• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Brutus

Brutus

ne mord pas mais aboie pour alerter d'une menace

Tableau de bord

  • Premier article le 29/11/2022
  • Modérateur depuis le 12/12/2022
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 50 4394 2154
1 mois 0 268 0
5 jours 0 53 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 25 24 1
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Brutus paparazzo 22 décembre 2022 20:40

    @Seth
    Vous pouvez vous rabattre sur les oies, ce n’est pas ce qui manque



  • Brutus paparazzo 22 décembre 2022 18:50

    @Clocel

    ... et la pintade ? pour les électeurs du Poitou ?



  • Brutus paparazzo 22 décembre 2022 18:39

    @Seth

    ou « le corbeau et le renard » :
    « Qu’est-ce qu’un arbre perché. » (Jean-Jacques Rousseau 1762 « Emile ou de l’éducation »)



  • Brutus paparazzo 22 décembre 2022 17:37

    @Francis, agnotologue

    Que nenni !

    Point de faute il n’y a.

    Puisque vvous vous référez à la grammaire normative dont on peut discuter l’autorité mais qui a son charme, voyons ce que dit l’Académie Française au sujet de la concordance des temps :


    "Dans La Pensée et la Langue, Ferdinand Brunot écrit : « Ce n’est pas le temps principal qui amène le temps de la subordonnée, c’est le sens. Le chapitre de la concordance des temps se résume en une ligne : il n’y en a pas. »

    Le propos est lapidaire et tranchant, mais notre héritage latin comme l’usage conduisent à le nuancer quelque peu. Rappelons donc qu’en français, quand le verbe de la principale est à un temps du passé, il est de meilleure langue que celui de la subordonnée le soit aussi.

    On dira ainsi il disait qu’il viendrait (viendrait est ici un futur dans le passé et non un conditionnel) et non il disait qu’il viendra. Cela étant, quand le verbe de la principale est au passé composé, cet usage peut n’être pas respecté si l’on souhaite rapporter plus précisément les propos prononcés. Signalons enfin que les arrêtés de 1901 et 1976 autorisent, le premier, l’emploi du subjonctif présent dans une subordonnée après un verbe au conditionnel, le second, l’emploi du subjonctif présent après un verbe au passé dans la principale : on peut donc dire je voudrais qu’il vienne, je voulais qu’il vienne, mais qu’il vînt reste de meilleure langue. "


    Dans la phrase incriminée, les verbes de la principale et de la subordonnée sont tous les deux au passé, et l’honneur de Boileau est sauf.



  • Brutus paparazzo 22 décembre 2022 14:28

    "Les poules étaient sorties dès qu’on avait ouvert la porte."

    ou

    "Les poules étaient sorties. Des cons avaient ouvert la porte."


    Comme vous le dîtes très justement, "cest là que l’on comprend toute l’importance de la ponctuation" !

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv