• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

Tableau de bord

  • Premier article le 17/07/2012
  • Modérateur depuis le 01/08/2012
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 21 7348 1183
1 mois 0 11 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 142 131 11
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 3 février 12:10

    @Luniterre

    Je ne confond rien, c’est vous qui biaisez mes commentaires pour vous permettre de leur faire dire ce que vous voulez

    J’ai déjà bien indiqué qu’il ne suffit pas d’avoir contracté une dette via un crédit pour être en dette, il suffit juste de ne pas avoir de moyens de moyens de subvenir à ses besoins pour être en dette, c’est ce que s’appelle une dette systémique, dû au simple fait que la propriété immobilière (donc, y compris l’outil de production) et monétaire est dans les mains d’un tout petit nombre.

    La créance est toujours nominative car elle est toujours dans la poche de quelqu’un, tandis que la dette est pour partie anonyme (suffit de ne rien posséder) et l’autre nominative.

    Autrement dit, toute dette qui est liée à une créance en terme monétaire, est une dette nominative,

    La différence entre l’ancien système que vous qualifiez de « classique » réside dans le fait qu’une partie de ce qui avant relevait de la dette systémique est passé en dette nominative.

    De mon point de vue, dès l’instant où je considère toute la population dans le cycle économique parce que nous sommes censé vivre dans la même société, la notion de relation causale entre le temps de vie dédié à autrui et le temps de vie détenu sur autrui ne repose plus sur la propriété et la détention du capital, mais sur le rapport d’équilibre entre le temps dédié et détenu. Cette gestion se faisant avec les bourses.

    Il ne s’agit pas de se passer des outils, mais d’en changer la finalité, quant à savoir comment ces outils doivent servir la société, qui implique d’en changer les réglages.

    Cela passe d’abord par revoir le sens de la relation d’équilibre relatif.

    Dans un article, je résume l’histoire de la sorte

    Pour la souveraineté, c’’était l’ancien régime nobiliaire et monarchique
    pour la propriété, c’est le régime actuel avec la bourgeoisie au sens capitaliste du terme et non pas au sens artisan où il y a un échange fondé sur l’action de production directe, donc, qui tend à être plus équitable.
    Et la responsabilité, qui est celui du végétarien ou salarié, qui voit une grosse partie des artisans dans ce groupe.

    Cela montre l’évolution au sens de la relation d’équilibre économique entre créance et dette, qui forment ensemble une relation d’intrication physique, mais avec une variable imaginaire qui fait fluctuer la relation d’intrication.

    Bref, le tableau est :

    Raison du pouvoir = souveraineté -> propriété -> responsabilité

    Forme de pouvoir = personnelle -> collégiale -> universelle 

     Equilibre du pouvoir = Devoir dominant -> droits domine -> droit = devoir



  • Hervé Hum Hervé Hum 3 février 09:04

    @Luniterre

    De mon point de vue, c’est vous qui retenez que ce qui vous arrange et non moi.

    Ainsi, depuis quelque commentaires je vous dis que, que ce soit avec votre capitaliste classique« et aujourd’hui disons »moderne", le capital, est toujours dans les mêmes mains, donc, la créance et donc la dette est toujours détenue par les mêmes, que ce soit au XIXème siècle ou aujourd’hui. La différence est qu’au XIXème siècle, il était plus difficile aux classes ouvrières d’avoir accès à l’argent, voir impossible, tandis que pour les capitalistes, cela ne posait pas plus de problèmes.

    Vous voyez que ce qui vous arrange, car vous oubliez juste que les conditions de vie et de travail de la classe ouvrière du XIXème sièlcle était incomparablement plus difficile qu’aujourd’hui et que la dette qu’ils payaient était donc bien plus élevé à l’époque.

     Vous ne maîtrisez pas le sujet ,car voyez vous, la dette peut être nominative et anonyme ou systémique.

    C’est à dire, qu’il suffit juste de ne pas disposer de monnaie et de moyens de s’en procurer par le travail pour être en dette. Et si le salaire que vous avez pour votre travail vous permet juste de maintenir votre force de travail, c’est équivalent au statut d’esclave où la dette est permanente.

    J’ai déjà fait l’effort de lire un article au moins de votre site et j’y avais posté un commentaire que vous dites n’avoir pas vu. C’est possible, mais je ne ferais plus l’effort supplémentaire ;

    Bref, salut...



