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frédéric lyon

Je suis seulement intéressé par ce qui se passe et j’ai horreur des idées toutes faites.

Tableau de bord

  • Premier article le 01/04/2008
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Derniers commentaires



  • frédéric lyon 14 février 2012 17:17

    François Hollande dans une interview donnée hier au journal The Guardian à destination de la City à Londres :


    « Il n’y a pas de communiste en France.....Les années 80...cette époque est révolue, elle appartient à l’Histoire.....la gauche a été au pouvoir pendant quinze ans, au cours desquelles nous avons libéralisé l’économie et ouvert les marchés à la finance et à la privatisation. Il n’y a rien à craindre. »

    Ouf ! La City peut respirer et attendre encore un peu avant de mettre la France en faillite.

    Moralité : 

    Il n’y a plus de communiste en France, et il n’y a plus de socialiste non plus. Et ceci ne date pas d’hier, mais des années Jospin. Souvenez-vous : « Mon programme n’est pas socialiste ».

    Et bien celui de Hollande ne l’est pas non plus.

    Les idéologies sont évacuées du champs politique, comme les religions ont été peu à peu évacuées du champs social et nous en revenons enfin à l’essentiel : la gestion comptable.

    Avec cette dernière découverte : 

    Les Etats sacro-saints des idéologies de l’extrême droite fasciste et de l’extrême gauche marxiste peuvent être mis en faillite comme un vulgaire commerce au coin d’une rue. 


  • frédéric lyon 10 février 2012 10:04

    Il est clair que la tâche de Sarko parait extrêmement ardue !


    D’ailleurs pratiquement tous les gouvernements qui se sont présentés devant les électeurs ces derniers mois ont été battus à plates coutures. Ceux de gauche (les plus nombreux) comme ceux de droite. La seule exception (qui confirme la règle) est, je crois, un gouvernement d’un petit pays Balte, (l’Estonie ou la Lituanie), qui a réussi à se faire réélire, malgré la crise !

    Alors François Hollande est-il déjà Président ? Où bien va-t-il, comme son ex-compagne, perdre une élection imperdable ?

    D’autant plus imperdable, que non seulement il y a la crise qui plombe tous les gouvernement en place, mais il y a en plus le fait que la gauche a perdu trois élections présidentielles de suite, ce qui fait beaucoup et qui milite fortement pour une alternance attendue depuis longtemps, et gagné toutes les élections intermédiaires, ce qui la place dans une dynamique électorale positive.

    Et pourtant.....les adversaires de Sarko ne sont pas des aigles !

    - François Hollande n’est pas le candidat idéal, c’est le moins qu’on puisse dire.

    - Bayrou, après être monté dans les sondages en récupérant les intentions de vote des sondés qui se portaient auparavant sur Borloo, retombe comme un soufflet.

    - Marine Le Pen, la petite merveille à son papa, ne cassera pas les briques. Fera-t-elle seulement 15 % ?

    - Mélanchon se traîne comme une âme en peine autour de 6 ou 7 %

    - et Villepin ne représente que lui-même.

    On n’a rarement eu un panel d’opposants aussi faiblards.

    Le deuxième tour opposera Hollande et Sarkozy, les autres ne sont que des seconds couteaux, ce sera un match au finish et si la participation est forte, tout peut arriver.


  • frédéric lyon 7 février 2012 18:34

    On peut sans doute reprocher à Guéant de ne pas avoir trouvé le mot juste, mais c’est une critique qui ne va pas bien loin, car tout ceux qui l’ont entendu ont parfaitement compris ce qu’il voulait dire :


    L’irruption inopinée de l’Islam dans la société française est une source de régression morale, intellectuelle et politique.

    Pourra-t-on cacher éternellement cette régression aux yeux du public en instruisant des procès en sorcellerie contre ceux qui la dénoncent ?

    Rien n’est moins sûr, car les problèmes qui se posent sont bien réels, les français en ont bien conscience. Ils n’en n’ont pas seulement le « sentiment », comme ils avaient selon la gauche un simple « sentiment d’insécurité » lors d’une élection précédente !

