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Clojea

Clojea

Clojea alias Claude Janvier est écrivain-essayiste disciple de Pierre Desproges, célèbre humoriste connu pour son humour noir et caustique, son non-conformisme et son talent littéraire. Il a écrit cinq livres à succès : "Les Démasqués, Qui dirige réellement le monde ?" KA Edition, Le Nouvel Empire Européen, ce que l'on vous cache ? The Book Edition, deux en collaboration avec Jean-Loup Izambert. "Le Virus et le Président" et "Covid-19, le bilan en 40 questions". IS Edition, un avec François Lagarde, "L'Etat Profond Français. Qui, Comment, Pourquoi ?" KA Edition. Depuis vingt ans, il se consacre à l’analyse approfondie de l’actualité, remettant en question les idées généralement acceptées et se rendant sur les lieux de conflits tels que la Syrie pour déterrer et diffuser les véritables informations clés. Il intervient régulièrement dans de nombreux médias pour partager ses découvertes. Claude Janvier anime également l’émission hebdomadaire « Libres Paroles » sur TV ADP, https://tvadp.fr/ , une chaîne dédiée aux esprits libres, où il occupe le poste de chroniqueur permanent, intervient tous les lundis matin dans la matinale de GPTV, intervient régulièrement sur RT France, et est partenaire dans de nombreux blogs et médias libres. Dans les années 1970, il a adhéré au courant de contre-culture et a développé une certaine méfiance envers l’État-providence et la société de consommation. Quelle que soit la situation, il reste fidèle à son style d’écriture alerte et à sa devise rebelle : Je râle donc je suis ! Twitter https://twitter.com/JANVIERClaude1 Facebook : https://www.facebook.com/Ziotit
 
 

Tableau de bord

  • Premier article le 16/10/2009
  • Modérateur depuis le 21/05/2010
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Derniers commentaires



  • Clojea Clojea 4 juillet 2018 10:53

    Merci pour l’article. Une information. Comme beaucoup, vous n’avez pas passé le permis à points. Donc, en cas d’infraction, l’amende sera à payer, mais vous pouvez contester le retrait de points.



  • Clojea Clojea 3 juillet 2018 14:40

    @HELIOS : Désolé mais je ne suis pas d’accord. Beaucoup disent qu’il n’y a aucune différence entre l’abstention et le vote blanc. Et bien non. S’abstenir, c’est rester à la maison, ou aller à la pêche ou peu importe. Pas d’engagement. Voter blanc, c’est se rendre aux urnes et mettre un bulletin de vote. En clair, c’est s’engager et dire non, je ne cautionne pas les candidats. S’abstenir, c’est faire le jeu des politiciens. Voter blanc, c’est les désavouer. La nuance est de taille. 



  • Clojea Clojea 2 juillet 2018 15:02

    @gueule de bois : C’est justement là le problème. L’abstention fait le jeu des politiciens. Le mieux est le vote blanc. Mais peu de gens comprennent réellement la portée que pourrait avoir un vote blanc massif



  • Clojea Clojea 2 juillet 2018 15:00

    @Jean Roque
    Un peu compliqué votre analyse. Les références à certains philosophes sont un peu alambiquées, mais au final, les conclusions vont dans le même sens.



  • Clojea Clojea 11 juin 2018 08:58

    @charly10 : Voici l’extrait des déclarations du Général devant la Commission d’enquête de l’AN. Georges Fenech pose les questions. Edifiant. Cela rejoint mon écrit, à savoir, pas d’intervention sans connaître toute la situation, ce qui est totalement ridicule. De plus, le Général explique que les militaires ne sont inhibés quand au mode d’emploi de leurs armes ni de les employer. Donc, non assistance à personnes en danger. 


    Général Bruno Le Ray. Si je vous ai laissé penser que la mission première des personnels de l’opération Sentinelle était de rassurer, je me suis mal exprimé. En réalité, la mission première des militaires est d’appuyer, de soutenir les forces de sécurité intérieure. J’ai été informé, dans le courant de la soirée, que les militaires avaient retiré les dispositifs de sécurité de leurs armes – les TOC –, afin de rendre celles-ci immédiatement opérationnelles : en clair, les militaires qui se trouvaient aux côtés de la police et des pompiers auraient été en mesure d’ouvrir le feu immédiatement si des terroristes étaient sortis du Bataclan.

    M. le rapporteur. En réplique ?

    Général Bruno Le Ray. En réplique, effectivement : comme toutes les forces de sécurité, nous appliquons les règles de la légitime défense.

    M. le président Georges Fenech. Mais vous n’auriez pas cherché à entrer dans le bâtiment pour aller abattre les terroristes ?

    Général Bruno Le Ray. Les seuls moments où des coups de feu ont été échangés, c’est lorsqu’un terroriste a entrouvert une issue de secours pour lâcher des rafales à l’aveuglette – des impacts ont été relevés sur certains véhicules, notamment ceux des pompiers –, ce qui ne permettait pas à nos hommes de riposter efficacement. Si les terroristes étaient vraiment sortis du bâtiment en ouvrant le feu dans la rue, les militaires auraient tiré à leur tour dans le cadre de la légitime défense, sans que j’aie besoin de les y autoriser.

    M. le président Georges Fenech. Vous n’avez pas répondu à ma question.

    Général Bruno Le Ray. J’y réponds en vous disant qu’à l’instar des forces de sécurité intérieure, nous aurions ouvert le feu si les conditions de la légitime défense avaient été réunies, comme des soldats l’ont fait à Valence en janvier dernier. Les militaires ne sont pas inhibés dans l’usage de leur arme : ils connaissent parfaitement les règles de la légitime défense et les appliquent de manière rigoureuse.

    Pour ce qui est d’entrer dans le Bataclan, nous avons agi conformément à notre mode d’action habituel – applicable en opération extérieure comme sur le territoire national –, qui veut que l’on n’entre pas dans une bouteille d’encre, c’est-à-dire sans savoir où l’on va, ce que l’on va faire et contre qui ! En mon âme et conscience, je n’aurais donc pas donné l’ordre à mes soldats de pénétrer dans le bâtiment sans un plan d’action prédéfini. Je peux concevoir que l’on intervienne en appui des forces de sécurité intérieure, qui décident de donner l’assaut parce qu’elles connaissent les lieux et savent ce qu’elles vont y trouver, mais pas que l’on se lance dans l’inconnu.

    M. le président Georges Fenech. Vous entendiez tout de même des tirs en provenance de l’intérieur !

    Général Bruno Le Ray. Certes, mais des bruits de tirs ne fournissent que fort peu d’informations sur ce qui se passe à l’intérieur.


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