@Julian Dalrimple-sikes
Une guerre commerciale contre l’Asie
TTT s’en prend à tout le monde, en particulier à l’UE (« née pour nous faire du mal », selon le maître de cérémonie. Faux, car l’UE a été inventée par les Américains en 1957 pour garder l’Europe sous contrôle). L’UE exporte environ 503 milliards d’euros vers les États-Unis par an, tandis qu’elle en importe environ 347 milliards. Trump ne cesse de se plaindre de cet excédent.
Une vendetta de contre-mesures s’annonce donc inévitablement, comme l’a déjà annoncé la toxique Medusa von der Lugen à Bruxelles - soit dit en passant, le sponsor de tous les producteurs d’armes en Europe.
Mais le TTT est avant tout une guerre commerciale contre l’Asie. Des droits de douane « réciproques » - pas vraiment réciproques - ont été imposés à la Chine (34 %), au Viêt Nam (46 %), à l’Inde (26 %), à l’Indonésie (32 %), au Cambodge (49 %), à la Malaisie (24 %), à la Corée du Sud (25 %), à la Thaïlande (36 %), au Myanmar frappé par un tremblement de terre (44 %), à Taïwan (32 %) et au Japon (24 %).
Avant même le TTT, une première a été réalisée : le maître de piste a suscité un consensus unique entre la Chine, le Japon et la Corée du Sud, qui ont décidé de coordonner leur réponse.
Le Japon et la Corée du Sud importeront des matières premières semi-conductrices de Chine, tandis que la Chine achètera des puces au Japon et à la Corée du Sud. Traduction : Le TTT renforcera la « coopération de la chaîne d’approvisionnement » au sein de cette triade qui, jusqu’à présent, ne s’est pas montrée très coopérative.
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