« LA THÉORIE DE « L’UNIVERS- OMBRE » Avant de présenter les avantages
liées à cette théorie de l’anti-monde, revenons en détail sur ce
concept. Devant certaines aberrations de l’Univers, certains
scientifiques ont émis l’hypothèse d’un second univers à côté du nôtre,
mais invisible et indétectable. Terre et anti-Terre serait
indissociablement liés, comme le Yin et le Yang ; l’univers-ombre
posséderait en revanche certaines caractéristiques inversés comme un
miroir. Ainsi dans l’anti-monde, la flèche du Temps est inversée,
c’est-à-dire que le temps s’écoule du futur vers le passé ! Si sur Terre
nous passons de la naissance à l’enfance, puis à l’âge adulte jusqu’à
la mort, les créatures de l’Anti-Terre naissent adultes puis
rajeunissent jusqu’à devenir néant... En fait, la principale différence
entre les 2 univers serait une question de dimension : l’Homme est une
créature en 3 dimensions, tandis que l’anti-homme évolue dans un monde
en 4 dimensions, ce qui lui permet des immersions dans notre réalité en
3D. OVNI : UN SAS POUR ACCÉDER À L’ANTI-TERRE ! On associe
majoritairement l’OVNI à un objet technologique doté de performances
incroyables, capable de parcourir des milliards de kilomètres à une
vitesse supersonique. Mais ces « engins » que nous apercevons dans le
ciel ne seraient-ils pas plutôt autant de portes de passage vers
l’anti-monde ? Les vaisseaux observés sont majoritairement
silencieux, tout au plus émettent-ils un léger bourdonnement : est-ce
parce que la 4ème dimension est gouvernée par le silence ? Les
observations d’entités extraterrestres et d’OVNI résulteraient donc de
ce passage de créatures venues de l’anti-monde dans notre monde en 3
dimensions. Des apparitions brusques, parfois instantanées, comme «
venues du néant ». Tout comme dans la série « Stargate », une porte
dimensionnelle expliquerait donc qu’un OVNI soit visible à un endroit
où, la seconde d’avant, il n’y avait rien... Idem pour la disparition de
l’entité ou du vaisseau, souvent comparée « à une ampoule électrique
qu’on éteint ». Ce passage invisible entre Terre et anti-Terre fournit
ainsi un excellent argument pour expliquer la soudaineté des rencontres
OVNI. Cette théorie pourrait également apporter des clés pour
comprendre l’étrangeté de certains contacts rapprochés, où les entités
sont parfois décrites avec des caractéristiques frôlant l’absurde :
apparence démesurée, parfois fragmentée, particularités physiques
dérangeantes (bras immenses, pas de jambes, absence de bouche et
d’appareil génital, invisibilité...) ; si les extraterrestres nous
parviennent directement d’un anti-monde en 4 dimensions, il est alors
logique que le cerveau, habitué à capter des informations en 3
dimensions, soit incapable de comprendre ce que l’oeil du témoin perçoit
en apercevant une entité de ce genre... PARADOXE TEMPOREL : LE FACTEUR 144 Mais
en cas de contact rapproché, c’est parfois le témoin qui bascule dans
une autre réalité, celle de l’anti-Terre ! Les personnes ayant vécu un
enlèvement OVNI se retrouvent alors immergée dans cette nouvelle
dimension où la flèche du temps est inversée... Une caractéristique
importante, puisqu’elle explique facilement les phénomènes de «
missing-time », à savoir ces « tranches de temps » qui semblent s’être
évanouies dans le néant. L’auteur prend l’exemple d’un jeune homme
qui, au mois de juillet 1961, affirme avoir passé 3 heures dans un
vaisseau extraterrestre, avant de se faire déposer au même endroit. Mais
lorsqu’il revint sur Terre, 18 jours s’étaient en réalité écoulés et la
police avait presque perdu espoir de le retrouver un jour ! Pourtant,
malgré ces supposés 18 jours de « fugue », le jeune homme n’avait pas
pris un poil de barbe et la fleur à sa boutonnière n’était pas fanée... Après
un rapide calcul, on peut en déduire qu’une seconde passée dans
l’anti-monde équivaut à 144 secondes soit un peu plus de 2 minutes dans
notre réalité temporelle. Les phénomènes de missing-time peuvent donc
être expliqués par des observations rapprochées incluant un passage dans
la réalité de l’anti-monde. Le témoin a le sentiment de n’avoir observé
un engin ou une entité que durant quelques secondes ou quelques minutes
; une fois ramené dans sa réalité en 3D, il onstate que des dizaines de
minutes se sont écoulées, comme si une portion de temps s’était
évaporée ! En théorie, si vous décidiez de passer une année entière
dans l’anti-monde, vous reviendriez sur Terre plus vieux de... 144 ans,
autant dire mort ! A l’inverse, les entités qui effectuent de brefs
passages dans notre monde en 3D repartent plus jeunes dans l’anti-monde !
