Mon cher Sawford tu élude (je suis d’avis pour que l’on se tutoie).
Je re-écri ton idée de départ
et bien l’univers/multivers ayant tout l’infini cyclique devant lui,
joue et rejoue éternellement la scène de tous les futurs possibles
concurrentiels, sans se lasser...
...jusqu’à trouver le juste milieu
Explique moi donc comment il fait pour savoir que c’est ce milieu qu’il cherche, qu’il veut sans y associer un quelconque déterminisme ?
Explique moi comment il passe en revue ’tous les futurs possibles« pour trouver le »juste milieu" sans risquer de repasser par des mêmes cycles, voir de s’y arrêter ?
Tu peux appliquer ton scénario à l’humain, mais prétendre qu’il en est ainsi pour l’Univers est la caractéristique de l’égo hypertrophié de l’humain moderne. Que l’on nomme aussi anthropocentrisme mais qu’il faudrait appeler hypertrophie anthropocentrique.
Ma critique ne parle pas de dualité mais porte uniquement sur la faiblesse de ton scénario.
Dans mon 1er commentaire en réaction à l’article, je prétend que la science cherche seulement à reproduire ce qu’il Est... Ppar résonance. La
science ne pose donc pas des questions existentielles premières, mais
secondaire. Car les réponses primaires aux question existentielle que sont « qu’est que la vie », « d’où vient elle », « comment se transforme t’elle » sont des questions de sens et non de la physique. Et là, si tu essaye tu ouvrira vraiment tes « shakras » !
Pour que tu comprenne un peu mieux mon point de vue sur la question, je prétend qu’en dessous de l’atome, ce que vous nommez le monde quantique, la réalité
se trouve dans le sens. En dessus, ce que vous nommez la physique
classique, le sens se re-trouve dans la réalité.
Qu’est ce que cela veut dire ? Qu’il est vain et autodestructeur de
rechercher la matière du sens, parce que c’est le sens qui conduit à la
matière et non l’inverse (la matière révèle le sens).
Et c’est ce petit détail qui t’échappe.