Hervé Hum

@karim

Il n’y a pas de légitimité de la terre en dehors de celle que l’on se donne à soi même et des voisins qui le reconnaissent, de gré ou de force.

La terre appartient à celui qui s’y impose par la force, car il y a de loi que celle du plus fort.

Maintenant, si vous voulez une légitimité supérieure, appelez à votre Dieu, exactement comme les israéliens le font. Car à défaut de l’entendre de vive voix, chacun affirme qu’il lui a parlé à lui pour lui donner sa légitimité !

@Jean Keim

Profitions de ce moment d’harmonie tant salutaire !

Bonne journée

@Giuseppe di Bella di Santa Sofia

Et bien j’en suis certes surpris mais positivement !

Concernant l’ONU, bien au contraire, son utilité est primordiale. Son incapacité à gérer les conflits ne réside pas dans l’absence de règles pour résoudre les conflits armées, mais dans le fait de ne pas disposer de la force d’application, car étant l’apanage de ses membres ou justiciables. Les plus forts se plaçant au dessus de la loi ou droit international.

La preuve étant qu’aucun dirigeants qui sont pour moi des prédateurs de leur propre population ne respectent le droit international où seuls les plus faibles sont arrêté par les plus forts.

Bref, seuls les citoyens de tous les pays peuvent mettre au pas leur propre élite prédatrice pour les contraindre à se conformer au droit international quant au respect des droits individuels contenus dans la charte des droits humains.

Ce qui est contradictoire avec le principe de la souveraineté des nations qui ne peut pas exister vis à vis du droit international et lui est totalement contraire. Pour preuve, aucun individus à l’intérieur d’un pays peut invoquer sa souveraineté sur sa propriété privé dès lors où il est soupçonné de cacher et commettre un crime. La police, voir l’armée l’obligera à rendre les armes et à se soumettre à la loi commune. Sauf au niveau du droit international. Mais un principe vaut quelle que soit l’échelle.

C’est cette contradiction dans les termes qui rend caduque l’ONU, mais placez la souveraineté en dessous des droits individuels et imposez le respect du droit international et vous pouvez régler tous les problèmes actuels et mettre fin aux guerres qui sont alimentés par ces prédateurs, car c’est le seul argument pour obtenir la soumission volontaire de leur population. Il en existe pas d’autres.

La communauté juive est en train de se diviser en deux (schisme qui avait résisté à des milliers de séparation à travers le monde) qui s’opposent frontalement et fondamentalement. L’une est universaliste et bienveillante, avec une moralité et éthique exemplaire qui fait mon admiraition. L’autre s’affiche suprémaciste et sans morale ni éthique. Autant je respecte et admire l’une, autant je méprise l’autre. Seule la première préservera la communauté juive de l’antisémitisme, l’autre s’en nourrit. La première prône l’amour de son prochain, l’autre la haine. L’une sert Dieu, l’autre le malin.

Et il serait faux de croire que le soutiens actuel des dirigeants occidentaux luttent contre l’antisémitisme, ils utilisent la communauté juive pour leur propres intérêts et n’hésiteront pas à abandonner les israéliens si demain leur intérêts le leur recommande où seuls la partie de la communauté juive qui fait preuve d’empathie sauvera alors ceux qui se sont cru au dessus des autres.

@Jean Keim

Dire que « ce qui se conçoit bien, s’énonce clairement », ne veut pas dire que cela s’explique en quelques mots ou phrase. Tout dépend du sujet.

Ainsi, lorsque j’écris que la réalité physique est le lieu commun de tous nos imaginaire, c’est une phrase énoncé clairement, mais pouvez vous la comprendre pour autant sans plus d’explication ?

Visiblement non pour la plupart des gens, malgré le fait que tout un chacun en fait l’expérience à chaque instant de sa vie depuis sa naissance.

Ainsi, chacun s’imagine être autre chose que ce qu’il est à l’instant où il l’imagine (c’est énoncé clairement), mais dès lors où il cesse de rêver, il doit bien se résoudre à son état réel. Pour faire de son rêve une réalité, il devra alors obligatoirement en passer par les lois qui régissent son monde et qui sont le lieu commun de tout le monde. Si ce n’était pas nécessaire, alors son rêve deviendrait réalité par le simple fait d’y penser et si c’était pareil pour tout le monde, comme je l’ai écrit, on ne partagerait plus grand chose en commun.

Bref, pour corriger un mode de pensé collectif, il ne suffit pas d’énoncer clairement ce qui se conçoit bien, parce que le principe même du déni est de refuser tout ce qui est contraire à sa propre croyance. Et là, en général, seul l’état d’urgence extrême arrive à faire sortir du déni, c’est à dire, lorsque le choix est entre vivre ou périr. Avant ce choix binaire absolue il est rare qu’une personne change de conviction. J’en fais l’expérience au moment même où j’écris !

Par exemple avec un sujet brûlant de l’actualité, les gens appellent à la souveraineté des nations, alors même que c’est cette souveraineté qui met en péril la civilisation humaine telle qu’on la connaît et la question est alors de savoir si la prise de conscience se fera avant ou après, donc, trop tard.

@Giuseppe di Bella di Santa Sofia

J’oubliai, quand je vois écrit que la création d’Israël étant le fait d’une colonisation ne devrait pas exister, je prend la défense d’Israêl, du moins, dans ses frontières de 1967, celles reconnus légalement par la quasi totalité des membres de l’ONU qui garantit le plus la sécurité de tous les pays, car reposant sur la reconnaissance mutuelle.

Or, le but non avouable est de dissoudre l’ONU pour des raisons qui dépassent le cadre restreint de l’épuration ethnique de Gaza et autre Cisjordanie.