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Giuseppe di Bella di Santa Sofia

Giuseppe di Bella di Santa Sofia

L’auteur, universitaire et historien de formation, s’intéresse à de nombreux domaines et écrit sous sa véritable identité. Ses écrits et ses engagements témoignent d’une volonté de défendre les valeurs qui lui sont chères. Issu d'une ancienne famille de la noblesse italienne, il est conseiller honoraire du secrétariat privé de feu S.M. le roi Norodom Sihanouk du Cambodge (Décret royal NS/KRT/0396/14 du 6 mars 1996), grande figure de l'histoire du XXe siècle. En janvier 1998, le souverain khmer lui a remis l'ordre royal du Sahametreila plus haute distinction honorifique attribuée à des personnes étrangères ayant rendu des services exceptionnels au roi ou au peuple cambodgien.
 
Récipiendaire de nombreuses décorations étrangères et ordres dynastiques, il est également officier de l'ordre du Mérite national de la République du Sénégal, chevalier de justice de l'ordre militaire et hospitalier de Saint-Lazare de Jérusalem ou encore chevalier commandeur de l'ordre patriarcal de la Sainte-Croix de Jérusalem, entre autres.

Tableau de bord

  • Premier article le 02/07/2012
  • Modérateur depuis le 02/08/2012
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Derniers commentaires



  • @tonimarus45

    Vous ne voyez que ce qui vous arrange... C’est comme Poutine, il voit des nazis partout sauf lorsqu’ils sont dans son propre pays et que ça lui est bien utile !



  • @tonimarus45

    Et l’agression de l’Ukraine par le régime totalitaire de Poutine, votre idôle, C’EST MAINTENANT AUSSI !



  • Bonjour @Jean Dugenêt,


    Merci pour votre commentaire éclairant et pour cette analyse fouillée qui enrichit le débat autour de mon article. Je partage pleinement votre point de vue sur le silence assourdissant qui a entouré la deuxième guerre de Tchétchénie, un conflit d’une brutalité extrême dont les cicatrices, comme vous le soulignez, sont loin d’être effacées, malgré la propagande de reconstruction de Grozny ou le ralliement affiché de certains Tchétchènes à la Russie. Votre remarque sur la fracture persistante entre la Russie et les Tchétchènes est cruciale et mérite d’être davantage mise en lumière.

    Votre point sur le contexte international de l’époque est particulièrement pertinent. L’idée d’une collaboration tacite entre les États-Unis et la Russie, sous le prétexte de la « lutte contre le terrorisme », éclaire en effet le silence complice autour des exactions en Tchétchénie. Le sommet de Rome de 2002, que vous citez, illustre parfaitement cette convergence d’intérêts momentanée, où la rhétorique antiterroriste a servi à justifier des politiques brutales tout en occultant les souffrances civiles. Cela fait écho à la manière dont certains conflits, comme celui de Gaza, peuvent être instrumentalisés ou minimisés selon les agendas géopolitiques.

    Je rejoins également votre critique du mythe d’une OTAN systématiquement agressive, propagé par Poutine pour servir son narratif. Votre référence au refus d’adhésion de certains pays d’Europe de l’Est à l’OTAN à l’époque est un argument solide pour déconstruire cette vision manichéenne. De la même manière, blâmer uniquement l’OTAN pour tous les conflits, comme certains le font, ignore les responsabilités d’autres acteurs, y compris la Russie autoritaire de Poutine, dont les agissements en Tchétchénie ou en Ukraine parlent d’eux-mêmes.

    Les similitudes entre la Tchétchénie et Gaza résident précisément dans ces dynamiques : des civils pris en otage par des jeux de pouvoir géopolitiques, des narratifs simplistes qui masquent les responsabilités multiples, et une couverture médiatique souvent biaisée ou sélective.

    Merci encore pour votre contribution, qui met en lumière ces enjeux avec une grande clarté.

    Giuseppe



  • @Seth

    Mon article met en lumière les similitudes dans la tragédie des pertes civiles en Tchétchénie et à Gaza, deux conflits où les populations locales subissent des violences extrêmes dans des contextes géopolitiques complexes. Réduire Gaza à une simple opposition entre « autochtones » et « envahisseurs » ou attribuer tous les maux à l’OTAN est une simplification qui occulte les responsabilités multiples, y compris celles des acteurs locaux et internationaux.

    Quant à la Russie de Poutine, son régime autoritaire, responsable de la dévastation en Tchétchénie et d’interventions brutales ailleurs, est loin d’être un modèle d’innocence. Cessons de chercher un seul coupable et concentrons-nous sur le sort des civils, qui reste le cœur de mon propos.


  • @Seth

    Les similitudes entre le conflit en Tchétchénie et Gaza sont frappantes. Deux pays agressés par des attaques terroristes qui répliquent très rapidement, avec des bombardements indiscriminés sur des cibles géographiques où il y a une forte concentration de civils : Grozny pour la Russie, Gaza pour Israël. 

    Les conflits que vous citez, bien que tragiques, ne partagent aucune similitude avec ceux de Tchétchénie ou de Gaza.

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