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easy

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59 ans
Eurasien
Déçu

Tableau de bord

  • Premier article le 17/11/2009
  • Modérateur depuis le 16/07/2010
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Derniers commentaires



  • easy easy 27 décembre 2012 20:35

    Après les Mosos, je propose un autre point de perspective.
     
    La fidélité.

    Posons que notre situation actuelle, pour mille ontologies, soit fidéliste.
    Je ne la qualifie pas, je dis seulement que nous sommes majoritairement fidélistes.

    Posons un autre fait brut :
    hormis les détails de contraception, un sexage entre homme et femme produit souvent une preuve neuf mois plus tard. Une infidélité est donc traçable.

    Un Croisé partait guerroyer pendant deux ans et quand il revenait, il pouvait avoir la preuve que sa femme l’avait trompé mais n’avait pas la preuve que son mignon en avait fait autant.

    L’hétérosexualité serait donc toujours ressortie comme étant plus porteuse du fidélisme (et du mariage qui le contractualise) que l’homosexualité

    De plus, l’enfant né fait certes preuve fidéliste en lui-même mais il peut de surcroît servir de mouchard. Un conjoint encombré de gosses a déjà fort à faire avec eux mais il est également fliqué par eux. Le chien n’est pas loin de jour fortement ce rôle de flic.

    Les homos, s’ils passent fidélistes (pour x raisons) se retrouvent avec un problème insoluble 
    Si un des deux part bosser pendant trois mois à l’étranger, le fidélisme du couple n’est prouvé par rien. 

    Tout cela n’est jamais dit mais chacun le sent et ça le tend 

    Les hétéros fidélistes vont à considérer que leur nature et activité familiale, chien compris, est fidéliste et que la nature de la relation homo ne peut pas l’être du tout. Ça peut constituer une des raisons de leur refus de permettre aux homos d’accéder au mariage pour tous (qui, je le répète, n’était pas religieux à l’origine de ce principe) 

    Les hétéros non fidélistes peuvent n’en avoir rien à faire de leur image non fidéliste mais les autres en souffent. Les homos fidélistes chercheraient donc à rejoindre le mariage des hétéros en ce qu’il est plus naturellement fidéliste et chercheraient aussi à avoir des enfants (ou des chiens) pour augmenter les paramètres qui contraignent à la fidélité, qui aident à surpasser une dispute.

    En effet, un couple homo sans enfants ni chien ni entreprise commune (Bergé & YS Laurent) peut se séparer pour une broutille. S’ils sont fidélistes, ils ont besoin de bloquer leur relation en la reliant à des objets ou projets ou affects communs, y compris via des tiers.




    Là dessus arrive, à pas de loup, un nouveau paramètre qui va faire surface dans peu de temps à mon sens : la puce moucharde des câlins.

    Les médecins légistes améliorant tous les jours leurs outils de détection des moindres fellations, la puce moucharde des moindres sexages ne va pas tarder à pointer son nez.

    Elle va tout bouleverser.

    Car pour l’instant, hétéros et homos jouent encore de la poésie. Trompé, pas trompé, fermer les yeux, hurler, consenti, forcé, tout ça c’est encore de la poésie que chacun peut interpréter selon ses besoins et opportunités.

    Lorsque la puce sera disponible et qu’elle enregistrera les tensions autant que les flotes hormonaux, qu’elle soit à s’enfiler de gré ou de force, ce sera la fin de la poésie.
    Le mariage sous puce deviendra un contrat fidéliste dur.

    Si dur que beaucoup n’en voudront plus.

    Mutatis mutandis, c’est comme le billet de banque. Si un jour il devenait puçable, s’il pouvait raconter par où il est passé, plus personne n’en voudra. 



