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 C BARRATIER

C BARRATIER

Je travaille depuis l’âge de 18 ans auprès des enfants, successivement instituteur, professeur, permanent des Centres d’Entrainement aux Méthodes d’Education Active (CEMEA), principal de collège, proviseur de lycée, mais aussi responsable de rencontres internationales de jeunes en Avignon et dans des chantiers bénévoles, conseiller municipal avec un suivi de crèches municipales, d’un Conseil municipal des Enfants, de chantiers internationaux dans ma commune. Je suis aussi Délégué Départemental de l’Education nationale appelé à suivre régulièrement le fonctionnement d’écoles publiques ou privées.

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  • Premier article le 28/03/2009
  • Modérateur depuis le 15/02/2010
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Derniers commentaires



  •  C BARRATIER C BARRATIER 4 septembre 2021 20:11

    Les gens qui notent ne supportent pas d’être notés. Mieux, les enseignants français ont réussi à imposer une règle absurde, être informés bien à l’avance de la visite de l’inspecteur. Alors ils préparent un cours pour inspection, parfois ils le testent avec une autre classe. Préparent ils leurs cours tous les jours ?

    Quand j’étais jeune enseignant on savait qu’on était inspecté quand le chef d’établissement frappait à la porte accompagné de l’inspecteur. Je trouvais cela très bien.

    J’ai connu le recrutement de quelques enseignants auxiliaires au temps où on n’en trouvait pas et où, proviseur je les recrutais, le rectorat suivait. Ensuite, ils étaient titularisés. il y a avait des bons et des mauvais. Je m’étais parfois trompé.

    Ce qu’il faut changer dans le système, c’est rétablir l’inspection pédagogique sans préavis, ce qui n’a rien de scandaleux et que l’opinion publique approuvera.



  •  C BARRATIER C BARRATIER 3 septembre 2021 20:16

    la maladie se présente de manière différente suivant les personnes atteintes, leur caractère, leur entourage.Mon épouse a été dépistée en 2011. Ce qui est épouvantable ; c’est qu’il n"existe aucun médicament, alors que pour le cancer il y a l’opération, la radio thérapie...La souffrance morale doit être la même, même si elle ne s’affiche pas. On vit une tragédie.

    On ne connait pas vraiment l’origine de la maladie. Le stress certainement, je me reproche souvent mes longues absences dues à mon travail et à mon bénévolat associatif.Probablement aussi une hérédité.

    Pour surmonter il n’y a que l’aspect affectif, la tendresse à laquelle la malade est très sensible. L’entourage doit peu à peu renoncer à tout.. On se marie pour le meilleur et pour le pire. c’est dans le pire qu’on se rapproche le plus. il faut bien se trouver une consolation.

    Il reste à reclasser les photos, à noter ses souvenirs quand on a la chance d’en avoir. Car Alzihmer ne vit que le présent. Le vide donc pour le malade, la solitude morale finalement. Et je le crains, la maladie pour l’entourage qui a du mal à tout surmonter.

    J’écris nos souvenirs des jours heureux, mais pour mon épouse qui vit dans son monde, tout en ayant besoin intensément de ma présence, est insensible à l’évocation du passé.

    Bon courage à l’auteur de l’artcile.



  •  C BARRATIER C BARRATIER 2 septembre 2021 17:44

    @malhorne
    Pour l’avenir, on, jugera les potentialités électorales des candidats qui se seront réellement présentés. Depuis qu’on parle de ZEMMOUR, pour loi c’est un mec qui a peur d’aller devant les électeurs . !



  •  C BARRATIER C BARRATIER 31 août 2021 20:27

    @ETTORE
    Il y a tous les prix, pas besoin de grand luxe quand on habite un quartier difficile, dans un . appartement. ces paquebots n’arrivent jamais à vendre toutes leurs cabines, ils font des prix à leurs « abonnés », j’en ai connu.



  •  C BARRATIER C BARRATIER 31 août 2021 20:21

    @Jonas
    on ne les force pas. La preuve, il y en a qui quittent cet emploi pour ne pas se faire vacciner. ils assument. Il y a sans problème des séparations contractuelles d’un travail, des arrangements pour avoir droit au chômage. n’en faisons pas un plat ! Les licenciés par leur entreprise, vaccinés ou pas, sont pléthore.

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