Toute une famille en situation illégale sur le territoire ?
Comment sont-ils entrés ?
Visa de tourisme, comme d’habitude, les trois-quarts des immigrés en France sont des immigrés illégaux qui sont entrés muni d’un visa temporaire et qui oublient de rentrer chez eux à l’expiration de ce visa, en espérant une régularisation à posteriori.
Quelqu’un peut-il s’étonner qu’on applique la loi ?
Etes-vous jamais allé au service des urgences d’un hôpital public ?
Les trois-quart des clients sont des immigrés en situation illégale. Beaucoup ne sont d’ailleurs même pas pris en charge par le personnel hospitalier qui les font poireauter jusqu’à la fermeture du service et les plus patients seront de retour le lendemain matin.
Le personnel ne prendra en charge que les cas les plus graves, il s’agira d’un geste humanitaire, d’un acte médical purement gracieux, car il est bien sûr à peu près inutile d’attendre un paiement des soins et les hôpitaux publics sont tous en quasi faillite !
Nous nous apercevons seulement aujourd’hui que nous avons importé du chômage, de la misère, de la violence et des trafics ??
Alors nous avions de la merde dans les yeux !
Et nous constatons à présent que nous ne pouvons rien faire pour eux et que la barque est en train de couler. Mieux vaut tard que jamais.
Et maintenant une petite question : ce phénomène que nous décrivons ici et qui s’appelle immigration illégale en violation de toutes les lois et de tous les règlements administratifs qui régissent l’entrée et le séjour des étrangers sur notre territoire, va-t-il cesser comme par magie ?
Et les conséquences désastreuses et couteuses de ce phénomènes vont-elles cesser comme par enchantement ?
Non, n’est-ce pas ?
Alors on en reparlera dans six mois. Ou dans un an.
Nous sommes en face d’une situation de rejet, qui est d’ailleurs réciproque, et qui n’est pas spécifique à la France, car on peut dire que c’est le référendum en Suisse sur les minarets qui a donné le top départ.
Mais qui, en revanche, est bien spécifique à la communauté arabo-musulmane, puisque les autres communautés immigrés ne sont pas victime du même rejet.
Ce serait un bien curieux racisme qu’un racisme qui ne concernerait qu’une communauté étrangère et pas les autres. Ce serait un racisme bien sélectif, et dans ce cas il faudrait expliquer sa sélectivité.
Or, on ne pourrait en trouver les causes que chez cette communauté rejetée, puisque par définition cette cause n’existerait pas chez les autres.
Alors, amis d’Afrique du Nord, regardez-vous donc dans une glace, qu’est-ce qui cloche avec vous ?
La communauté étrangère qui est la victime de ce rejet devrait en tirer les conséquences elle-même et rentrer chez elle pendant qu’il est temps de le faire sans perdre la face. Car son avenir n’est plus chez nous, ça c’est sûr, et il vaudrait mieux en prendre acte avant de subir de plus graves désagréments.
Si l’Enseignement Privé obtenait les permis de construire qu’il demande pour faire face à la demande des familles, alors l’Enseignement Public se viderait de la moitié de ses effectifs.
Et si les parents d’élèves du secteur privé recevaient les remboursement d’impôts auxquels ils ont droits puisqu’ils n’utilisent plus les services du secteur public, alors l’Enseignement Public se viderait des trois-quarts de ses effectifs.
La seule question que pose la liberté de l’enseignement et la liberté de choix des parents en ce qui concerne l’éducation qu’ils souhaitent pour leurs propres enfants est la suivante :
Pourquoi l’Enseignement Privé en France est-il le plus souvent un Enseignement Confessionnel ?
C’est une anomalie spécifiquement française qu’il faut corriger, car la liberté de choix des parents ne doit pas être limitée par une offre trop restreinte, limitée à une offre collectiviste et une offre confessionnelle, sur le marché de l’Education.
En revanche, il est certain que l’Offre sur le marché de l’Education doit être libérée comme l’Offre sur le marché des télécommunications ou sur le marché de la distribution du courrier, car ce que les syndicats collectivistes et corporatistes défendent en fait, ce n’est pas le « service public », qui est une expression totalement dénuée de sens, mais le MONOPOLE PUBLIC qui viole la liberté de choix des utilisateurs de services.