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Les commentaires de Hervé Hum



  • Hervé Hum Hervé Hum 1er juin 11:49

    @Hervé Hum

    tenez, je viens de lire un petit article qui dit que les voitures de luxes produites en petites quantités et destinés à une clientèle riche devrait être exonérée de la fin des voitures thermiques.

    Evidemment, l’argument est qu’il s’agit de petite quantités, tout comme les jets privés ou les bateaux de luxe.

    eh oui, ce ne sont pas les riches qui polluent, vu qu’ils sont peu nombreux, ce sont les pauvres, parce qu’ils sont trop nombreux. Et puis les uns possèdent la monnaie et la propriété des moyens de productions pour lesquels, les pauvres sont des outils devenues obsolètes. Or, c’est celui qui détient la monnaie qui dispose la partie créance ou droit et celui qui n’en dispose pas qui détient la partie devoir ou dette

    Le problème c’est que s’il est facile de jeter à la déchetterie une machine devenue obsolète, c’est beaucoup plus compliqué pour faire de même avec l’outil humain, car fondamentalement, cela reste tout de même un être humain.

    Mais ils y travaillent, le covid était juste un essai grandeur nature. car il faut quand même préserver un semblant d’humanisme.



  • Hervé Hum Hervé Hum 1er juin 09:13

    @Iris

    oui, vous résumez bien ce que j’écris ! vous omettez toutefois de préciser que j’apporte des arguments à mes dires et qu’ils peuvent êtres étayés.

    Le modus opérandi de la taxe carbone consiste à préserver le système capitaliste et le confort de vie de ces derniers dont la consommation est exponentiellement plus élevée que le simple citoyen.

    D’après des calculs, si ma mémoire est pas trop mauvaise, il a été estimé que les 50 personnes les plus riches consomment autant que les 1 milliards les plus pauvres. C’est que des palaces, des jets privés et autres yachts gigantesques cela consomme beaucoup !

    demander aux plus riches de réduire considérablement leur consommation revient pour eux à rendre caduque leur richesse, puisque celle-ci ne pourrait plus être employée selon leur propre désirs. C’est donc inconcevable.

    La taxe carbone leur permet d’échapper à ce risque majeur en achetant le droit de polluer aux plus nécessiteux (c’est la finalité de la taxe carbone) et c’est d’autant plus facile que leur richesse augmente plus vite ou pour le moins ne décroit pas. Cela revient donc à dire que les riches achètent le droit de polluer l’air des pauvres et les pauvres ayant vendu leur droit de polluer, détiennent alors le devoir de ne pas polluer l’air des riches. Tout cela en donnant à cette politique de prédation une apparence de lutte contre le réchauffement climatique.

    Et pour cela, ils peuvent compter sur la cohorte d’idiots utiles que sont les écologistes dits « de gauche », qui soutiennent la politique punitive à l’encontre des plus pauvres pour sois disant « sauver la planète », ce qui est le comble de la bêtise humaine. Ce qu’on sauve étant uniquement l’environnement que l’on veut préserver, pour ce qui est de la planète c’est elle qui peut nous éradiquer, pas le contraire.

    Voilà, peut être aurez vous moins de mal à me suivre et me faire part de votre point de vue !



  • Hervé Hum Hervé Hum 31 mai 19:45

    @olivier cabanel

    Bon, je viens très rarement maintenant sur agoravox où je préfère pousser celui que j’ai choisi plutôt que de papillonner.

    Bref, une fois notre petite discussion terminée, je ne posterais plus de commentaires pendant un petit moment.

    Voyez, j’ai ridiculisé la phrase d’Arthur Keller en montrant qu’il disait une connerie.

    idem pour le PIB, une notion qui n’a de sens qu’en système capitaliste actuel, mais perd tout sens dès lors où on change de système économique.

    Techniquement, on peut résoudre les problèmes liés à l’activité humaine relativement facilement, car tous les outils sont déjà en place, et sa mise en oeuvre peut se faire en quelques mois à peine, juste le temps de la conception qui peut se faire très rapidement.

    Le hic, c’est la conscience humaine totalement manipulée et dont vous en êtes un exemple « à l’insu de son plein gré ». Moi aussi d’ailleurs, mais pas à ce niveau là

    Votre commentaire en est un exemple, car le problème n’est pas le niveau de taxation, c’est totalement absurde, mais son usage et donc, quels intérêts elles servent. Les gens oublient l’impôt privé car il est présenté comme un « bénéfice », un « dividende », un « intérêt », des mots positifs mais qui sont fondamentalement une forme d’impôt prélevé sur l’activité générale.

