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Décoder l'éco

Décoder l’éco

Fait des statistiques au lieu de dormir !

Tableau de bord

  • Premier article le 20/01/2020
  • Modérateur depuis le 10/02/2020
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Derniers commentaires



  • Décoder l'éco Décoder l’éco 26 octobre 2022 10:19

    @Eric F
    Il n’y a pas de paradoxe, mais des nuances.
    Les ménages modestes ne sont pas les ménages pauvres.
    C’est une question de déciles. Ne confondez pas les travailleurs du périurbain modestes et les pauvres de centre-ville au RSA vivant dans les HLM.
    Les premiers tentent d’être propriétaire de leur logement. Les seconds peuvent se diviser en 2 catégories : ceux qui essayent de ce sortir de cette situation et ceux qui s’en adaptent (en trouvant d’autres sources de revenus notamment).
    Pour les transports en commun c’est pareil. Les « aisés » prennent les transports en commun, les « riches » prennent leur bagnole pour 500m.
    Les modestes n’habitent pas dans les zones couvertes par les transports en commun (sauf peut-être en région parisienne avec le RER), mais les pauvres eux sont dans l’urbain bien couvert (avec transport gratuit le plus souvent).

    Le fait de devenir propriétaire ou de rester locataire dépend de plusieurs choses. D’une part le ratio prix d’achat/loyer

    . Si le nombre de mois de loyers correspondant à l’achat est supérieur au temps qu’on va rester sur place, alors pas sûr que ça vaille le coup.
    Les taux de crédit (en non pas d’emprunt, à moins que vous fassiez appel au marché financier pour acheter votre baraque) ne sont qu’un des paramètres. Ce qui compte, c’est le prix d’achat du logement par rapport à votre salaire pour savoir en combien de temps vous pouvez rembourser et ainsi calculer le montant global des intérêts. Donc le ratio prix d’achat/capacité de remboursement est le plus important. C’est ce dernier qui s’est effondré, grignotant de plus en plus le nombre de ménages pouvant accéder à la propriété et donc cessant de dépendre des autres pour se loger.
    Cette stratégie de rendre dépendant les gens est bien le vrai problème.

    Il me semble enfin que vous exagériez sur votre discours sur les retraités « très aisés ». dans l’article que vous citez, on lit :

    Si l’on remonte encore l’échelle des revenus, on retrouve de nouveaux gagnants. C’est le cas des retraités dont le revenu est compris entre 1.469 et 3.230 euros.

    Les perdants sont ceux entre 3 200 et 10 000 euros par mois. C’est la catégorie qu’on entend sur France inter expliquer qu’il faudrait qu’ils payent plus d’impôt.
    Barf, du moment qu’ils ont leurs piqûres...



  • Décoder l'éco Décoder l’éco 26 octobre 2022 09:59

    @titi
    Je n’ai jamais dit que la majorité est vieille et aisée. J’ai dit que la majorité des votants est vieille et aisée. Nuance.

    Cette majorité est la seule qui intéresse la bande de costards-cravates qui se partage les sièges à la télé et à l’assemblée. Raison pour laquelle ils prennent toujours des décisions le doigt sur la couture du pantalon. 
    Cela explique très bien les délires covidistes par exemple.



  • Décoder l'éco Décoder l’éco 18 mai 2022 21:07

    @Cyril22
    En effet, depuis Walach et al. que j’ai commenté il y a presque 1 an, on trouve quelques morts en trop par million de dose.
    C’est tout juste assez fort pour être visible statistiquement. Il faudrait vraiment piquer les gens tous les jours pour que ça ait un impact sur un population.
    En gros chez nous ils y a quelques centaines de moins de 60 ans malchanceux qui ont passé l’arme à gauche. ça ne va pas dépeupler le pays.

    Côté stérilisation, on voit quelques personnes malades sur le long terme oui. Mais c’est aussi assez faible. La natalité se pète la gueule depuis 50 ans de toute façon.

    Aux intérêts financiers il ne faut pas oublier d’additionner l’idéologie. Je pense que M. Portes est vraiment complètement ravagé de la carafe. Il croît très probablement à ses propres conneries.
    Les imbéciles des plateaux télé y croient eux aussi. Il y a plein de gens qui fait ça de bon cœur par croyance.



