Krokodilo

Une blague sur la Shoah ? Oui, ça existe.

Quatre personnes se disputent la paternité de l’anniversaire d’Auschwitz.

Le juif dit : c’est nous les victimes, c’est notre fête ! 

Le Polonais : on a fourni le terrain, on l’a construit, c’est notre fête !

L’Allemand : on a fourni le personnel, c’est notre idée, c’est notre fête !

Le russe commence à parler. « On est venus et on... » et les trois autres lui coupent la parole en protestant : oui, vous, vous avez gâché la fête !

Poussez votre raisonnement jusqu’au bout, et vous aboutissez au délit de blasphème ! Sur lequel d’ailleurs, les radicaux de plusieurs religions s’accordent... Et à la fin des caricatures et du dessin de presse.

@Seth Rien n’est blanc ou noir, ces ex ont même le droit d’écrire leurs mémoires, à condition de les faire viser avant publication ! Le plus souvent, ils ne révèlent rien de compromettant. Il y a très longtemps, je me souviens avoir lu les mémoires d’un ex du MI5, qui avait dû s’exiler en Australie pour publier, n’ayant pas eu l’autorisation. C’est peut-être Spy catcher, suis pas sûr.
Les relations personnelles, les services rendus, tout ça doit influer, d’autant plus lorsque la personne garde une activité d’analyste et publie.
Dans un des vieux John Le carré, Smiley se retrouve, une fois à la retraite, embringué dans une grosse opération, alors qu’il enseignait justement qu’il fallait tout lâcher !
Pour sa « carrière assez curieuse », je ne suis pas au courant et je ne sais ce que vous sous-entendez.

Nous sommes le seul pays européen à posséder la dissuasion nucléaire, et dans ses trois composantes, ce qui coûte très cher. Aucune raison de saigner notre économie à cause d’une augmentation brutale décidée par les USA, qui ne voient, comme toujours, que leurs propres intérêts, et usent de menaces et de chantage.

@Seth Certes, mais compte-tenu de sa carrière et de ses multiples interventions comme expert sur diverses chaînes d’info, surtout avant le conflit ukrainien..., et de son site, l’absence d’article dans les médias « mainstream » interpelle, comme on dit.