Les meurtres qui viennent d’être commis en Grèce sonnent la fin de ce mouvement de protestation des fonctionnaires.
Tout le monde peut voir que les intérêts de cette caste, en Grèce comme en France, sont contraires à l’intérêt général.
Et chacun a pu voir que les intérêts des employés des monopoles publics en France et les grèves intempestives à répétition qu’ils provoquent, sont contraires aux intérêts du pays.
Tous ces mouvements sont désormais voués à l’échec et nous assistons à un changement du paysage politique dans toute l’Europe avec une progression de la droite classique partout sur le Continent. Hier en Italie, demain en Grande-Bretagne et en Hollande.
Et peut-être aussi en Grèce, car le Gouvernement Socialiste Grec serait sans doute bien avisé de provoquer des élections !
Profitons-en pour dire la vérité au sujet de la crise grecque :
La faillite de la Grèce c’est la faillite de l’ETAT GREC et la faillite de l’Etat Grec c’est la faillite du modèle européen de l’Etat Providence interventionniste.
Cet Etat Providence interventionniste qui ne peut plus se financer depuis DES LUSTRES et qui emprunte à tour de bras pour boucler ces fins de mois.
Quel couillon a dit qu’un Etat ne pouvait pas tomber en faillite ??
Où sont les couillons qui soutiennent les politiques qu’on appelle « Keynésienne », pour avoir l’air plus savant, mais qui ne sont que des politiques de perpétuels dérapages financiers ?
Et profitons-en pour rappeler une autre vérité au sujet de la crise qui a précédé celle que nous observons aujourd’hui :
La crise des « subprimes » et du système financier international, c’était la crise de l’Etat Providence interventionniste américain, qui a voulu favoriser sans sortir un sou l’accession à la propriété immobilière de débiteurs à la solvabilité douteuse.
Il faut en finir avec les interventions intempestives de l’Etat dans l’Economie, interventions qu’il finance par de la dette, ou par des promesses de garantie qu’il retire en méprisant la parole donnée, car il n’a même plus les moyens budgetaires nécessaires pour financer ses ambitions interventionnistes.
Dans le cas de la crise des « subprimes » la propagande forcenée des Etats tous solidaires a consisté à faire croire que le système bancaire était responsable de la déroute, des couillons l’on cru et le croit toujours, mais aujourd’hui ?
Aujourd’hui qui va croire que les coupables de la banqueroute grecque sont les banques qu’on appelle au secours pour qu’un Etat impécunieux évite d’être mis en cessation de paiement ?
Un leçon et un avertissement pour l’avenir :
Hier, au temps des monnaies nationales, il suffisait au Gouvernement français de fabriquer de la monnaie de singe et de laisser filer la valeur du franc sur les marchés des changes, en spoliant au passage tous les détenteurs d’épargne en francs, pour éviter une banqueroute.
Mais aujourd’hui le Gouverneur de la Banque Centrale Européenne ne répondra plus au téléphone et notre ministre des finances ne pourra plus spolier les épargnants.
Par conséquent il n’aura d’autre ressource que de déclarer la banqueroute en cas de squeeze budgétaire.
Et j’ai bien dit la banqueroute, une banqueroute générale comme la banqueroute des Assignats
La France a évité plusieurs banqueroutes dans un passé récent, en dévaluant la valeur de sa monnaie nationale et en laissant filer l’inflation, mais cette solution n’est plus envisageable maintenant.
Par conséquent l’heure de vérité sonnera peut-être bientôt lorsque nous n’aurons plus d’expédients à notre disposition.
Rappel : Tous les épargnants ont désormais leurs avoirs libellés dans une monnaie qui est contre-garantie en dernier ressort par l’Allemagne :
l’Euro.
Il faudra conserver son épargne dans cette monnaie quoi qu’il arrive et refuser tous changement de monnaie qu’on pourrait demain proposer.
Et naturellement il faudra refuser le retour au franc.
« D’une manière générale, c’est à croire que les patriotes, les traditionalistes - « l’extrême droite », pour être vulgaire - sont tellement habitués à l’échec, à vagabonder dans les rues les plus sombres et les plus reculées du pouvoir et de la bonne tenue, qu’ils prennent peur dès qu’un peu de soleil les éblouit ».
Cette pauvre extrême droite n’aime pas la concurrence, elle voudrait être la seule à profiter de l’évolution de l’opinion publique face à la question de l’immigration illégale, évolution que l’on observe partout en Europe et qui influence le résultat de toutes les élections.
On le constatera une ois de plus lors des prochaines élections en Grande Bretagne où les Travaillistes vont très certainement perdre le pouvoir.
70 à 80% a population immigrée en Europe est en situation illégale, il s’agit principalement de l’immigration maghrébine et moyen-orientale musulmane, et de l’immigration d’Afrique Noire, dont environ la moitié est également musulmane.
20 à 30% de la population immigrée en Europe est en situation légale, il s’agit de l’immigration en provenance de pays d’Europe de l’Est membres de la Communauté Européenne.
Voilà quels sont les résultats de toutes les enquêtes qui ont été faites en Europe de l’Ouest, du moins dans les pays où les statistiques « ethniques » sont possibles et pratiquées correctement. Il n’ a aucune raison que les résultats soient différents en France et seuls le « politiquement correct » et la « pensée unique », qui censurent les informations disponibles, interdisent de le constater.
Seulement voilà, il y a un hic : Le reflux électoral des gauches Européennes qui sont perçues par les électeurs comme des défenseurs de l’immigration illégale, ne s’accompagne pas forcément d’une remontée de l’extrême-droite qui est toujours marquée par un fascisme antisémite qui ne peut pas convenir à une grande majorité des électeurs. On l’a vu récemment en Autriche où la candidate d’extrême droite a été laminée au second tour des présidentielles, comme Jean-Marie Le Pen avait été laminé en France face à Jacques Chirac. Il n’y a guère que la Ligue du Nord en Italie qui ait réussi sa conversion de parti fasciste en parti démocratique capable de jouer un rôle de premier plan.
Nous verrons si Marine Le Pen parvient à conduire le Front National sur un chemin identique, mais pour le moment nous n’en savons rien.
Et en attendant, les éléments les plus antidémocratiques et les plus antisémites de l’extrême-droite française en sont réduits à tirer à boulets rouges sur un Eric Zemmour qui leur fait de l’ombre et qui leur fait craindre que d’autres, la droite classique par exemple, pourraient tirer les marrons du feu à leur place sur le plan électoral.
Attendons et nous verrons si Marine Le Pen est en mesure de comprendre que pour exister sur la scène politique, il faudra qu’elle se débarrasse des Soral et des Non666.
Chère Lisa Sion, parlez-nous plutôt de la mainmise des « sionistes » sur la télévision, c’est sur ce genre de sujet que vous êtes la plus intéressante à lire.