  • Décoder l'éco Décoder l’éco 18 mai 2022 15:30

    @Séraphin Lampion
    Je pensais comme vous jusqu’en 2020.
    depuis j’ai découvert que le néolibéralisme c’est has been.
    Il est beaucoup plus efficace de payer des pantins à la tête des États qui vont mettre en place des lois pour aller chercher le pognon des gens directement depuis les impôts.
    Privatiser la santé c’est naze quand l’état fait directement la commande des produits. Il peut même obliger les gens à se faire injecter de la merde (au cas où il n’y aurait pas assez de couillons qui y vont tout seul).
    En plus les États peuvent commander 10 fois trop de produits sans que personne ne dise rien. Tout passe crème.

    Ajoutons que, ce qui coûte cher, les « médecins », sont directement payés par les impôts. Il ne reste à l’industrie que ce qui ne coûte rien : produire en grande quantité des molécules déjà brevetées.
    Il n’ont même pas à chercher de nouvelles molécules puisqu’ils attendent que des gogos le fasse pour ensuite racheter ce qui sera vendable.

    Nous vivons la fusion du communisme et du grand capital. Bienvenue dans l’ère des dystopies qu’on s’amusait jusqu’ici à lire en BD ou en roman SF.



  • Décoder l'éco Décoder l’éco 12 mai 2022 18:13

    @Eric F
    Le scandale, c’est instrumentalisation de drames pour des motifs polémiques.
    Entièrement d’accord. Le refus de soin a été instrumentalisé par le pouvoir pour ensuite accuser le méchant virus de saturer les hôpitaux (ce qui n’a pas été le cas) et de faire que quelques vieux qui toussaient ont eu un état qui a dégénéré. Tout cela pour le motif de créer la panique et de faire croire aux gens qu’il fallait les protéger « quoi qu’il en coûte » (enfin surtout leur propre pognon).

    Pendant le pic épidémique du printemps 2020, il y a eu afflux de cas graves de Covid (la souche initiale a été la plus létale),
    Voilà l’instrumentalisation. Non, il n’y a pas eu de « pic épidémique ». Il y a eu des abandons et donc des morts.

    les réanimations (les vraies, pas les soins intensifs) étaient réellement sursaturées,
    Complètement faux : https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/la-face-cachee-des-reanimations-en-237738

    et les traitements utilisés du fait des connaissances de l’époque consistaient en une oxygénation, dont pour les cas extrême une intubation invasive sous sédation de plusieurs semaines.
    Et les italiens avaient déjà fait la même bêtise et prévenu que c’était une connerie. Cette méthode a juste tué des gens. Ce sont surtout les parisiens qui l’ont mis en place. On apprécie le résultat.

    Les personnes très âgées à qui du Rivotril a été administré étaient en situation de détresse respiratoire extrême, et n’auraient pas été en état de supporter le traitement de cheval que constituait l’intubation respiratoire de longue durée sous sédation (dont le taux de mortalité était élevé -env 40%-).
    Abandonnés par leur médecin, pas d’antibiotique délivrés précocement ni d’autres médicaments habituels, ils étaient plus mal que d’habitude, certes. Il ne fallait pas les intuber, je n’en ai pas le moindre doute.

    L’usage du Rivotril était effectivement palliatif du fait de pénurie du midazolam, d’où le déchirement tout à fait compréhensible de nombreux soignants, faute de soins curatifs efficaces à ce stade de la maladie.
    La pénurie de midazolam vient du fait que les cabinets de conseil ont dit à tous les pays occidentaux de placer tous leurs vieux en soins palliatifs au lieu de les soigner. Les canadiens, anglais et américains ont donc vidé tout le stock de midazolam. Si le midazolam avait été utilisé à la place du Rivotril, j’aurai également vu une grosse bosse (comme le Valium) et le scandale aurait été identique.

    Il n’y a eu que quelques vieux malades au regard de la taille de notre population, exactement les mêmes que d’habitude aux mêmes dates, sauf qu’on ne leur a pas donné d’antibiotiques, mais du doliprane « paske cé un virus ».
    Ces vieux, qui allaient certainement pour la plupart mourir, ont été terminés aux mêmes dates à l’aide de ce produit. C’est la raison pour laquelle nous voyons une bosse de mortalité, puis un creux de mortalité.
    Le méchant virus n’a rien à voir avec ce phénomène. C’est bien la stratégie qui a créé ces statistiques.

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