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Claude Courty

Claude Courty


Franc-tireur de la pensée libre. Lanceur d'alerte démographique.
Humaniste rationaliste, dénataliste ; chercheur indépendant en sociologie, agnotologie, écologie, pauvrologie.
Fondateur de la “Pyramidologie sociale”.
Les certitudes sont les vérités des sots, dont chacun porte sa part selon sa crédulité et sa liberté de pensée ; les pires de ces certitudes étant érigées en dogmes, dans le déni de réalités factuelles et chiffrables concernant les fondamentaux de la condition humaine, pourtant accessibles au premier venu. C'est ainsi que d’une extrême à l’autre, l’immense majorité des croyances, doctrines et idéologies dans lesquelles baigne l’humanité, s'obstinent dans la poursuite de ce déni de réalité.
Pour me joindre : Formulaire de contact figurant en bas de la page d'accueil du blog 
https://pyramidologiesociale.blogspot.com/ ou en commentaire des articles qui y sont publiés.

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Derniers commentaires



  • Claude Courty Claudec 17 février 2012 16:49

    Sur quoi Sarkozy peut-il faire campagne  ? S’interrogent certains. La réponse ne coule-t-elle pas de source ? Il ne peut le faire qu’en s’appuyant sur la France forte ; celle qui a compris que par manque de courage ses politiciens n’ont eu de cesse, pendant des décennies, de l’entraîner vers l’abîme ; celle qui est consciente de la nécessités des réformes entreprises et restant à terminer et à faire, ainsi que des efforts qui lui sont demandés pour les mener à bien ; celle qui ne renonce pas et refuse de se laisser guider par des considérations d’ailleurs et d’un autre temps.

    Quoi qu’en pensent et en dise le PS, qui tient avec peine son rôle de leader d’une coalition que l’idéologie ne suffit plus à soumettre, le motif avancé par le Président Sarkozy donne le ton exact de la campagne. Ne pas se représenter aurait été abandonner ses responsabilités au plus mauvais moment, et les Français ne s’y tromperont pas.

    Que peut faire d’autre son principal adversaire, faute de propositions crédibles, que d’ironiser en réponse, sur le ton qui aura été le sien durant tout le quinquennat qui prend fin ? Le moment est venu pour les électeurs de tous bords ayant le souci des intérêts du pays et par conséquent du leur et de celui de leurs enfants, de se souvenir de la manière et de la mesure selon lesquelles, au nom d’un sectarisme usés jusqu’à la corde, le PS a fait preuve d’un antisarkozysme aussi primaire que suicidaire, comme s’il vivait ses derniers instants, à la manière du défunt parti communiste.

    Ceux qui dans l’opposition, de gauche comme de droite, n’ont pas sacrifié tout leur sens civique à un dogme ayant fait partout où il a sévi la preuve de sa démagogie irresponsable et stérile, sont obligés de le reconnaître : l’opposition s’est montrée incapable de se livrer à autre chose qu’à des actions de retardement, à coup de mensonges, de dénigrement, de calomnie, de faux procès, d’invective, allant jusqu’à se réjouir des échecs du pouvoir, comme s’ils n’étaient pas d’abord ceux de la nation, au détriment de tous ses citoyens, dans la conjoncture désastreuse que traversent tous les pays du monde.

    Certes des erreurs ont été commises par le Président sortant, mais qui n’en commet pas ? Et qui lui refusera la contrepartie d’une jeunesse désormais corrigée par l’expérience autant que par l’âge ? il ne faut pas omettre que c’est justement cette jeunesse qui a permis de bousculer les habitudes et le conservatisme de prétendus progressistes, blanchis sous le harnais et incapables de la moindre remise en cause de leurs habitudes et de leurs certitudes ; ne tenant aucun compte de la nouvelle donne ni des crises sans précédent que traverse le monde.

    Certains se demandent à bon droit dans quel état serait aujourd’hui la France si les socialistes l’avaient emporté en 2007. La réponse est que nous en serions sans aucun doute au même point que l’Italie, l’Espagne ou la Grèce, plutôt qu’en tête du peloton européen. Il leur suffit d’ailleurs pour le savoir – passant par pertes et profits tout ce que l’opposition a fait depuis sous la conduite du PS pour ruiner les efforts du pays – de voter pour celui qui n’a rien de plus à nous proposer que celle qui l’a précédé dans son rôle de candidat à la présidence et dont les serviteurs, attendant leur récompense, concurremment avec leurs alliés du moment, sont les mêmes.