    Le principe de la taxe carbone consiste à conserver le système de prédation actuel qui ne gène pas les capitalistes dans la mesure où ils conservent les moyens de prélever l’impôt, ils peuvent donc payer cette taxe d’autant plus facilement qu’ils peuvent prélever l’impôt via les dividendes et autres intérêts financiers et ainsi, justifier comme je vous l’ai dit le droit de polluer l’air des pauvres, tandis que les pauvres ont le devoir de ne pas polluer l’air des riches. Bien entendu, s’agissant globalement du même air, il s’agit donc d’une taxe de maintient de domination.

    Alors, cette taxe trouve une forte résistance, aussi, ils appliquent la politique de la grenouille, il faut la chauffer doucement.

    reste que si la population dans son ensemble réagit « mollement », c’est de mon point de vue en raison de la cohorte d’idiots utiles qui croyant dénoncer et combattre l’élite prédatrice, la soutiennent parce que agissant par réaction et non sur l’action fondé sur le seul raisonnement logique.

    Car si votre raisonnement est contradictoire, cela crée une interférence qui s’annulent. Principe physique parfaitement connu et qu’on appelle au niveau humain « état de sidération ».

    dans un commentaire précédent sous votre dernier article, je met en évidence le fait que le problème n’est pas l’outil tel que l’OMS et encore moins l’ONU en tant qu’organisation mondiale nécessaire pour gérer des problèmes mondiaux, mais de savoir qui en a le contrôle et pour quels intérêts. Particuliers ou général. Ainsi, accuser l’ONU ou les juges concernant ce qu’il se passe à Gaza est totalement absurde, puisque cela revient à dire que ce n’est pas à la police d’arrêter les délinquants, mais le juge en personne ! Voilà où on en est rendu avec cette cohorte d’idiots utiles.

    Mais rejeter l’outil sous prétexte qu’il sert des intérêts particuliers, cela s’appelle jeter le bébé avec l’eau du bain. Or, de la part d’intellectuels supposés raisonner de manière logique, c’est impardonnable et fait d’eux les pires idiots utiles de ceux qu’ils prétendent combattre, puisque ils place les cogito en état de sidération, donc, qui paralyse la réflexion au lieu de la nourrir.

    Etc...

    Libre à vous de réfléchir à ce que je vous écris ou pas, mais vous ne pouvez pas en même temps militer pour une conscience mondiale sur les problèmes climatiques, de pollution ou d’injustice sociale et soutenir la souveraineté des nations qui n’a jamais été et ne sera jamais celle des végétariens (ceux qui aspirent à vivre du fruit de leur propre travail sans voler ou vivre au dépens des autres) mais uniquement de l’élite prédatrice qui domine la nation, alors qu’une gouvernance mondiale implique la soumission des natures prédatrices, qui ne peuvent pas êtres supprimées, mais remisent à leur place sociale, c’est à dire, ne pouvant plus exercer leur prédation sur la vie d’autrui mais uniquement dans leur capacité à servir la société.
    etc..



  • Hervé Hum Hervé Hum 31 mai 16:42

    @olivier cabanel
    *
    si cela ne change rien, que dire des luttes sociales qui ont précédées la réduction du temps de travail, les congés payés, la sécurité sociale.

    Mais pourquoi donc tous ces articles sur le climat, ou le vaxxin covid, le karma ne suffit il pas ?



  • Hervé Hum Hervé Hum 31 mai 16:38

    @olivier cabanel

    Pour quelqu’un qui se dit renseigné, bizarrement, vous ne l’êtes donc pas.

    Bref, la taxe carbone, c’est de mon imagination !!!!

    Cette taxe carbone, c’est comme pour les taxe douanières, les citoyens us qui ont voté pour Trump étaient persuadé qu’elle était payé par les chinois, avant que certains leur fasse comprendre que non, elle était payé par le consommateur final.

    Et bien, l’histoire de la taxe carbone, c’est la même chose, c’est le consommateur final qui la paie.

    Mais vous avez raison,rien est plus désagréable que de voir quelqu’un vous expliquer combien vous êtes vous même un idiot

    Alors j’arrête ;, autant vous laisser à votre illusion...



  • Hervé Hum Hervé Hum 31 mai 11:16

    @olivier cabanel

    Ah bon, et c’est quoi alors la fumeuse « taxe carbone » ?

