On va donc mettre fin à l’immigration en provenance du Maghreb et du Moyen-Orient, afin de privilégier une immigration économique en provenance de l’Europe de l’Est et d’Asie.
C’est à dire privilégier des populations qui sont capables :
1) De s’insérer dans un pays développé, et démocratique en respectant ses coûtumes et ses institutions.
2) De répondre aux besoins du marché du travail.
S’il est bien exact que la décolonisation est un échec, ce n’est pas à nous d’en payer le prix. S’il est bien exact que la civilisation arabe et que les structures tribales de l’Afrique Noire sont en faillite, il convient d’éviter que cette faillite matérielle, mais aussi morale et intellectuelle, dont on perçoit les echos de plus en plus nets dans les pitoyables interventions de nos amis musulmans sur ce forum, ne se transforme en déroute générale qui se traduirait :
par une remise en cause de nos institutions démocratiques et laïques,
par une régression dramatique de la condition des femmes,
par une faillite de notre système d’Education Nationale et de Sécurité Sociale,
par une résurgence de l’obscurantisme religieux,
et finalement, par un pillage de nos économies.
Car s’est bien de celà qu’il s’agit.
Or, la situation économique et politique au Maghreb et au Moyen-Orient ne risque pas de s’arranger, tout le monde sait qu’elle va même s’aggraver :
Démographie galopante
Epuisement progressif des rentes pétrolières, qui permettent, encore pour quelque temps, à certains pays de faire illusion et de payer, tant bien que mal, les importations de produits alimentaires leur évitant ainsi la famine pure et simple.
Crétinisation massive des masses sous l’effet de l’islamisme. Les masses arabes sont aujourd’hui moins aptes à s’insérer dans un pays développé comme le notre, qu’elle ne l’étaient au temps de la colonisation du fait de l’effondrement des structures d’éducation.
Et cette situation contrastera de plus en plus cruellement avec le développement phénoménal des pays d’Asie qui viennent nous rejoindre, à marche forçée, dans le monde développé.
Les causes de cette faillite devront être traitées sur place, il est probable que ce traitement exigera une mise sous tutelle internationale, selon des modalités à définir par l’ONU.
Mais ceci est une autre affaire.
Pour le moment, nous devons simplement constater que les populations des pays en état de banqueroute n’ont rien à apporter chez nous que leur misère et leur violence intrinsèque ou des haines ancestrales qui ne nous concernent pas, ainsi que, pour couronner le tout, les causes mêmes de leur misère : une religion qui les a infantilisé et des coutûmes sociales d’un autre age.
Il faut mettre un terme à tout ceci et respecter l’exaspération qui monte dans notre pays. Avant qu’il ne soit trop tard.