  • Claude Courty Claudec 17 février 2012 16:47

    Sur quoi Sarkozy peut-il faire campagne  ? S’interrogent certains. La réponse ne coule-t-elle pas de source ? Il ne peut le faire qu’en s’appuyant sur la France forte ; celle qui a compris que par manque de courage ses politiciens n’ont eu de cesse, pendant des décennies, de l’entraîner vers l’abîme ; celle qui est consciente de la nécessités des réformes entreprises et restant à terminer et à faire, ainsi que des efforts qui lui sont demandés pour les mener à bien ; celle qui ne renonce pas et refuse de se laisser guider par des considérations d’ailleurs et d’un autre temps.

    Quoi qu’en pensent et en dise le PS, qui tient avec peine son rôle de leader d’une coalition que l’idéologie ne suffit plus à soumettre, le motif avancé par le Président Sarkozy donne le ton exact de la campagne. Ne pas se représenter aurait été abandonner ses responsabilités au plus mauvais moment, et les Français ne s’y tromperont pas.

    Que peut faire d’autre son principal adversaire, faute de propositions crédibles, que d’ironiser en réponse, sur le ton qui aura été le sien durant tout le quinquennat qui prend fin ? Le moment est venu pour les électeurs de tous bords ayant le souci des intérêts du pays et par conséquent du leur et de celui de leurs enfants, de se souvenir de la manière et de la mesure selon lesquelles, au nom d’un sectarisme usés jusqu’à la corde, le PS a fait preuve d’un antisarkozysme aussi primaire que suicidaire, comme s’il vivait ses derniers instants, à la manière du défunt parti communiste.

    Ceux qui dans l’opposition, de gauche comme de droite, n’ont pas sacrifié tout leur sens civique à un dogme ayant fait partout où il a sévi la preuve de sa démagogie irresponsable et stérile, sont obligés de le reconnaître : l’opposition s’est montrée incapable de se livrer à autre chose qu’à des actions de retardement, à coup de mensonges, de dénigrement, de calomnie, de faux procès, d’invective, allant jusqu’à se réjouir des échecs du pouvoir, comme s’ils n’étaient pas d’abord ceux de la nation, au détriment de tous ses citoyens, dans la conjoncture désastreuse que traversent tous les pays du monde.

    Certes des erreurs ont été commises par le Président sortant, mais qui n’en commet pas ? Et qui lui refusera la contrepartie d’une jeunesse désormais corrigée par l’expérience autant que par l’âge ? il ne faut pas omettre que c’est justement cette jeunesse qui a permis de bousculer les habitudes et le conservatisme de prétendus progressistes, blanchis sous le harnais et incapables de la moindre remise en cause de leurs habitudes et de leurs certitudes ; ne tenant aucun compte de la nouvelle donne ni des crises sans précédent que traverse le monde.

    Certains se demandent à bon droit dans quel état serait aujourd’hui la France si les socialistes l’avaient emporté en 2007. La réponse est que nous en serions sans aucun doute au même point que l’Italie, l’Espagne ou la Grèce, plutôt qu’en tête du peloton européen. Il leur suffit d’ailleurs pour le savoir – passant par pertes et profits tout ce que l’opposition a fait depuis sous la conduite du PS pour ruiner les efforts du pays – de voter pour celui qui n’a rien de plus à nous proposer que celle qui l’a précédé dans son rôle de candidat à la présidence et dont les serviteurs, attendant leur récompense, concurremment avec leurs alliés du moment, sont les mêmes.



  • Claude Courty Claudec 11 février 2012 17:02

    N’oublions pas l’adage selon lequel :

    « Il est aussi peu normal pour un jeune de n’être pas de gauche, que pour un vieux de le demeurer ».


  • Claude Courty Claudec 7 février 2012 17:17

    « ... comme par l’apparente sincérité des idées qui y étaient défendues ... » - Excellent !

    Et suivi d’un bon repas, en bonne compagnie, dans un bon restaurant branché et pas forcément bon marché, c’est encore meilleur.


  • Claude Courty Claudec 7 février 2012 17:12

    Un Zola de droite, en quelque sorte ! Quel bonheur, l’autre commence à vieillir.

    De l’art de la récupération ou de celui de faire dire tout et n’importe quoi à n’importe qui.
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