    C’est pas le droit à polluer en fonction de contribution en argent. Donc, selon vos moyens financier, vous avez le droit de polluer l’air et si vous n’avez pas les moyens financier, vous avez le devoir de ne pas polluer l’air.

    C’est ainsi que ceux qui peuvent acheter une voiture neuve aux normes antipollution ont le droit de circuler et les autres non. Sachant que les véhicules électriques polluent au moins autant que les voitures thermique, mais pas ailleurs.

    Et si Ursula a été réélu à la tête de la commission, elle le doit aux partis écologistes.



  • Hervé Hum Hervé Hum 31 mai 09:52

    Cet Arthur Keller ne maîtrise pas le sujet qu’il traite, loin s’en faut.

    Je vais pas tout reprendre, juste cette phrase pour l’illustrer. Son problème étant de raisonner avec le même mode de pensé qui a engendré le problème que l’on veut résoudre (dixit Einstein)

    "nous n’avons jamais eu autant d’argent, et il faudrait mettre des limites à ceux qui en ont déjà beaucoup trop »

    L’’argent fiduciaire et maintenant numérique peut être produit en autant de quantité que l’on veut, donc, ce qu’il dit est absurde, puisque la création monétaire se fait aujourd’hui en appuyant sur un clavier d’ordinateur. C’est alors sa valeur qui trouve une limite et elle est liée à la réalité physique des ressources naturelles et la capacité productive à un instant t, en terme de machine et de temps de vie humaine dédiée à la production. Où la notion de PIB est une escroquerie pure et simple et n’a pas lieu d’être en dehors du système actuel de prédation de la vie d’autrui à son profit, fondement du capitalisme depuis des milliers d’années.

    Quand aux limites de ceux qui en ont déjà beaucoup trop, tout repose sur la séparation de l’économie en trois niveaux. L’économie des riches, l’économie de la classe moyenne et l’économie des pauvres ou de subsistance.

    La politique de lutte contre le changement climatique et la pollution dans le système actuel capitaliste, repose exclusivement sur la monnaie, c’est à dire, entre la partie créance et dette où celui qui détient la monnaie possède la créance et celui qui n’a pas de monnaie possède donc la partie dette. Cette dernière est donc une dette systémique, car il ne suffit pas d’avoir un crédit à rembourser, il suffit juste de ne pas avoir de monnaie dans sa poche pour être en dette, puisque sans argent, vous ne pouvez pas acheter quelque chose, donc, devez vous employer pour cela, soit en louant votre temps de vie soit en volant autrui ;

    En terme juridique, la créance prend alors la valeur du droit et la dette du devoir.

    Autrement dit, l’idée, défendu par les écologistes se disant de « gauche » (des idiots très utiles pour ceux qu’il prétendent combattre), est alors que le droit de polluer se fait par l’achat monétaire de ce droit et l’incapacité d’acheter du droit à polluer équivaut au devoir de ne pas polluer ;

    Pour faire bonne mesure, il est donné à chacun un droit à polluer annuel où ceux qui sont contraint par la nécessité, n’auront alors pas d’autre choix que de vendre leur droit à ceux qui peuvent l’acheter.

    Bref, le principe est que ceux qui capitalisent la monnaie disposent du droit à polluer et ceux qui n’en ont pas, possèdent alors le devoir de ne pas polluer.

    Autrement dit, les riches ont le droit de polluer l’air des pauvres et ces derniers le devoirs de ne pas polluer l’air des riches.

    Et tout est bien dans le meilleur des mondes capitalistes, c’est à dire, de prédation de la vie.



  • Hervé Hum Hervé Hum 30 mai 13:01

    @olivier cabanel

    La souveraineté est exclusive, n’admet pas d’autorité supérieure, or, dès lors où vous êtes là à vous lamenter du réchauffement climatique mondial ou de la guerre et d’en appeler au respect du droit international, vous raisonnez en parfait idiot, incapable de voir son erreur et d’en tirer les conséquences. Je vous en ait fournit une argumentation élémentaire, mais je n’ai pas lu que vous en fassiez la réfutation, non, vous l’ignorez, parlant de « karma » !!!

    Vous persistez juste à confondre l’outil et celui qui en a le contrôle, tout en disant qu’on apprend de ses erreurs.

    L’unanimité existe déjà, elle est toute entière dans la charte des droits humains, le hic étant qu’il y a le ver dans le fruit, c’est à dire, la souveraineté des nations qui rend caduque tout le reste du contenu de la charte. Car soit c’est l’individu qui est l’ordre premier, soit c’est la souveraineté du souverain et qui donc place l’individu comme ordre secondaire, donc, victime de son souverain.

