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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

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  • Premier article le 17/07/2012
  • Modérateur depuis le 01/08/2012
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 29 octobre 2024 21:55

    Désolé, je ne vois pas le rapport entre une situation imprévue et problématique (qu’il faudrait décrire pour le moins) et Bernard Arnault ?

    Bernard Arnault répond au contexte de ses propres intérêts et non des votre. Par contre, votre intérêt peut être de servir Bernard Arnault, pas l’inverse.

    Comprenez ou pas une chose, le fait que la richesse d’un Bernard Arnault repose sur le temps de vie humaine qu’il peut acheter pour accroitre son propre temps de vie, car si on peut multiplier sa richesse matérielle, on ne peut pas multiplier son propre temps de vie en rapport à cette même richesse. Même si des milliardaires comme Bezos investissent dans la recherche de l’immortalité, cela ne les sauvera pas du néant. La richesse matérielle n’a aucun intérêt, aucune valeur sans un personnel pour l’entretenir et vous servir. Un palace sans domestique est votre aliénation, sauf à se replier et vivre dans une dépendance. Il faut du personnel qui dédie son temps de vie à vous servir, c’est cela la vrai richesse.

    Maintenant, un pays dont le personnel administratif connaît bien son travail et où le niveau de vie permet une stabilité sociale, avec une constitution qui pare au défaut de gouvernement pour faire tourner la machine sur la base déjà établie et ayant fait ses preuves, peut se passer plus ou moins longtemps d’un gouvernement qui fait voter des lois, mais se contente de gérer comme on dit les affaires courantes.

    Bernard Arnault n’a rien à faire la dedans et cela prouve même qu’il est inutile au bon fonctionnement de l’économie et de la société.

    Bon ce sera mon dernier commentaire, car vous me fatiguez !!!

    Bonne nuit



  • Hervé Hum Hervé Hum 29 octobre 2024 14:12

    @Maître Yoda

    Disons que votre situation telle que vous la décrivez est le verre à moitié plein ou vide. Vous, vous le voyez à moitié plein !

    Mais demandez à ceux qui l’ont vide. Vous savez, on est en manque que de ce qu’on ne dispose pas en suffisance. Mais ne croyez pas que le système qui permet à Arnaud de capitaliser autant de la vie d’autrui à son profit ne vous impacte pas indirectement. Seulement, à la manière de l’impôt, on remarque que ce qui nous touche directement et presque pas ce qui agît indirectement. Ainsi, personne ne se plaint de la TVA ou des prélèvement abusifs de son banquier (une banque est un outil, pas une personne).

    De mon point de vue, l’économie capitaliste n’est pas faites pour répondre aux besoins de toute la population, mais uniquement des capitalistes où les autres sont pour eux des serviteurs et la variable d’ajustement de l’économie. Qu’ils s’amusent de caricaturer en parlant de « ruissellement » tant ils sont persuadés d’avoir affaire à une classe dites laborieuse totalement idiote et très facile à manipuler. Ce qui est hélas vrai pour beaucoup.

    Sinon, je me réclame d’aucun courant de pensée spécifique humaine, ni même de Dieu.

    Je me réclame de la pensée spécifique du principe de causalité et de lui seul lorsque je traite d’un sujet de la réalité physique. Car c’est elle qui en est la maitresse quasi absolue, même Dieu doit s’y soumettre volontairement ou renoncer à la réalité.

    Sachez que le principe de causalité est impossible à violer, travestir, manipuler par celui qui en connaît les lois fondamentales et les suit strictement, sinon, c’est qu’il prend ses désirs pour la réalité. Mais il peut par contre manipuler ceux qui ne le connaisse pas !



  • Hervé Hum Hervé Hum 29 octobre 2024 11:55

    @Maître Yoda

    Concernant le fond idéologique, qu’il y ait une part d’indétermination dans la société me semble plutôt positive. Dans la jeunesse, on peut passer de mauvais boulots à de moins mauvais boulots et finalement on aura peut-être la chance un jour de découvrir notre ikigaï (notre raison d’être). La liberté permet cela, mais beaucoup moins l’égalité.

    Disons que je parle ici de l’égalité des droits et non pas de l’égalité des capacités ou qualités qui sont propre à chacun. A charge à chacun de les mettre en valeur.

    La liberté étant ce qui permet à tout un chacun de vivre en adéquation avec sa nature d’être ou tout au moins, d’aller vers elle par exemple en changeant de boulot comme vous dites. Mais c’est une liberté relative.

    Sauf qu’en société, il y a de liberté absolue que celle du souverain ou de ceux qui disposent d’une réserve monétaire ou immobilière lui permettant de choisir et plus ces moyens sont grand, plus la liberté sera grande. Et inversement !

    Mais une société sur le plan économique qui se veut juste, peut reposer que sur la liberté relative, fondée sur le principe du mérite personnel et non celui de savoir manipuler et exploiter celui d’autrui à son profit comme avec le système actuel.

    A partir de là, la question est de savoir quels sont les critères qui déterminent l’accès à la liberté de chacun.

    Disons que par principe, la liberté s’arrête là où se pose la question de celle d’autrui. Si la réponse est négative, la liberté doit être garantie, dans le cas contraire il faut toujours rechercher le compromis, sauf si l’un abuse de l’autre à sens unique

    Etc...



