Jason

L’abeille domestique Apicula Mellifera constitue une toute petite partie du monde des abeilles qui se chiffre par dizaines d’espèces. En répandant les produits toxiques dont il est question, toutes les abeilles sont affectées (domestiques et sauvages) et on met en danger la pollinisation des plantes dans leur ensemble.

C’est donc une partie des agriculteurs qui s’opposent aux arboriculteurs et planteurs divers.

Aux USA, on a résolu le problème avec un système que j’appellerai « Rent a bee », louez une abeille. Cela consiste à amener par camions entiers des centaines de ruchers pour polliniser une plantation, surtout en Californie. Dans ce pays, rien n’échappe au commerce. Louer des abeilles, il fallait y penser... Pour le reste, vous devinerez ce que je pense de ce pays !

Quant aux arguments de Véronique, plus haut, c’est du grand n’importe quoi !

@C’est Nabum

Merci pour le lien. Très bon.

Je préfère le Trou Vert, comme « C’est un trou de verdure où coule une rivière..., etc... », tiré de Rimbaud, Le dormeur du val. Cité de mémoire.

@Marc Dugois

« on a inventé le RSA et autres aides à la survie « , d’accord, mais ceux qui reçoivent le RSA participent à la consommation, donc au sacro-saint PIB. La boucle est bouclée et la richesse est en constant rebondissement. Sa course s’achève quand elle est consommée. L’invention du PIB ne fournit qu’une approximation purement quantitative, faute de mieux, et ne mesure que des flux. Le PIB n’est qu’une invention macroéconomique et qui fonctionne mal.

Il existerait plusieurs richesses, la richesse dynamique illustrée par le PIB, et la richesse statique, telle l’épargne, l’immobilier, les infrastructures, et enfin tout ce qui ne reçoit pas d’unité de compte tels les glaciers, les forêts, les océans, bref, tout ce qui n’entre pas dans le cycle marchand dynamique. Il suffit à quelqu’un de mettre un prix, une étiquette sur un objet pour le faire entrer dans le cycle marchand, sur le marché. Lequel marché peut le rejeter.

« La richesse n’est définitivement que subjective, qu’un regard dépendant de la civilisation, de l’individu, du lieu et du moment ».

Pour la richesse subjective, elle se manifeste souvent de façon ostentatoire, avec des effets de pouvoir et d’influence. Subjective, mais aux effets bien réels.

@xana

C’est l’époque des ragots sociaux et du tout à l’égo. On se demande où ça finira, mon bon Monsieur.