    C’est de la logique élémentaire, mais elle est implacable dans la réalité, sauf dans l’imaginaire, mais parce que chacun peut décider de la causalité, il n’y a plus de lieu commun, donc, le droit des individus dépend de celui qui détient le pouvoir à l’intérieur de son pays en tant que détenteur de la souveraineté .Et c’est valable quel que soit le domaine ou l’échelle.

    vous écrivez "a plupart des immondes salauds ont mal terminé leur vie...et la justice les rattrape un jour ou l’autre...et je plains ceux qui en échappent, car leur karma est en décomposition...

    désolé, mais vous confondez l’exception avec la règle. La plupart des « immondes salauds » échappent à la justice humaine et ont même des statues à leur gloire. Mais surtout, la plupart des immondes salaud ne s’exposent pas à la lumière de nos jours, ils travaillent plutôt dans l’ombre et évitent de s’exposer à la lumière. Ces immondes salauds vivent dans des palaces, voyagent en jets privés ou sur des yachts de plus de 50m de long.

    Les seuls salaud qui sont poursuivies sont comme je vous l’ai écrit, des petits chefs n’ayant pas la protection des grands chefs mafieux. Quant au karma en décomposition, c’est possible, mais alors, pourquoi donc vous insurger contre l’injustice ?



  • Hervé Hum Hervé Hum 30 mai 08:59

    @olivier cabanel

    Il y a une différence entre se tromper et persister dans son erreur alors même qu’on écrit des articles dans l’intention d’avertir sur les tromperies.

    Bref, comme vous l’écrivez « chacun sait que ce sont nos erreurs qui nous ouvrent les yeux », sous condition précisément de ne pas rester dans son erreur parce qu’on dit par ailleurs ’« adorer se tromper ».

    Si vous ne voyez pas l’absurdité de votre raisonnement et qui est seulement la conséquence de tous vos raisonnements du « en même temps », les complotistes qui nous manipulent et nous gouvernent n’ont pas de soucis à se faire, la cohorte d’idiots utiles qui croient les combattre se chargent de leur assurer leur domination en maintenant les cogito dans ce qu’on appelle l’état de sidération, c’est à dire, affirmer une chose et son contraire « en même temps ».

    Par exemple, appeler au respect du droit international et en même temps (Macron est un spécialiste) à la souveraineté des Etats qui sont depuis toujours uniquement celle de l’élite prédatrice de chaque pays et jamais celle des citoyens. Où les dirigeants étant vis à vis du droit international les justiciables eux même, revient à demander au chef de mafia qui contrôle les forces de polices et de l’armée de s’arrêter lui même pour se mettre à la disposition de la justice. Seuls les petits chefs ou délinquants peuvent être arrêtés par les gros chefs mafieux, mais jusqu’à preuve du contraire, aucun gros chef mafieux s’est arrêté lui même pour aller se faire juger et condamner. Regardez de Bush à Poutine ou Netanyahou pour ne citer que des gros chefs mafieux, tous se rient de la justice de l’ONU ou de la CPI, mais sont parfois disposé à arrêter un petit délinquant qui ne sert par leur intérêt.

    Alors, est ce un jugement de ma part ? Il s’agit plutôt d’un constat amer qui peut être vu comme une sorte de jugement.



  • Hervé Hum Hervé Hum 29 mai 18:57

    @olivier cabanel

    ben si, justement, vous vous trompez et je vous l’explique clairement.

    Sans cela, vous n’attaqueriez pas l’OMS en tant qu’outil de gestion de crise pour les pandémies, mais seulement sa gouvernance.

    Vous vous trompez chaque fois que vous parlez de l’Etat à fait ceci, à fait cela, alors qu’il s’agit d’un outil dont l’usage dépend de ceux qui en ont le contrôle, le gouvernement constitué d’humains.

    vous vous trompez chaque fois que vous parlez de telle multinationale à fait ceci ou cela, alors qu’il s’agit toujours d’un outil dont là encore l’usage dépend de ses actionnaires et directeurs chargés de collecter l’impôt privé que sont les dividendes et autres valorisation boursière.

    Bref, vous arrêterez de vous tromper et de tromper les autres lorsque vous ne parlerez plus de telle multinationale ou Etat à fait ceci ou cela, mais uniquement de leur dirigeants ou actionnaires.



