Yannick Harrel

Bonjour,

Dans toute cette affaire, et quelque soit le résultat de cette votation populaire, le fin mot de l’histoire demeure que la « réforme » est engagée et que même un refus massif des urnes n’y fera rien. En somme plus le temps avance, moins on prend la peine de masquer les décisions arbitraires et contraire à l’intérêt général. C’est cela qui est effrayant : que les démocraties Européennes (car il faut avoir un champ de vision plus large que la France) fonctionnent désormais comme des machineries avec leur logique broyante propre. 

Arrivera tôt ou tard le moment où le peuple n’aura plus qu’un cruel dilemme en guise de choix : accepter de passer au marteau-pilon social ou reprendre son destin en mains à l’encontre de ceux qui l’ont trahi. Dans les deux cas, il n’y aura rien d’agréable.

Cordialement

Bonjour Fergus,

Merci pour votre visite.

Lorsque vous parlez de la tombe de Kosciusko, faites vous référence au tertre érigé de façon légèrement excentré à Cracovie / Kraków (une ville qui m’est très chère, au même titre que Saint-Pétersbourg) ?

Cordialement

Bonjour,

Pour plus de renseignements sur le sujet, veuillez vous référer à cet ouvrage : http://nsa09.casimages.com/img/2009/10/02/mini_091002032307665269.jpg

Cordialement

Bonjour,

Merci pour votre intervention.

Le fait est que les raisons qui ont poussé les occidentaux à mettre la Biélorussie au ban des nations ont subitement disparu du jour au lendemain. Les mêmes qui la main sur le coeur refusaient de parlementer avec les tenanciers d’un régime qu’ils désignaient comme dictatorial en sont venus à tendre cette même main pour inviter la Biélorussie en leur cénacle ! Amusant de constater que l’on peut transiger avec des principes présentés antérieurement comme intransigeables...

Pour le reste, je me fonde sur mon expérience de terrain et je puis vous affirmer que la Biélorussie est un pays bien tenu, bien géré et que la majorité de la population ne souhaite pas de révolution, des évolutions certes (et elles ont déjà franchi le seuil de la porte) mais pas le chaos politico-économique qui a ruiné la Russie et qui mine sempiternellement l’Ukraine, ses voisines. 

Cordialement

Bonjour,

Cet article m’a fait penser à « Profession Stagiaire » de Guillaume Evin et d’Emilie Maume. Ou comment un processus destiné au départ à permettre l’insertion progressive de futurs diplômés (n’oublions pas que les stages étaient l’apanage des écoles d’ingénieurs à leur origine) s’est massifié au point de créer un phénomène incontrôlable et dévalorisant (un comble !).

Cordialement