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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

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  • Premier article le 17/07/2012
  • Modérateur depuis le 01/08/2012
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Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 17 février 14:04

    @Hervé Hum

    Une personne comme Musk n’apporte rien de positif sur le plan intellectuel, mais pousse plutôt vers la médiocrité intellectuelle. Pour autant, il est devenu l’homme le plus riche du monde en très très très peu de temps.

    Son apport personnel ne vaut pas le millième de sa fortune estimée.

    Dans une communauté, comme dit l’adage, il n’y a pas de sot métier, mais seulement de sottes gens. Lorsque les poubelles ne sont plus ramassés, les autres se rendent bien compte de leur utilité.
    .
    L’apport « intellectuel » dans une société qui se veut tendre vers la justice et la paix sociale ne porte pas sur l’intelligence, mais la conscience qui se définit pour moi comme le sens de l’action en conséquence de la connaissance et l’intelligence est alors son outil. Et chez moi, l’outil n’a d’autre raison d’exister que d’être utile à l’être, l’inverse c’est lorsque l’être est ou se réduit à la fonction d’outil, c’est à dire, devient esclave.



  • Hervé Hum Hervé Hum 17 février 12:38

    @Eric F

    Cela s’est détricoté après la fin des 30 glorieuses et surtout après la chute du soviétisme, la mondialisation financière étant devenu le modèle unique de société, du moins en apparence.

    Ne confondez pas la mondialisation financière de l’élite prédatrice, avec la mondialisation financière des salariés qui n’existe qu’à la marge.

    De mon point de vue, le capitalisme tel qu’il existe ne peut pas résister à la mondialisation sociale et le problème de la mondialisation financière, c’est qu’elle attire inexorablement la mondialisation sociale.

    Donc, leur unique solution est de provoquer le chaos financier et politique pour arrêter la mondialisation sociale.

    C’est ce que je considère comme la 1ère contradiction fondamentale du capitalisme, son inertie la pousse à la mondialisation, mais sa condition de survie lui interdit d’atteindre la mondialisation sur le plan social, car c’est alors la coopération qui devient l’ordre premier, directeur de l’économie et non plus la compétition qui devient un ordre secondaire, donc, qui obéit à l’ordre premier qu’est la coopération.



  • Hervé Hum Hervé Hum 17 février 12:26

    Bigre, la dame ne maitrisait pas grand chose du sujet quelle traitait pour ce que vous en rapportez.

    Déjà, il ne peut pas exister de communauté sans lois pour régir les relations entres ses membres. C’est physiquement impossible, puisque c’est la définition du chaos.

    donc, dans une communauté la liberté est toujours relative, parce que soumise aux lois qu garantissent l’ordre au lieu du chaos et peut être absolu que pour celui ou ceux qui imposent leur propre dictature, c’est à dire, les capitalistes !

    D’ailleurs, le seul rôle qu’elle reconnait à l’appareil d’Etat, c’est précisément celui d’imposer la dictature des seuls propriétaires, dont la propriété a été obtenue pour 99% par le vol via l’exploitation de la vie d’autrui à leur profit.

    Car si on considère que le but de la communauté est de permettre à chacun de ses membres de subvenir à ses besoins et que la production des biens est la somme de toutes l’activité de ses membres (positive+négative), alors, la richesse de chacun est en relation directe et déterminée par son rapport avec celle des autres en raison de l’apport de chacun à la production de richesse.

    C’est le principe du mérite personnel, qui a de sens qu’en communauté et qui par définition interdit son exploitation au profit d’autrui. Sauf que le capitalisme repose sur l’exploitation du mérite d’autrui à son profit, non du mérite personnel comme ordre premier, car savoir exploiter le mérite d’autrui à son profit n’est pas un mérite personnel au sein de la communauté, mais au dessus d’elle. Où seul la nécessité du chef de guerre (militaire ou économique) impose à une communauté de reconnaître un tel mérite personnel, pour mener la guerre.

    Mais le principe du mérite personnel implique la recherche d’équilibre économique et non de déséquilibre. Un équilibre dynamique étant une oscillation autour de la valeur recherché.

    Bref, la dame défend la liberté du petit nombre, qui fait travailler le grand, est nourrit par lui et le gouverne (Voltaire).



  • Hervé Hum Hervé Hum 17 février 11:38

    @Eric F

    de mon point de vue, le terme nazi convient parfaitement pour désigner les suprémacistes israéliens.



  • Hervé Hum Hervé Hum 16 février 09:53

    Bon, j’ai pas lu l’article, je passe juste déposer ma « crotte », sur le fait que l’auteur trouve qu’on parle trop des palestiniens victimes des israéliens nazis, mais jamais assez des juifs victimes des allemands nazis.

    C"est que le bougre défend les israéliens nazis.

    Bref, l’auteur aime bien les nazis lorsqu’ils s’en prennent à ce qu’il considère comme une bonne victime !

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