  • Hervé Hum Hervé Hum 29 octobre 2024 11:09

    @Zolko

    Les plantes poussent « ex-nihilo » ?

    Cela dépend de ce que vous entendez par « ex-nihilo » qui veut dire sortir du néant.

    Car lorsque je plante une graine, elle va pousser en se nourrissant de son environnement et non pas du néant.

    Sauf si la définition du « néant », n’est pas l’absence de toute chose....



  • Hervé Hum Hervé Hum 29 octobre 2024 11:01

    @Marc Dugois

    Le problème de notre discussion est que vous ne tenez pas compte d’un point essentiel ;

    Qui possède la réserve monétaire et donc, libère la monnaie comme le barrage produisant l’électricité de la réserve d’eau, libère l’intensité ?

    Ce sont les banquiers des banques centrales qui ont le pouvoir de produire de la monnaie sans limite théorique (et non les banques qui sont des outils et non des êtres) , et les banquiers des banques commerciales avec une limite conventionnelle (oublions la faillite de l’emprunt) mais si elles en produisent au delà de l’équilibre entre l’offre et la demande, il y a surtension et le système soit grille, soit disjoncte.

    Alors, il y a de grandes différences de formes entre la monnaie et l’électricité et le rapport à l’énergie exprimé en joule ou travail humain (temps de vie dédié), mais fondamentalement, le principe reste identique. Notamment le fait sur lequel vous insistez beaucoup, c’est à dire, la disponibilité de l’énergie humaine, mais qui ne fait pas défaut pour l’instant vu la démographie et la puissance des machines qui décuplent l’énergie humaine. Se pose pour l’instant surtout la disponibilité des ressources de matières premières à moyen et long termes et du rapport à l’environnement.

    En aucun cas cela remet en cause ce que vous dites sur la nécessité de passer à un modèle économique en recherche d’équilibre et non plus d’une croissance qui ne fait que mieux préparer l’effondrement à venir. Mais de mon point de vue, ce qu’il faut considérer en premier, c’est toujours le rapport entre l’offre et la demande car c’est là que se trouve toujours l’équilibre entre deux valeurs qui s’annulent lorsqu’elles sont équivalente. Ici, lorsque la dette = la créance.

    Donc, la limitation de l’argent vaut au niveau de l’échange et non pas au niveau de la réserve qui porte sur savoir qui la détient.

    Dès l’instant où vous pouvez produire théoriquement autant de monnaie que vous voulez, c’est vous qui décidez de la quantité et de sa limite. Or, comme la réalité de la monnaie est le fait des règles ou lois de gestion économique, pour que sa valeur soit réelle, la condition absolue est que la partie dette existe, car c’est elle qui donne toute sa valeur à la créance.

    Bref, pas de dette, pas de créance tout comme, pas de tension, pas de courant. L’intensité étant la monnaie en circulation et non pas en épargne.

    La question qui se pose alors est la nature de cette dette et sa légitimité dans un système qui se veut juste sur le plan de l’équité de l’échange, sur la base du principe fondamental qu’est le principe du mérite personnel qui interdit par définition son exploitation par autrui. Bbase fondamentale du capitalisme et qui donne sa valeur à la propriété. Sans la capacité de la propriété à prélever l’impôt privé, elle est vide de sens, sa valeur est alors réduite à sa valeur d’usage.

    Le principe de la propriété ne peut pas être supprimé sans lui trouver une valeur de substitution au moins égale. Ce qui est le cas du principe de responsabilité qui lui est supérieur. Ce dernier à des avantages et malheureusement des défauts, mais aujourd’hui, c’est l’avantage qui domine pour résoudre les crises actuelles liées à l’accaparement des ressources via la détention de la monnaie et des moyens de productions qui alimente la réserve monétaire en permanence.

    en résumé, le problème avec une masse monétaire pléthorique est lorsque celle-ci sert à un petit nombre à faire travailler le grand nombre, être nourrit par lui et le gouverner (dixit Voltaire). Où donc, le grand nombre est alors la variable d’ajustement économique du petit nombre dont l’économie toute entière sert exclusivement à leur permettre de satisfaire à leurs besoins et toutes leurs aspirations secondaires, mais pas pour les autres.

    Bref, c’est le fait d’un système de prédation et qui n’a rien de démocratique, c’est strictement impossible, sauf dans l’imaginaire, mais là, ce n’est pas le principe de causalité qui commande, c’est l’être qui est le maitre. Et tout l’art est alors de savoir convaincre les autres imaginaires que le sien est le bon, donc, de contrôler l’imaginaire collectif.

    Vous pouvez vérifier, l’argument fondamental des pseudos libéraux, même les plus dur pour justifier de leur domination est le principe du mérite, mais impersonnel, celui de savoir exploiter le mérite d’autrui à son profit.

    Il suffit alors de mettre en valeur la différence pour rendre caduque toute leur argumentation, mais ils ont beaucoup de chance, leurs opposants sont la plupart des idiots utiles, croyant les combattre, ils soutiennent l’instrument de leur domination via le nationalisme et une souveraineté qui ne sera jamais celle du peuple, sauf si et seulement si, le principe d’universalité de la condition humaine est imposée devant la souveraineté des nations et consubstantiellement, le principe du mérite personnel qui en découle.

    Etc....

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