Une question nous vient alors à l’esprit : est ce que les habitants de
l’anti-monde viennent nous visiter dans le simple but de « récupérer »
de l’espérance de vie supplémentaire ? »
Ouf momovenis est partie se couché, il a remballer ses petits gris.
« L’intensification du phénomène ovni est un signe de l’incarnation
imminente d’Ahriman.. Les ovnis et les
soi-disant extraterrestres sont des élémentaux déchus (gnomes, sylphes,
nymphes et fées). Ils un corps éthérique et astral mais leur volonté est
entièrement dirigée par des hiérarchies angéliques déchues. Ahriman
matérialise l’éthérique, causant ainsi la chute d’un grand nombre
d’élémentaux dans les couches souterraines de la Terre, dans la
sous-nature, constituée des forces éthériques déchues. Ce ne sont donc
pas des extraterrestres mais des intraterrestres. Les petits Gris à
grosse tête et aux yeux ovoïdes savent manier l’éther lumière déchu,
l’électricité, le reflet de l’activité astrale de Lucifer. Les grands
reptiliens maîtrisent l’éthérique via l’électromagnétisme,
l’éther-chimique-sonore déchu, comme leur chef Ahriman. Les insectoïdes
manipulent l’éther-vie déchu, les forces physiques atomisantes, et
correspondent aux Asuras, dont l’activité collective constitue la Bête.
Les élémentaux déchus cherchent à se matérialiser pour échapper à
l’implosion de leur race. Ils enlèvent des humains pour voler les forces
éthériques liées aux organes reproducteurs, placer des implants
agissant (par électromagnétisme) dans le système nerveux et sensoriel
des victimes, et pour se nourrir des forces de l’âme, qu’ils n’ont
presque pas développées. Ils sont de même nature que le double et
collaborent avec lui. Séduits par Ahriman, qui tente de nous entraîner
dans la sous-nature, ils veulent s’emparer de la Terre et faire de nous
leurs esclaves au lieu de suivre leur destin d’humains du futur. Si un
nombre grandissant d’élémentaux choit dans la sous-nature et se retourne
contre nous, c’est par notre faute, parce que l’égoïsme des
technologies les fait choir et les « coince » dans la machine, dans la
sous-nature.
Les
enlèvements et les apparitions de soi-disant extraterrestres arrivent
généralement dans un état de conscience crépusculaire, le plus souvent
entre l’état de veille et d’endormissement ou carrément en rêve. Ils
deviennent visibles dans les zones liminales de la conscience et dans
les frontières entre deux mondes, entre le jour et la nuit, enter l’état
de veille et le sommeil, à des carrefours, entre la ville et la
campagne, etc. Leur affinité avec l’état de conscience crépusculaire
humain montre leur relation avec la clairvoyance atavique (liée aux
phénomènes crépusculaires de la conscience). Leur lien avec la huitième
sphère est évident quand on considère leur rapport avec les phénomènes
ataviques médiumnité, spiritisme, remote viewing ou double vue,
apparitions, magie cérémonielle, hypnose régressive, semi-hypnose, ondes
thêta et projection astrale, fatigue aiguë et hallucinations, visions
(de catastrophes par exemple, projetées par des groupes élémentaux qui
veulent recruter des gens pour sauver la planète, pour leur propre
agenda différent du nôtre), etc. en apparaissant à nous, et parce qu’on
ne sait pas trop quoi en penser, ils nous fascinent et cette fascination
leur donne la force de manifester la réalité qu’ils veulent manifester :
il fabriquent des mondes dans nos têtes, comme le fait Ahriman. On
reconnaît ici la nature spectrale, hallucinatoire et éminemment
illusoire de la huitième sphère.
Les soi-disant “extraterrestres”
s’arrogent le développement de l’eugénisme occulte en étudiant le
clonage et la génétique en volant la force vitale des organes génitaux
d’humains enlevés. En analysant soigneusement la matière et les forces
formatrices du corps humain, les soi-disant extraterrestres cherchent
les « blocs de construction » (ce ne sont pas des « atomes ») qui leur
permettront de se préserver et de créer leur propre planète, la huitième
sphère »
un homme avertie en vos deux ! Volontairement j’ai ôter toute référence, et réponse pour lutté contre cela, tant qu’il n’aura pas de question, et de sérieur à voir les chose sous son vrais jour !
