Adosser le prix de l’électricité au prix du gaz est un choix idéologique inspiré par l’ultra-libéralisme.
Il favorise les grosses compagnies productrice et/ou distributrices, en épuisant économiquement à la fois les ménages et les PME, TPE.
L’inflation produite justifie la hausse des taux d’intérêt, ce qui accentue la crise en rendant les crédits très chers.
On a alors une double conséquence, inflation due à un mécanisme absurde et voulu politiquement par l’UE et une récession voulue également par la BCE qui, en plus, ne limite même pas l’inflation car elle n’est pas due aux salaires.
La Hyène étant partisane de la « Grande réinitialisation », cet effet de tenaille sur les méanges et les entreprises du monde matériel permet de les éliminer économiquent : mission accomplie.
La question est, face à cela, que fait la gauche et que font les syndicats : du sociétal comme le demandent les adeptes de Davos pour nous détourner des vrais problèmes. L’urgence actuelle est dans le social et l’effondrement des classes populaires et moyennes, avant de savoir qui peut devenir dirigeant des grandes entreprises en fonction de son histoire personnelle et des discriminations potentielles de toutes sortes. De toute façon, il, elle ou iel fera la même politique de destruction anti-sociale.
Mais pas de souci : nous seront remplacés par l’IA...
Bref, la dystopie en cours.