  • Hervé Hum Hervé Hum 29 mai 14:59

    Désolé de vous l’écrire, mais de mon point de vue, vous jouez l’idiot utile ou nuisible à la cause que vous pensez défendre.

    Comprendre qu’il ne faut pas confondre l’outil avec la main qui le tient. 

    Car à preuve du contraire, c’est seulement la main qui décide de l’usage de l’outil, non l’inverse.

    Or, le principe même de gouvernance mondiale, quel que soit le domaine est un outil dont l’usage dépend donc uniquement de la main qui en a le contrôle.

    Autrement dit, entre les mains de gens manipulant la population mondiale pour leur intérêt personnel et qui est d’un point de vue de l’intérêt général, de la corruption, cet outil ne peut évidemment pas être utilisé pour l’intérêt général.

    Mais cela veut aussi dire que dès lors où l’outil est placé entre les mains de gens qui oeuvrent dans l’intérêt général, alors, il n’obéit plus aux intérêts particuliers de gens corrompus, mais leur enlève tout pouvoir de nuisance sur la population.

    Prenez un de vos cheval de bataille comme le climat, il ne peut pas reposer sur une politique nationaliste, mais mondiale, donc, sur une gouvernance mondiale. Sauf qu’ici, vous la fustigez !!! Ne voyez vous pas de contradiction là !?

    Pour finir, ce que vous dites oubli juste un détail, tant que le contrôle de l’outil de la coercition par la détention de la force publique repose sur les dirigeants nationaux, alors, le pouvoir de l’OMS reste par la parole et non par les actes.

    Là encore, ne voyez vous pas que si le droit international n’est pas appliqué, c’est pour la même raison que la détention de la force de coercition relève des dirigeants nationaux. Or, étant vis à vis du droit international les justiciables, implique que le justifiable accusé de crime et recherché pour cela, doit se constituer prisonnier de lui même, sauf s’il est trop petit et arrêté par les plus gros qui eux ne sauraient êtres arrêtés.

    Elevez donc le niveau de votre réflexion en vous soumettant à la logique causale, seule maître de la réalité.

    Bref ; cessez de confondre la main et le marteau.

    L’outil est responsable de rien, seul l’être qui guide la main l’est. Un Etat, une entreprise et multinationale, une organisation quelconque sont des outils et le pseudo principe de personnalité juridique est seulement un attrape gogos consistant à faire confondre le marteau et la main guidée par l’être.humain. 

    le professeur Peronne n’est pas guidée par l’intérêt personnel et globalement, la plupart des gens ne sont pas guidés par le profit au détriment d’autrui, au delà de leur propre mérite personnel. Mais lorsqu’on fait manger de la viande à une vache, le résultat est une vache enragée, la maladie de la vache folle.

    Etc...



  • Hervé Hum Hervé Hum 29 avril 18:59

    Avec ou sans Trump, républicain ou démocrate, élite prédatrice chinoise ou étasunienne, tous sont d’accord sur un point, le capitalisme doit triompher, que ce soit via le nationalisme ou l’impérialisme, l’interdit absolue étant le mondialisme socio-économique, car la seule justification du capitaliste pour obtenir la soumission volontaire et l’interdiction de toute opposition intérieure est la menace extérieure.

    Chacun sa stratégie de pompier pyromane, mais ce qui est sûr, c’est que leur plus grande force réside dans la cohorte d’idiots utiles soutenant le nationalisme ou l’impérialisme avec au moins deux empires se faisant face et qui est la limite orwellienne.

    Bref, ce n’est certainement pas Dieu qui se rit de ceux qui vénèrent les causes dont ils déplorent les conséquences, mais les malins qui manipules cette cohorte d’idiots utiles, Musk s’en étant fait un spécialiste en la matière à un peu préjugé de la bêtise des gens, mais à peine !

    La seule voie possible pour les citoyens qui sont en tout lieu identiques, (ici ou en Chine) sur le principe de la justice sociale fondé sur le principe du mérite personnel, c’est la mondialisation sociale et économique, il n’y en a pas d’autre et là, ce n’est certainement pas Dieu ou un humain qui le décide, mais le principe de causalité et lui seul. 

    Quand à dire qu’il faille redoubler d’effort, bienvenue dans le monde du XIXème siècle, c’est celui qui vient et ce n’est certainement pas le meilleur pour le prolétariat, surtout qu’aujourd’hui, ben, cette élite prédatrice n’en a vraiment plus du tout besoin et comme toute machine obsolète, il s’agit de la mettre à la casse. Le seul hic étant que l’humain est fondamentalement un être vivant que l’on peut certes réduire à l’état de machine, mais qui reste toujours plus difficile à mette au rebus, surtout lorsque ces mêmes humains ont goûté aux joies de la vie alternant effort et récompense et qu’ils ne veulent pas perdre, même si c’est déjà bien engagé, on agit comme la grenouille, en se disant que pour le moment, l’eau est encore pas trop chaude.

