@Luniterre
allons, mon commentaire précédent est suffisamment explicite et répond à vos points
Evidemment, pas de rémunération de l’épargne, le mentionner est absurde !
la question est entre les cas 2 et 3.
je dirai qu’en gestion sans crise, c’est la simple dépréciation, en cas de crise grave, on peut être amené à une forme d’intérêt négatif.
Le but étant la recherche de l’équilibre économique avec une croissance contrôlé démocratiquement.
Mais qui dit équilibre, dit bien de pouvoir osciller entre créance et dette, car un équilibre statique est celui où il n’y a plus d’activité du tout. Par contre, un équilibre dynamique impose d’osciller entre les deux mesures mises en balance, soit donc, la créance et la dette.
Cela découle des lois de la physique qu’il suffit d’appliquer et dont l’IA peut être un outil fantastique tant qu’il est totalement transparent pour pouvoir être sous contrôle démocratique
Le socle de ce système, tout comme le pseudo libéralisme, est le principe du mérite personnel, qui interdit son exploitation par autrui à son profit. Plus votre mérite est grand, plus votre rémunération est grande, mais elle est calculé sur la base de différents éléments, tels que le besoin, la compétence et l’efficacité, Mais toutes les tâches automatisés n’entrent pas dans le calcul, excepté tout ce qui nécessite le travail humain, car seul les humains échangent leur temps de vie et le temps de vie est ce qui est compté.
Après, il faut bien entendu tenir compte des échelles, locales, régionales et globales. Tout comme cela implique une plus grande planification qui sera toujours perturbé par les aléas environnementaux et humains. Etc...
Bref, on est bien face à un changement de paradigme imposé par l’évolution des conditions environnementales dû à la démographie, l’interdépendance ou de la technologie.
L’élite prédatrice qui domine le monde humain ne se bat pas entre elle pour savoir s’il faut conserver le même système de prédation, mais de la meilleure manière d’y parvenir. Autrement dit, entre des blocs impérialistes ou bien revenir au cadre nationaliste tel qu’il était jusqu’au début du XXème siècle et avec les mêmes conséquences pour la population végétarienne ou productrice.