    Nous sommes dans un débat politique à l’occasion de ces élections qui s’approchent, tous les sujets peuvent être débattus sur la place publique, y compris l’immigration et ses conséquences. On ne peut pas toujours évacuer les questions qui dérangent sous le tapis. 

    La question de l’immigration intempestive de populations clochardisées par les indépendances qu’on leur a accordé à juste titre il y a cinquante ans restera bien au coeur du débat politique et ne risque pas de disparaître de si tôt par un coup de baguette magique 

    Il faudra beaucoup de doigté pour la régler pacifiquement sans trop de casse.

    Mais au fait, comment avons nous pu ignorer que l’Islam et la démocratie était incompatibles et que le respect des lois de la République impliquait l’abandon des principaux enseignements du Coran ?

    Nous nous en apercevons maintenant à nos dépends, et il faudra bien en tirer les conséquences. 

    Musulmans comme non-Musulmans. 



     


  • frédéric lyon 7 février 2012 12:31

    Je rappelle que la charge de la preuve revient à ceux qui postulent l’existence de dieu.


    Bien entendu le cas est différent si l’on postule l’existence d’une table ou d’une chaise que tout le monde peut voir. 

    Vous n’aurez pas besoin de démontrer son existence et vous n’auriez de toute façon aucune difficulté à convaincre les sceptiques, si par hasard on vous le demandait.

    En revanche l’existence des éléphants roses qui planent au dessus de la table pose un problème très différent et nécessite qu’on apporte une preuve solide. De même que l’existence du Père Noël, pour prendre un autre exemple tiré de l’imaginaire des êtres humains.

    D’ailleurs il n’y a probablement aucune différence de nature entre la croyance des adultes en dieu et la croyance des enfants dans le père Noël. Dans les deux cas il s’agit de satisfaire un désir dans l’ordre de l’imaginaire, sans s’embarrasser de la réalité.

    Pour croire en dieu, il faut d’ailleurs être resté un enfant : « Heureux les pauvres d’esprit.... » 

    Dieu n’existe donc pas tant que nous n’avons aucune preuve de son existence et tout le discours religieux consiste à essayer de contourner cette difficulté fondamentale en violant les lois de la logique, tout en condamnant ceux qui doutent (pauvre Saint Thomas !)

    Le discours religieux est fondamentalement un discours de sophiste et le premier de tous les sophisme consiste à vouloir faire croire que le père Noël existe puisqu’on ne peut pas démontrer son inexistence, en renversant la charge de la preuve au mépris des lois de la logique.


  • frédéric lyon 6 février 2012 21:51

    La charge de la preuve revient à ceux qui postulent l’existence de dieu. 


    Or cette preuve n’a jamais pu être apportée de façon convaincante, la tentative la plus sérieuse ayant été faite par Pascal et son fameux « pari », qui prenait le soin de reconnaître qu’il ne pouvait pas apporter de preuve formelle, mais qui nous conseillait de faire quand même le pari d’accepter l’existence de dieu, puisque c’était selon lui un pari sans risque avec un faible espoir de gain s’il y a une vie après la mort.

    Le petit problème est justement qu’il faut également postuler qu’il y a une vie après la mort ce qui est une seconde hypothèse aussi peu plausible que celle de l’existence de dieu. 

    Depuis cette tentative courageuse, mais peu convaincante, les croyants ont abandonné tout espoir d’apporter la preuve qu’on leur demande et ils se contentent de proclamer leur foi inébranlable envers et contre tout.

    Personne ne peut rien pour eux, et ils ne peuvent rien pour nous.

    Notre inénarrable auteur perd donc son temps et nous fait perdre le nôtre, les arguments des uns comme des autres ayant déjà été exposés depuis des siècles sans que la démonstration de l’existence d’un créateur de l’univers n’est fait le moindre progrès.

    Il paraît donc plus sage de s’en tenir au postulat de l’inexistence dieu jusqu’à ce que cette maudite preuve du contraire nous soit enfin servie par un croyant plus intelligent que les autres, ce qui devrait prendre au moins quinze milliards d’année supplémentaires.

    Sinon plus. 
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