Merci de votre attention pour cet aspect de notre condition sociale, généralement ignoré, voire nié, alors que comme vous l’avez compris, la prolifération humaine frappe, structurellement, en premier lieu les plus pauvres.
Il est en effet établi par un calcul à la portée de tous, que sur 100 êtres humains qui naissent – et il s’en ajoute encore près de 230 000 quotidiennement à la population mondiale – 14 vont loger dans la partie supérieure de la pyramide sociale pour y partager la moitié de la richesse collective, alors que 86 vont grossir les rangs des pauvres, à qui il reste à se partager l’autre moitié.
Et ceci est d’autant plus abominable qu’une forte proportion de ces pauvres va occuper la base de la pyramide sociale, au plus près du niveau zéro – inamovible – de la richesse collective ; ce dont personne, pas davantage à gauche qu’à droite, ne semble conscient.
Il faut savoir, pour aller au bout de ce raisonnement, que si la richesse n’a pas d’autres limites que les ressources dont elle est tirée par ceux qui la convoitent, la pauvreté à la sienne, qui est précisément ce niveau zéro.
Je vous invite bien cordialement à approfondir la question en visitant mon blog (sans pub) https://pyramidologiesociale.blogspot.com/ et serais heureux de vous apporter toutes précisions pouvant vous être nécessaires.