  • Hervé Hum Hervé Hum 2 février 14:00

    @Luniterre

    Bref, votre idée de solution consiste à revenir au XIXème siècle ?!

    La « résultante », est très bien décrite dans le Capital de Marx et ce que vous dites est ce que Marx considère comme la contradiction fondamentale du capitalisme.

    Une dette existe que parce qu’il y a un créancier et toute analyse doit don se faire en considération des deux pôles en relation de causalité.

    Maintenant, il y a deux manière de voir l’évolution de l’économie, celle que les prédateurs humains et plus ou moins les autres formes comme les opportunistes et les parasites, qui tendent à vouloir maintenir leur domination ou capitalisme et celle qui respecte les végétariens et qui repose sur la recherche de l’échange le plus équitable possible.

    Autrement dit, entre l’exploitation du mérite d’autrui à son profit ou bien l’exploitation de son seul mérite personnel vis à vis de tous les autres , donc, où le profit vient de son apport à la collectivité, parce que l’intérêt général est la somme des utilités particulières à son accomplissement.

    C’est donc une relation causale dynamique.

    Ceci dit, j’ai très bien compris ce que vous dites, simplement mon point de vue est que peu importe la forme donnée à l’outil par celui qui en a le contrôle, ce qui compte, c’est quelle forme vous voulez que l’outil ait, selon le résultat escompté.

    Et pour ma part, ce n’est certainement pas le système « classique » capitaliste.

    Je raisonne en végétarien et non en prédateur, ce dernier, je cherche et trouve de savoir comment le domestiquer !



  • Hervé Hum Hervé Hum 1er février 14:55

    @Marc Dugois

    Allons, j’ai écris des articles et lors de mes commentaires, il me semble donner les éléments fondamentaux, mais si vous ne voulez pas les voir, vous connaissez l’adage, il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.J’en fais les frais depuis très longtemps !

    Bref, nul ne peut prétendre à plus de droits (monétaire et immobilier) qu’il accomplit de devoirs par lui même et nul ne peut se voir exiger plus de devoirs qu’il réclame de droits pour lui même.

    La mise en application de cette loi d’équilibre implique d’elle même ses propres conditions.



  • Hervé Hum Hervé Hum 1er février 14:48

    @Luniterre

    Personnellement, pour tout ce qui concerne la physique ou processus physique est fondé sur la reproductibilité d’une même relation causale, donc, qui découle du principe de causalité et lui seul. la logique reposant sur ses propres fondements.

    De fait, il y a de b-a ba que le principe de causalité. Par exemple, le pétrole est constitué d’atomes, les mêmes que ceux des gaz d’échappement. Alors, il y a des changement d’état qui s’opèrent avec le temps d’interactions, mais rien interdit qu’une partie des atomes des gaz d’échappements, après transformation d’état, ne reviennent pas à l’état de constituant de pétrole. Mais cela ne s’opère pas dans les mêmes temps géologique

    Aussi, vous avez raison à votre échelle, mais pas à une autre échelle, or, l’Univers est le contenant de toutes les échelles, vous ou moi en tant qu’humain, seulement au niveau de l’imaginaire, mais c’est le lieu où la causalité n’est pas maître, c’est vous, mais vous tout seul !!!!

    Votre raisonnement fait la négation du fait que l’entropie consiste dans la recherche de l’équilibre, mais qui se fait dans un mouvement dynamique qu’on appelle l’évolution et qui veut qu’il est impossible de passer d’une échelle à une supérieure sans trouver les lois d’équilibres de l’échelle en cours pour passer à la suivante. C’est comme imaginer pouvoir construire un immeuble sans s’être assuré de la stabilité des fondations !

    Quant à ce que vous dites du chaos, c’est de mon point de vue, le fait de votre ignorance L’élément de preuve étant que l’être et l’Univers dans son principe évolutif, implique le principe de la volonté, car le hasard ou le chaos seul ne peuvent en aucun cas expliquer l’évolution où la matière dites ’inerte" passe à la matière vivante.

    Le chaos ne peut pas engendrer l’ordre sur la base d’un principe entropique qui tend vers le désordre, donc, qui suppose être déjà dans le chaos.

    C’est une aporie du raisonnement, on ne peut pas aller là où on est déjà, c’est totalement absurde !

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv