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frédéric lyon

Je suis seulement intéressé par ce qui se passe et j’ai horreur des idées toutes faites.

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  • Premier article le 01/04/2008
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  • frédéric lyon 1er novembre 2011 10:00

    Les femmes tunisiennes n’ont pas voté pour les islamistes, puisqu’elles ne sont pas allé voter. Leurs maris, frères, oncles, grands-pères leur ont dit que ce n’était pas la peine de se déplacer.


    Tout le monde a pu voir qu’il n’y avait pas beaucoup de femmes dans les files d’attente devant les bureaux de vote ! Même en France, devant les bureaux de vote installés pour faire voter la communauté tunisienne immigrée.

    Ce vote a été une mascarade de démocratie, comme tous les votes organisés dans ces pays où la démocratie telle que nous la concevons n’existe pas puisque les individus capable de se déterminer de façon autonome n’ont aucune existence, en dehors de leur appartenance à une famille, à un clan, ou à une communauté religieuse.


  • frédéric lyon 1er novembre 2011 09:50

    Tout le monde avait déjà remarqué qu’il n’y avait pas beaucoup de femmes dans les queues devant les bureaux de vote.


    Et même devant les bureaux de vote installés en France pour faire voter la communauté tunisienne immigrée !

    Par conséquent la participation ne pouvait pas être de 90 %, puisqu’il manquait déjà la moitié de la population !

    Ce vote a été une mascarade de démocratie, et la fameuse « révolution de jasmin », jadis chantée par tous les médias unanimes, a bonne mine aujourd’hui. 


  • frédéric lyon 31 octobre 2011 17:46

    Les autorités judiciaires et politiques se sont aperçues, mais un peu tardivement, que l’Islam et son code de lois très particulier (la « charria ») sont contraires à la Déclaration des droits de l’Homme, à la Constitution et aux lois de la République.


    La première contradiction majeure et rédhibitoire réside dans le fait que nos lois sont d’essence démocratique et d’origine humaine, tandis que les lois musulmane sont d’origine « divine » et elles sont parfaites par définition. 

    Elles ont été dictées au « prophète » par l’Ange Gabriel, porte parole de dieu lui-même, il y a quelques siècles et elles ne sont donc pas le résultat d’un travail parlementaire toujours perfectible dans le futur.

    Il y avait donc assez peu de chance pour que les deux codes de lois soient compatibles !!

    Le respect des Lois de notre République implique donc l’abandon de pans entier du Coran. Bien sûr on ne le dira pas carrément, on espère que les musulmans ne s’en apercevront pas sans doute (c’est raté !) et il suffira d’exiger le respect de nos lois sans préciser que ces lois sont contraires à la Charria.

    Pour être plus précis, on dira que l’on laisse aux musulmans le soin de relever les contradictions et de se mettre d’eux-mêmes en dehors des lois de la République. 

    Le piège est assez subtil, il faut en convenir.

    Le port du voile dans les lieux publics n’est qu’une manifestation des contradictions fondamentales entre la loi Républicaine et la loi Islamique, il y a beaucoup d’autres préceptes de la religion musulmane qui sont illégaux et anticonstitutionnels.

    Il serait même fastidieux de les citer tous !


  • frédéric lyon 26 octobre 2011 10:16

    Il ne faut pas confondre les « grants » qui sont mis en place par les universités elles-mêmes sur leur fonds propres, notamment les plus importantes (et les plus riches), d’une part. 


    Et les bourses (Fullbright, Mellon, Rhodes, etc.), d’autre part, qui viennent éventuellement en complément. Ces bourses sont des systèmes anciens, qui existent toujours, mais qui sont dépassés aujourd’hui.

    Un exemple : Harvard.

    Le coût annuel moyen des études pour acquérir une licence à Harvard est estimé à 49,000 dollars environ (tout compris : études, logement et nourriture), les étudiants admis (sans considération de ressources) dont les parents déclarent un revenu inférieur à 60,000 dollars par an ne payeront rien, ceux dont les parents ont des revenus compris entre 60,000 et 80,000 dollars ne payeront que quelques milliers de dollars par an (montant variable en fonction de certains critères financiers). Ceux dont les parents ont des revenus déclarés supérieurs à 180,000 dollars payeront plein pot.

