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Pierre R. Chantelois

Pierre R. Chantelois

Après avoir oeuvré une dizaine d’années dans le secteur privé des communications (radio-télévision), je me suis orienté vers le secteur de la Fonction publique du Canada et du Québec du 1970 à 2005. J’ai occupé des fonctions de conseil, de gestion et d’analyste. Je me suis particulièrement intéressé à la télédiffusion des débats parlementaires, aux services en ligne gouvernementaux et aux communications stratégiques gouvernementales. J’ai touché au domaine des relations internationales et du développement international au sein du gouvernement du Canada et auprès d’une importante université francophone du Québec. J’ai oeuvré enfin auprès d’une société internationale d’informatique à titre d’analyste-conseil avant de prendre ma retraite en 2006.

Tableau de bord

  • Premier article le 18/01/2007
  • Modérateur depuis le 07/02/2007
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Derniers commentaires



  • Pierre R. Chantelois Pierre R. - Montréal 15 février 2007 13:09

    Je vis de ce côté-ci de l’Amérique. Jusqu’à cette année, il ne nous était pas nécessaire d’avoir un passeport pour aller visiter nos amis les américains. Maintenant, tout cela, c’est du passé. Le passeport est obligatoire. Pour ma part, je ne vais plus aux États-Unis depuis 2001.

    La vie privée ? Ses droits ? Les États-Unis, et malheureusement la population elle-même face à son impuissance à juguler les abus du pouvoir, ont relégué tout cela aux oubliettes.

    J’imagine que le jour où le tourisme va décroître à une vitesse affolante, il y aura une autorité assez sage pour revoir en profondeur tous ces abus et ramener les États-Unis dans ce qu’ils avaient de meilleur : la démocratie et les droits humains.

    Pierre R.

    Montréal (Québec)



  • Pierre R. Chantelois Pierre R. - Montréal 15 février 2007 12:51

    Cette décision risque de se retourner contre l’État. Toute interdiction est contournable, et certains citoyens s’en font un malin plaisir de le prouver. Le fruit défendu est plus tentant, nous rappelle une vieille histoire. J’ai beaucoup de difficultés avec tous ces interdits qu’il faudrait compiler dans un petit livre rouge (ou bleu) pour conserver dans sa poche, en cas d’oubli. L’État par ces lois de prohibition risque de s’aliéner les jeunes qui n’y verront qu’une conséquence d’une génération rétrograde et sans vision.

    Pierre R.

    Montréal (Québec)



  • Pierre R. Chantelois Pierre R. - Montréal 15 février 2007 12:44

    Eh bien oui. Vérité et mensonge, que cela. Il nous faut, nous, départager la vérité du faux, et le faux de la vérité. Quadrature du cercle, encore une fois. Cela me rappelle un peu ce film d’Orson Wells sur l’histoire d’un peintre qui bâtissait son oeuvre sur du faux... (de la copie).

    Pierre R.



  • Pierre R. Chantelois Pierre R. - Montréal 15 février 2007 12:35

    D’un côté, les politiques s’agitent aux États-Unis : Hillary Clinton, sénatrice démocrate et candidate à la présidence américaine, a déclaré cette semaine que George Bush n’avait pas de droit de frapper l’Iran sans autorisation du congrès. « Si l’administration juge nécessaire d’employer la force contre l’Iran, le président doit en demander l’autorisation au congrès », a déclaré Hillary Clinton. « Aucune action ne peut et ne doit être entreprise sans autorisation nettement formulée par le congrès » , a-t-elle fait remarquer, en soulignant qu’elle était préoccupée par les déclarations de la Maison Blanche sur l’implication des dirigeants iraniens dans les actes terroristes commis contre les troupes américaines en Irak et sur l’envoi par l’administration Bush d’un troisième porte-avions dans le golfe Persique. « L’administration ferait une erreur historique en estimant que la résolution de 2002 sur l’utilisation des troupes en Irak lui permet d’employer la force contre l’Iran sans demander un nouvel aval du congrès » , a déclaré la candidate à la présidence américaine, en prévenant George Bush que, pour frapper l’Iran, il ne peut pas en appeler à la résolution adoptée par le congrès américain en 2001 autorisant l’utilisation des forces armées américaines en vue de défendre le pays en raison des attentats du 11 septembre 2001.

    De l’autre, les ex-politiques avisent : la Maison Blanche chercherait à provoquer un conflit armé avec Téhéran. C’est ce qu’a déclaré à Washington l’ex-conseillère du président George W. Bush, Hillary Mann. « Ils (l’administration américaine) multiplient les provocations contre les Iraniens en attendant que Téhéran finisse par répondre, ce qui permettra aux États-Unis de porter des frappes ponctuelles sur l’Iran et de détruire les cibles que nous estimons importantes », a affirmé sur CNN cette ancienne directrice pour l’Iran et les pays du Golfe persique au Conseil de sécurité nationale américain (avant 2004). Washington cherche « un prétexte pour frapper les sites nucléaires et détruire plusieurs bâtiments en Iran, par exemple l’état-major de la Garde révolutionnaire et d’autres centres du pouvoir gouvernemental », a indiqué Mme Mann. « Confrontée à des difficultés en Irak, la Maison Blanche comprend qu’il sera impossible de démocratiser le Proche-Orient et d’y instaurer la paix et la stabilité tant qu’un gouvernement théocratique restera au pouvoir en Iran », a-t-elle ajouté.

    Du côté de la Russie, on joue les sages : la Russie va soutenir une telle résolution du Conseil de sécurité de l’ONU sur l’Iran qui contribue au lancement du processus de négociations, a déclaré devant les journalistes le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov. « Des résolutions et des sanctions, ce n’est pas ce qui doit monopoliser notre attention à l’heure actuelle. Nous devons nous concentrer plutôt sur la recherche d’une issue de l’impasse actuelle et sur la création des conditions indispensables au lancement des négociations », a souligné le chef de la diplomatie russe. « Si une nouvelle résolution du Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations Unies sur l’Iran contribue au lancement des négociations, nous allons l’apprécier et l’appuyer, si une solution non-standard est nécessaire pour que les négociations démarrent finalement, nous allons intervenir énergiquement en faveur d’une telle solution », a ajouté le ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie.

    Pierre R.



  • Pierre R. Chantelois Pierre R. - Montréal 15 février 2007 12:26

    En observateur étranger, j’interviens pour la première fois dans un débat sur la campagne présidentielle, avec beaucoup de crainte et de circonspection.

    Je m’interroge sur le point suivant : eût-il mieux valu pour madame Ségolène Royal de ne pas mettre de l’avant ses consultations régionales et de présenter un programme de son cru, ou a-t-elle été bien avisée de consulter les régions et de présenter un programme issu des résultats de ces consultations ? Quadrature du cercle.

    Pour sa part, monsieur Sarkozy a-t-il consulté les régions et a-t-il été bien avisé de s’en abstenir (si tant est qu’il ne les a pas consultées), ou aurait-il dû au contraire fonder son programme sur une consultation plus large de la population ?

    Si je comprends bien, l’une promeut les idées des régions ou l’autre promeut un programme plus personnel.

    Allez comprendre.

    Pierre R.

    Montréal (Québec)

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