    Rien de nouveau, les mêmes techniques sont utilisés aujourd’hui comme au temps de l’antiquité et cela fonctionne toujours autant grâce à cette cohorte d’idiots utiles. Qui réside toujours dans la désignation de l’ennemi extérieur et du bouc émissaire et une fois la mayonnaise bien prise, suffit alors de les envoyer s’entretuer au nom de la formule magique « la patrie en danger » !!!!

    Aux armes citoyens, allez vous faire embrocher gaiment



  • Hervé Hum Hervé Hum 28 avril 22:02

    @Eric F

    J’en ai personnellement rien à foutre de leur plan b, x ou y.
    .

     



  • Hervé Hum Hervé Hum 28 avril 11:00

    @Eric F

    je dis que l’idiot utile est celui qui croyant combattre un ennemi ne fait que le défendre « à l’insu de son plein gré ». Cela peut donc être moi si je me fourvoie, mais il faut le démontrer par l’argumentation qui fait seule autorité.

    Car de ce que j’ai pu voir et entendre, Marine le Pen récuse les accusations et est allé le dire sur les plateaux tv.

    Elle utilise le même subterfuge que les autres, dénonçant une cabale politique à son encontre et escamoter les faits.

    Alors, il y a sans aucun doute une part de liberté prise par les magistrats dans ce que permet la loi et où l’influence politique joue un rôle, mais qui a commis le délit et qui ne veut pas le reconnaître ? Les magistrats ont ils violés la loi ou bien l’ont ils appliqués dans l’espace qu’elle permet ? Si les magistrats ont appliqués la loi, c’est la loi qu’il faut changer. Mais elle ne peut pas être changée avant d’avoir été voté.

    Cela veut dire que j’ai que faire de la sévérité ou non du jugement, surtout parce que la démocratie ne consiste pas à élire son tuteur légal, car cela signifie que le souverain est déclaré ou se déclare immature ou incompétent ou incapable d’exercer sa souveraineté.

    Sinon, je suis d’accord avec vous sur le principe que dans une démocratie le débat ne doit pas être une affaire de moyens de propagandes, c’est le propre des dictatures et c’est une raison de plus pour affirmer que la démocratie n’existe pas et n’a jamais existé en France ou ailleurs. C’est une conséquence directe du fait que la transparence de la décision politique est une conséquence fondamentale de la démocratie, donc, si elle n’est pas garantie, il n’y a pas de démocratie et le propre de la propagande consiste à orienter et contrôler les cogito des personnes au profit de ses dirigeants ou maîtres. La démocratie n’ayant pas d’autre maître que l’ensemble des citoyens, peut avoir comme cadre impartial que la logique causale, qui consiste à placer la raison devant la passion. Car seule la raison permet à tous d’avoir la même information fiable.Sauf si la logique est biaisée.

    Comprendre que placer la passion avant la raison dans les affaires de gestion publiques liées à l’équilibre intérieure, consiste seulement à établir un rapport de domination et de prédation. Pour preuve, si je considère que c’est l’équité de l’échange qui est le fondement de la justice économique, alors, je ne peux plus conserver le dogme de la propriété privé comme fondement de l’économie. Vous pouvez le croire dans l’imaginaire, mais dans la réalité c’est impossible, la propriété privé comme fondement de l’économie c’est le prédateur qui domine la société via l’outil de la propriété et avant elle la souveraineté. Cette dernière devant être conservée pour manipuler et maintenir la division entre les végétariens et donc, tous ceux qui défendent la souveraineté sont de mon point de vue des idiots utiles, jusqu’au moment où ils seront des idiots nuisibles.

    Etc...



  • Hervé Hum Hervé Hum 27 avril 15:31

    @Eric F

    "Il n’y a pas eu négation de la pratique mise en cause, mais minimisation par la défense qu’il s’agisse d’un détournement, alléguant la nature politique du mandat d’élu et rôle d’assistant.

    « 

    Donc, minimisation qui consiste à nier la gravité des faits jusqu’à rendre la pratique normale et trouver toute condamnation abusive. C’est ce que dira Marine le Pen.