    Au total, pour l’année 2009, l’Université d’Harvard a offert un total de « grants » de 414 millions de dollars à l’ensemble de ses étudiants de premier cycle (licence). 

    Ces « grants » représentent 88% des besoins de financement des étudiants pauvres (encore une fois : tous frais compris), les emprunts bancaires ne représentent que 8% des besoins de financement environ,et les emplois fournis aux étudiant ne représentent que 4% des besoins de financement.

    Il est évident que l’Université d’Harvard, qui est l’une des plus prestigieuses et aussi une des plus sélectives, est très riche (comme toutes les universités américaines les plus sélectives et les plus réputées, d’ailleurs). Ces universités gèrent des capitaux qui se chiffrent par dizaines de milliards de dollars, capitaux qui leur proviennent de donations faites par d’anciens étudiants (80% des anciens étudiants font des dons d’importance variable CHAQUE année), capitaux dont les revenus permettent de faire beaucoup de choses en ce qui concerne la qualité des locaux et des équipements, de l’enseignement, de l’aide financière aux étudiants, du logement, etc.

    Mais il n’en demeure pas moins que la tendance est générale aux USA qui consiste à alléger le poids des dettes des étudiants les plus pauvre à la sortie de l’université, en substituant des dons aux traditionnels prêts bancaires.

    Car les américains sont des humains comme les autres, qui trouvent injustes que les étudiant méritants, mais pauvres, soient chargées d’une dette bancaire à la fin de leurs études alors que les étudiants des classes plus riches ne le sont pas.

    soit dit en passant, il y a beaucoup d’étudiants originaires d’Asie (Chine, Inde) ou d’Amérique du Sud (Mexique, Colombie, Argentine) qui proviennent de pays où les revenus et les niveaux de vie sont loin d’atteindre les niveaux aux USA, et qui ne pourraient pas faire d’études dans les bonnes universités américaine si ces « grants » (qui sont le plus souvent ouverts aux étudiants étrangers) n’existaient pas.

    Le seul problème (mais n’est-il pas compréhensible ?) est qu’il faut avoir un dossier scolaire en béton pour pouvoir entrer à Harvard.

    Alors ? 

    Quel est le système universitaire le plus juste, le français ou l’américain ?

    Mon avis est que ça se discute !! 


  • frédéric lyon 25 octobre 2011 17:46

    La part des emprunts bancaire dans le financement des études universitaires américaines ne cesse de diminuer, les prêts sont remplacés par des dons pur et simple (grants).


    C’est déjà le cas pour les universités les plus prestigieuses (et les plus riches). D’ailleurs la plus grande partie des donations volontaires reçues par les universités de la part de leurs anciens élèves entrés dans la vie active, qui s’élèvent à des dizaines de milliards de dollars par an, sont consacrées au financement des études des étudiants les plus pauvres.

    Mais il y a une contrepartie qui est que les universités ne reçoivent en leur sein que les étudiants les plus brillants qui méritent vraiment de faire des études universitaires, les dossiers scolaires sont épluchés à la loupe lors de la sélection des candidats.

    Il faut noter à ce propos que l’épluchage des dossiers des candidats se fait toujours sans prendre en considération les revenus de l’étudiant ou ceux de sa famille, étant entendu que si vous êtes admis vous bénéficierez toujours d’une aide suffisante, si besoin est, pour pouvoir compléter votre cycle d’étude (quatre ans pour les bachelors (licence) et plus pour les masters (doctorat) et les post docs).

    Et cette aide est de plus en plus rassemblées sous forme de dons.

    Le système américain est donc beaucoup plus juste que le système français qui est quasiment gratuit, même pour les riches, et qui admet n’importe quel bachelier, même à moitié analphabète, dont la moitié abandonneront leurs études en cours de route après avoir coûté cher à la collectivité et aux contribuables, qui payent des impôts sous peine d’amende en cas de défaut de paiement !
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