronostic
Que dans cett’ foire à l’identique,
Je ne prendrai pas ton viatique
Pour une lanterne fantastique.
J’ai trop le goût de l’authentique.
J’aime pas tes tics,
T’es pathétique !
J’aime pas tes tics,
Ni tes méthodes de loustic.
J’aime pas tes tics,
C’est dramatique.
J’aime pas tes tics,
Et tu peux garder ta boutique.
Parce que : j’aime pas tes tics !
Voris Bian
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