    Lorsqu’un assassin méprise le sort de sa ou ses victimes et de sa famille, c’est un circonstance aggravante.

    Que ce soit Giscard, Mitterrand ou Chirac, tous exigeaient des autres l’obéissance au chef dans le sens de la dictature sur le seul argument de la nécessité du chef pour mener le combat, la guerre face aux ennemis.

    Il est impossible d »échapper à la politisation d’une décision de justice, pour la simple raison que c’est la politique qui décide de la loi .

    Après, il y a la loi d’exception ou d"exemption que réclame Marine le Pen ou Sarkozy et ce, vis à vis de lois faites spécifiquement pour eux !

    Dans un pays qui affirme tendre vers la démocratie, c’est le principe d’équité vis à vis du débat public, or, le principe même du financement privé consiste à se donner un avantage par rapport aux autres quand à sa capacité de propagande et d’obtenir des voix en sa faveur. Il s’agit donc d’un détournement de fond public pour son intérêt personnel lié à sa propre ambition politique dont on tirera les fruits. Pour ne pas le voir il faut soit être stupide soit totalement endoctriné.

    Autrement dit, c’est la même chose qu’un assassin ou un criminel de droit commun qui récuse la loi pour le même motif.

    Mais libre à vous d’être un idiot utile, car dénoncer l’iniquité est une chose, mais l’invoquer pour exempter le délit en est une autre. Autrement dit, soit vous en appelez à l’application pour tout le monde, soit son exemption.

    Que choisissez vous ?



  • Hervé Hum Hervé Hum 26 avril 19:42

    @Hervé Hum

    erratum,

    De mon point de vue, le nivellement de salaire (à travail et condition environnementale équivalentes) est normal, seulement pour l’élite prédatrice il faut garder le contrôle de son propre cheptel avant toute chose et c’est le cadre national qui divise les végétariens économiques et permet de les faire s’entretuer à son propre profit. Le cadre ultime étant l’impérialisme avec ce que j’appelle la limite orwellienne avec au moins deux empires se faisant face.

    Mais l’interdit pour toute cette intelligentsia, c’est la mondialisation socio-économique. Donc, où l’économie sert les citoyens via l’échange équitable sans impôts privés, mais seulement public. Ceci, parce que la première des choses qui soit imposée dans une société, c’est le respect de la loi et qui est stabilisée à la condition absolue de s’y soumettre volontairement, par adhésion.

    Et de mon point de vue, il y a que l’équité qui puisse satisfaire cette condition.



  • Hervé Hum Hervé Hum 26 avril 19:26

    @Eric F

    Désolé de ne pas m’apitoyer sur son sort très enviable.

    La dureté s’explique aussi par ses propre réquisitoires à l’encontre des magistrats, qu’elle trouve elle même trop clémente envers les uns et trop dure envers elle même.

    La logique veut qu’une personne dont la preuve de la culpabilité a été démontrée s’obstine à nier les faits et inverse l’accusation soit punit au maximum, mais là encore, elle échappe à la peine maximale, la case prison. Parce que le port du bracelet, ce n’est pas la prison.

    Bref, le cadre de liberté donné aux juges consiste à faire varier la peine selon que la balance penche vers la sévérité ou la mansuétude, le premier critère étant de reconnaître les faits établis.

    Quant à « l’intelligentsia », le problème est que de mon point de vue, elle en fait partie intégrante et qu’un parti qui dépend de son chef, est un parti de dictature par définition.

    Ce qu’on peut observer chez les LFI, dont on peut ironiser sur un parti où ses membres se disant « insoumis », voit le chef en appeler à une forme de soumission de ces mêmes membres !

    Le nom du parti étant en soi absurde, puisque dans le cas où ils « prendraient » le pouvoir, devraient se soumettre à eux même. Et finalement, révèleraient que l’insoumission vaut uniquement pour le chef et sa clique, pas vraiment pour les autres.

    Mais sauf pour les idiots, les votes à l’assemblée nationale suffisent à prouver que le parti de Marine le Pen fait partie de l’intelligentsia. Tout comme Trump aux USA, car derrière tout cela se cache le fait d’un nivellement généralisé des salaires au niveau planétaire, que ce soit via le nationalisme ou via l’impérialisme, les deux mènent à la même conséquence. C’est donc un jeu de ping-pong où les deux joueurs sont les gagnants !

    Mais pour le montrer, cela dépasse le cadre de cet article...



