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Giuseppe di Bella di Santa Sofia

Giuseppe di Bella di Santa Sofia

L’auteur, universitaire et historien de formation, s’intéresse à de nombreux domaines et écrit sous sa véritable identité. Ses écrits et ses engagements témoignent d’une volonté de défendre les valeurs qui lui sont chères. Issu d'une ancienne famille de la noblesse italienne, il est conseiller honoraire du secrétariat privé de feu S.M. le roi Norodom Sihanouk du Cambodge (Décret royal NS/KRT/0396/14 du 6 mars 1996), grande figure de l'histoire du XXe siècle. En janvier 1998, le souverain khmer lui a remis l'ordre royal du Sahametreila plus haute distinction honorifique attribuée à des personnes étrangères ayant rendu des services exceptionnels au roi ou au peuple cambodgien.
 
Récipiendaire de nombreuses décorations étrangères et ordres dynastiques, il est également officier de l'ordre du Mérite national de la République du Sénégal, chevalier de justice de l'ordre militaire et hospitalier de Saint-Lazare de Jérusalem ou encore chevalier commandeur de l'ordre patriarcal de la Sainte-Croix de Jérusalem, entre autres.

Tableau de bord

  • Premier article le 02/07/2012
  • Modérateur depuis le 02/08/2012
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
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1 mois 25 297 1365
5 jours 4 92 239
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
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1 mois 205 102 103
5 jours 37 16 21

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Je tiens à remercier l’auteur pour sa verve son excellent article !

    Les commentaires que je viens de lire démontrent qu’il a visé juste et frappé là où ça fait mal. J’avoue que c’est très réjouissant. Je me livre régulièrement à cet exercice, parfois uniquement par pure provocation.



  • @Seth

    Ca fait du bien, de temps en temps, de vider son sac. Les gens ne comprennent pas que je combats uniquement des idées. Je peux me prendre la tête avec quelqu’un sur un sujet et puis dialoguer sereinement avec lui sur un autre. 

    Effectivement, le chevalier de Saint-Georges est plus connu des FM que des amateurs de grandes musiques. Mais il avait un certain talent. Après, les goûts et les couleurs...

    Je viens de me rendre compte que j’ai oublié de publier une ou deux vidéos de sa musique. Ce n’est pas bien grave. Il y a bien des auteurs qui dissertent sur les paroles d’une chanson, sans en mettre un seul exemple sonore...



  • Mes détracteurs, les gauchistes, les poutinolâtres, les antisémites et les homophobes sont venus déposer leur petite étoile, comme un chien qui fait sa petite crotte ? Ils sont contents, hein ? Tant mieux, si ça peut les soulager !

    En réalité, je me moque totalement des étoiles qui sont loin d’être un gage d’appréciation générale et de qualité. Plusieurs milliers de lecteurs satisfaits pour la plupart de mes articles, quelques dizaines de commentaires haineux et d’étoiles rageuses. Quelques aigris qui tuent le temps comme ils peuvent... Je plains ces gens-là !



  • Ettore, je viens de répondre à notre ami. Je suis assez d’accord avec lui. J’ai évoqué ce que ma nonna Maria me racontait. J’adorais l’entendre parler du passé. C’était une femme formidable.

    Mussolini a relevé l’Italie. Il a fait beaucoup pour les ouvriers et les paysans qui, avant son arrivée au pouvoir, n’avait rien à mettre dans leurs assiettes. Les Italiens n’avaient aucun problème avec les Juifs, qui était très bien intégrés. D’ailleurs, ils furent nombreux à rejoindre le parti fasciste italien.

    Je partage votre avis sur le reste. Ce qu’on peut reprocher à Mussolini c’est, effectivement, de s’être rapproché d’un peu trop près d’un petit hystérique moustachu, pour des raisons pragmatiques. Tout ça pour obtenir l’Ethiopie et l’Albanie, dans le but de restaurer un Empire, comme au temps des Romains ! 

    Comme je l’ai dit dans mon commentaire à notre ami, le seul moment où ma grand-mère a eu peur, c’était lors du débarquement allié en Sicile. Elle a été cachée par sa famille et des amis, afin de ne pas être violée  voire même tuée  par les goumiers marocains envoyés par la France. Les fameuses « Maroquinades »...

    Je partage également votre avis sur Al Capone et d’autres Italiens qui ont donné du fils à retordre aux Yankees...

    Vous et moi avons des origines italiennes. On sait ce qu’est le sens de l’honneur. Nous avons parfois un sale caractère et nous sommes têtus mais, finalement, on peut dire que nous ne sommes pas méchants. Italiani, brava gente...



  • @Et hop !

    Votre commentaire est vraiment intéressant et nuancé ! Vous mettez le doigt sur une réalité : Mussolini, en réprimant des opposants comme Gramsci ou Matteotti, a voulu juguler la violence révolutionnaire socialiste, qui, comme en Espagne, a produit des horreurs. Orwell en témoigne à Barcelone.

    Votre parallèle avec Lénine est pertinent : les socialistes ont souvent justifié leurs massacres par la nécessité, et Mussolini, pour beaucoup d’Italiens, a incarné un retour à l’ordre après le chaos post-1918, avec des avancées.

    Votre comparaison avec la République française, qui a aussi réprimé durement éclaire bien les ambiguïtés de l’époque. Cela dit, le fascisme, avec sa censure et ses milices squadristi, a tout de même muselé les libertés, un coût que certains Italiens ont payé cher.

    Ma grand-mère paternelle, née dans les années 1920 en Italie, n’était pas une faciste zélée. Elle n’était pas antisémite car, en Sicile, elle n’avait jamais rencontré de Juifs. Ou alors elle l’ignorait qu’ils l’étaient. Les Juifs étaient très bien intégrés en Italie. Le premier chef d’un gouvernement européen ouvertement juif, non converti, est italien : il a gouverné au début du XXe siècle, alors que l’antisémitisme politique était à son apogée. Pourtant, elle m’a toujours dit qu’elle éprouvait de la gratitude pour Mussolini. Il avait redonné de l’espoir à tout un peuple. Elle est décédée, presque centenaire, il y a peu de temps.

    Ma nonna Maria m’a raconté qu’elle a vécu son pire moment de la Seconde Guerre mondiale lors de l’invastion de la Sicile par les Alliés, en 1943. Jeune femme séduisante, elle a été cachée par sa famille et des amis afin de ne pas être violée  voire même tuée  par les goumiers marocains envoyés par la France. Cet épisode tragique, peu connu et tabou de l’histoire est connu sous le nom de « Maroquinades ». 
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