Je comprend pourquoi le trou noir est ici, je viens de faire un tour sur son article, momo ce fait remonté les brettelles comme un collégien prit le doigt en trains de se curé le nez.
Ici il peut joué à la terreur de la récré, là bas sur son article, c’est la douche écossaise, mais à force, cela va devenir aussi le cas ici, gros jaloux du succès d’olivier.
Morice puisque tu en connais un rayon pourquoi ne tu te lancerais tu pas dans un article exhaustif sur la question ovnis. Genre Urbit Et Orbit sur les scientifiques qui ne cède pas à la mode ufologue, bien sur si tu n’as pas peur de t’attire les inévitables petits gris ?
@ Pyrathome, il ne faut pas oublier avec un bon logiciel d’ infographie, couplé avec un canon à micro onde , on fait des merveille dans le dessins fractals.
Comme par hasard les premier cercle de blé sont apparue dans le sud de l’Angleterre tous près d’une grande basse Arienne.
«
A partir du milieu des années 1970s sont remarqués dans des champs du Hampshire, le Wiltshire et régions avoisinantes d’Angleterre d’étranges « ronds dans les blés », que certains interprêtent vite comme des traces d’atterrissage de soucoupes volantes.
Baptisés, crop circles (pour « cercles de cultures » mais aussi « cercles concentriques »), ces « agroglyphes »
vont apparaître de plus en plus souvent, sous des formes de plus en plus grandes et complexes.
Une caractéristique d’un crop circle est une dépression circulaire
au sein d’un champ (de colza, orge, blé, avoine) où
les plantes elles-mêmes sont couchées à leur base (ou fréquemment
couchées à la jonction de leur noeud le plus bas) selon un motif
spiralé. La spirale peut varier dans sa construction, mais la plante
est généralement couchée à 90° par rapport au
blé resté droit alentours. Dans du blé très jeune
au début de la saison, un crop circle peut appaître « broussailleux »,
mais cela est du au blé récupérant en raison de son immaturité.
Il semble que leur création soit extrêmement rapide tout en étant
incroyablement précise. »
« ’hypothèse militaire Au regard de ce que nous venons de voir, on comprend que les pistes « humaine » et « naturelle » ne tiennent pas vraiment la route. Mais le débat a tout de même avancé. Il ne faut pas oublier qu’au début des années 80, des chercheurs évoquaient sérieusement la possibilité que des tornades, des hérissons ou des cerfs en rut aient pu tracer des géométries pythagoriciennes ! Depuis, d’autres théories ont gagné en crédibilité, à commencer par celle d’une technologie militaire, thèse partagée par de nombreux ufologues tels que Cristel Seval, Jean-Pierre Petit, Joël Mesnard ou Jacques Vallée. Car le sud de l’Angleterre n’est pas seulement la Terre des druides et des cromlechs, c’est aussi celle des bases militaires. Précisons d’emblée que les militaires anglais nient tout lien et tout intérêt pour le phénomène crop circle. Selon Nicolas Montigiani, auteur de Manoeuvres dans le ciel (Carnot), qui s’appuie sur des études en laboratoire, les cercles seraient produits par des microondes aéroportées. Testé sur des blés, ce système aurait produit les mêmes résultats : blé plié au premier noeud. Le système idéal se composerait d’un générateur de micro-ondes, donc, d’un GPS, d’un générateur de plusieurs gigawatts, le tout embarqué dans un avion, un ballon dirigeable ou un satellite... Selon l’hypothèse de Montigiani, cette technologie est déjà opérationnelle et les champs de blés seraient les terrains d’essais de ces armes d’un genre nouveau... Un scénario qui soulève là encore de multiples questions : pourquoi une telle créativité, pourquoi la géométrie sacrée ? Pourquoi ne pas tester ces armes sur tous les types de terrains au lieu de se cantonner aux champs de blés ? Com ment étaient produits les crops quand cette technologie n’existait pas ? Pourquoi la tester dans des pays hors coalition au risque d’en voir divulguer le secret ? Etc. D’autre part, de nombreuses vidéos montrent des courses poursuite assez pathétiques entre des hélicoptères de l’armée et les fameuses boules blanches virevoltant au-dessus des champs. Michael Hesemann cite dans son livre Messages, l’énigme des crop circles, le récit d’un témoin ayant vu le 18 juillet 2004 trois de ces fameuses boules brillantes évoluer à basse altitude au pied de la colline de Woodborough Hill avant que surgisse un hélicoptère militaire : « L’hélico avait dû repérer les objets. Il fit plusieurs fois le tour du champ en marquant un temps d’arrêt aux endroits où il avait vu les boules ».ces boules seraient des boules de plasma vortex d’origine humaine et proviendrait de satelite militaire... »