  • Hervé Hum Hervé Hum 26 avril 18:16

    @Octave Lebel

    En conclusion, la transparence de l’information de la décision politique et donc de sa motivation est le baromètre de la démocratie, plus elle est haute, plus la démocratie est vraie et plus elle est basse et moins elle l’est.

    En démocratie, la transparence est donc à double sens, de la gouvernance au citoyen et du citoyen à la gouvernance. Si la transparence est à sens unique, alors, il s’agit d’une dictature qui provient soit de ceux qui ont le contrôle direct de l’appareil d’état, soit de ceux qui ont le contrôle de ceux qui contrôlent l’appareil d’état.

    Le sens du citoyen en tant que valeur universelle étant l’expression de la démocratie, implique de facto la transparence à double sens. Ce n’est donc que celui qui sort de la valeur universelle du citoyen qui interdit la transparence à double sens en ce qui le concerne lui et ses sbires ou associés.

    En démocratie, il n’existe aucun secret d’Etat quel qu’il soit, car le seul motif étant la guerre, implique de facto de sortir de la démocratie pour celui de la dictature, car toute guerre impose de désigner un chef de guerre pour combattre l’ennemi auquel if faut cacher ses plans de guerres, savoir utiliser la désinformation pour tromper l’ennemi.

    Voilà pourquoi la guerre et l’état d’urgence sont une nécessité de tout prédateur qui veut dominer une communauté réduite à un cheptel, car c’est l’unique justification pour obtenir la soumission volontaire et l’interdiction d’opposition intérieure.



  • Hervé Hum Hervé Hum 26 avril 18:04

    @Hervé Hum

    dites, vous croyez me faire prendre des vessies pour des lanternes ?

    Ce que vous écrivez revient à condamner verbalement, mais pas physiquement, c’est ce qu’on appelle une « remontrance » comme jugement d’un acte qui implique une condamnation minimale en respect de ce qu’autorise la loi et en considération des circonstances soit aggravantes, soit atténuantes

    Alors, les peines sont elles plutôt coté minimalistes ou bien maximalistes ?

    De mon point de vue, elle sont plutôt minimaliste au regard des faits reprochés et retenus et enfin, face au déni de Marine le Pen à reconnaître la gravité des faits, tout en étant considérée comme le centre de gravité des détournements et qui lui sont personnellement profitable.

    Car elle n’ira pas en prison, comme les autres !

    Alors vous pouvez toujours pointer du doigt les petits copains qui savent mieux éviter de se faire prendre, tel Bayrou au bénéfice de l’absence de preuve formelle comme donneur d’ordre et du fait qu’il est du coté du pouvoir exécutif en place, mais dans le cas présent, elle s’est faites prendre la main dans le sac et dit que c’était normal et s’indigne d’être condamnée.

    Pour finir, la démocratie ne consiste pas à suivre un chef car c’est la définition de la dictature, mais de suivre un idéal où il ne s’agit donc pas d’élire un chef, mais un exécutant, d’où le terme de pouvoir exécutif de la volonté générale et non du pouvoir exécutif de la volonté particulière du chef. Car la volonté générale est dans tous les pays (sans manipulation par une élite prédatrice) la même, vivre du fruit de son propre travail sans être volé ou voler celui d’autrui à son profit, pour garantir au mieux de vivre en paix relationnelles avec ses voisins au sein de sa famille, quelle que soit sa forme.



  • Hervé Hum Hervé Hum 26 avril 12:52

    @Bernard Mitjavile

    Visiblement, vous ne voyez pas l’énormité de votre raisonnement.

    Dans le cadre de l’affaire urba, l’autoamnistie va passer par le cadre légal de la loi où donc il aurait suffit au parti de Marine Le Pen d’avoir la majorité parlementaire pour faire de même.

    Mais dans les deux cas, le principe de la séparation des pouvoirs implique que ce n’est pas aux juges de décider de l’amnistie, car cela relève de l’arbitraire, en l’occurrence, de ceux qui décident de la loi et non de ceux qui sont chargés de l’appliquer.

    Car dans l’affaire urba, vous oubliez que la cour de cassation avait donné raison au juge qui avait perquisitionné et saisie les documents qui vont donner lieu à la condamnation de Herni Emmanuelli.

    Condamnation à minima en raison précisément de l’influence du politique sur les magistrats.

    Autrement dit, sauf à être idiot ou malhonnête, le cas urba au niveau de l’amnistie ne s’applique pas au cas Le Pen. Ce qui s’y applique, c’est précisément l’obligation des magistrats de devoir appliquer la loi à minima.