« Tous les partis corrompus se valent. Ils vous ont tous volés, ruinés, trahis [...]. Si vous voulez voir des scandales nouveaux empester le pays, si vous voulez être écrasés par la dictature des banksters, [...] suivez alors, comme des moutons, les politiciens profiteurs ! Vous aurez, vous-mêmes, signé votre condamnation à mort. »
— Léon Degrelle, Le Pays réel.
Ce Leon Degrelle quel génie tout de même !!!
Zen aime beaucoup Leon Degrelle et Leon Degrelle aime beaucoup Zen. A ce propos allez sur Youtube et taper la requête :
« Leon Degrelle on Islam ».
Vous pourrez alors voir une interview en français de Leon Degrelle, qui exprime de façon touchante cet amour réciproque.
e crois que vous devriez vous occuper plutôt de questions qui vous regardent, par exemple l’avenir de l’Algérie ou du Maroc, mais pas de la question de savoir si les Russes se prennent pour des Russes ou pour des Tatars !
Au fait, pourquoi diable avez-vous quitté votre patrie pour venir vous installer chez nous ?
« Selon le Rapport Pébereau sur la dette publique, l’application des normes comptables des entreprises privées aboutit à un montant supplémentaire de dette compris entre 790 et 1 000 milliards d’euros[3]. Si l’on intégrait ce montant, la dette publique serait de 2500 milliards d’euros, soit 134% du PIB ! Imaginez que le FMI ou la BCE demande à la France de rectifier ses comptes en provisionnant les retraites des fonctionnaires ! On dirait que comme l’Etat grec, la France a maquillé ses chiffres et la note de la France plongerait soudain … Il serait très intéressant d’ailleurs de savoir si les autres pays européens ont provisionné les retraites de leurs fonctionnaires ».
Je crois qu’il existe des recommandations de la Commission Européenne en ce qui concerne la prise en compte dans la dette publique de ces engagements de retraite des fonctionnaires, et que la France « songe » à les appliquer.
Cependant, comme vous le faites remarquer la prise en compte de ces engagements entraineraient une augmentation faramineuse de la dette apparente de l’Etat, si bien que nous en sommes encore à la phase de « songe » et pas encore dans la phase d’application !
En revanche les Etats plus sérieux dans leurs méthodes de comptabilisation des engagements publics, notamment les Etats Anglo-Saxons, ont enregistré et font apparaitre dans leurs comptes ces engagements qui sont bien des engagements réels.
« Ainsi 75% de la dette publique serait internalisée, il suffirait ensuite de contraindre les banques françaises à prendre les 25% restants si elle ne le font pas déjà en pratique et le tour serait joué ».
Et le tour sera joué......
Notre ami prend les épargnants pour de serfs taillables et corvéables à merci. Il semblerait bien que nos amis fonctionnaires s’aperçoivent, contraints et forcés par la réalité des évènements récents, que leur patron est au bord de la faillite.
Encore un beau mythe qui s’envole dans une époque fertile en désillusions !
Or, n’est-ce pas la certitude qu’ils avaient de l’insubmersibilité de leur patron étatique qui en a poussé plus d’un à embrasser une carrière de parasite agrémentés de privilèges divers ?
Mais nos amis fonctionnaires ne réformeront ni le monde, ni le « système financier international », des objectifs largement hors de leur portée, et ne pourront pas non plus « jouer des tours » aux prêteurs qui assurent leurs fins de mois.
L’Etat Providence c’est fini, car l’Etat ne peut plus lever les impôts qui permettraient de financer cet Etat Pantagruelique qui embrasse beaucoup mais mal étreint.
La matière fiscale qui serait nécessaire pour y parvenir n’existe tout simplement pas. Même les « riches » ne sont pas assez nombreux !
Et le recours à l’emprunt n’aura qu’un temps, même si l’on « joue des tours », ou si l’on tente de réinventer les emprunts forcés !
Oui, et cette façon de s’approprier Jésus-Christ, « prophète de l’Islam » qui « abolira le Christianisme » est assez rigolote !
Mais ce n’est pas le seul « emprunt » que l’Islam fait chez ses voisins monothéistes, des voisins qu’il trouve bien encombrants puisque la moitié des versets du Coran sont consacrés aux Chrétiens et aux Juifs pour expliquer à quel point ils sont dans l’erreur, car l’Islam « emprunte » aussi Jérusalem, transformé en « ville sainte de l’Islam » par un simple coup de baguette magique !
Le Coran est un mauvais plagiat qui passe son temps à débiner ceux sur lesquels il a pompé sans vergogne, afin de ne pas reconnaitre tout ce qu’il leur doit.