  • easy easy 27 décembre 2012 19:51

    Correction de ***mélange radialement et centipètement en profondeur***
    Lire : mélange radialement centrifugement et centripètement en profondeur



  • easy easy 27 décembre 2012 19:45

    ***** il s’agit pour eux « d’extraire et exploiter » des informations contenues dans des textes pré-digérés au travers « d’activités » formatées où les réponses sont dans le texte. Voilà *****

    Excellente synthèse !

    Et en effet, je pige que vous en soyez devenu prof de linguistique

    (Tiens, précisons un détail. Un gosse issu d’exotique ne peut que mal vivre le gavage du génie Blanchiste et apprécierait que ses profs mettent à l’honneur des inventions de nègres. Tel notre feu tricolore. Fouillez le Net sur ce sujet et vous découvrirez les milliers d’inventions faites par des exotiques. Vous les diriez en classe, vous provoqueriez une émulation automatique) 



    L’éolienne

    Lorsqu’il n’y a pas de mur-cône, le cylindre bouchon est entouré d’un vent laminaire. Les molécules périphériques de ce cylindre (qui sont insensées) sont progressivement entraînées entraînées par le vent directionnel (qui ralentit en ce miroir) et reprennent de la vitesse. Le bouchon serait plutôt très lent au centre du bouchon cylindrique et plutôt rapide sur ses bordures. Cette réaccélération sur les bordures est à très faible débit tant la couche miroir est mince. Cette couche miroir ne s’épaissit et ne s’élargit en diamètre qu’assez loin derrière l’éolienne. Il faut des centaines de mètres pour que tout redevienne homogène et à vitesse du vent
    L’évacuation du bouchon ne se fait par mélange en cylindre élargi que loin derrière. Le bouchon reste très présent juste derrière l’hélice.
    Nos éoliennes sans mur sont très bouchées en dépit des apparences. 


    S’il y a un mur cône, le bouchon est entouré de molécules moins agitées que lui. Sans pression dynamique, non pénétrantes.

    L’air agité et dynamique en bazar du bouchon peut plus facilement pénétrer cet air immobile et se mélanger immédiatement à lui. Comme il s’y mélange radialement et centipètement en profondeur il y gradient et non plus plus miroir comme dans le cas sans mur et la diffusion des mouvement, des énergies, des cinétiques, se fait très facilement 
    Le bouchon dynamique se voit offrir un hémisphère d’expansion où se décharger immédiatement. Il n’y a pas nécessité de reprise de vitesse directionnelle pour évacuer. C’est une évacuation par extension sphérique avec facteur cubique donc.
     

    La décharge du bouchon est plus rapide derrière un mur-cône

    De combien ?
    Je ne le sais pas.


    Ici, nous avons réfléchi sans formules. Nous avons portant découvert le bouchon et nous avons pu progresser vers la solution en comprenant bien que ce sera l’expérience avec des bouts de ficelles et cartons qui nous prouveront ce qu’aucun calcul d’aucune formule du XIXème ne peut déterminer. (Nos calculateurs seraient capables d’anticiper le résultat mais seulement s’ils sont formatés par des expériences du même genre, donc par similarité. Non par l’application de seules formules du XIXème) 

    (Les expériences à bouts de ficelle -ensuite reformatées sous allures de formules pour la jouer docteur- ont déjà prouvé l’avantage qu’apporterait un cône arrière raisonnable autour des éoliennes. C’est à l’arrière qu’est le problème et c’est pareil pour les hélices de bateau).

    (Un cône concentrateur avant serait sans intérêt) 


    Le plus important ici c’est de voir que nous pouvons aller très loin en raisonnant à la manière de Pythagore ou d’Aristote et que les formules toutes faites ne débouchent pas tous les bouchons. 

    La bombe atomique française est entrée dans les ordinateurs par l’expérience. Le calcul avait certes prédit que ça chaufferait fort mais n’avait pas prédit le champignon et encore moins sa forme.
     
    Il ne faut pas que les TP prouvent la formule, ils doivent l’enrichir et la modifier. C’est capital pour progresser. 

    Je vous suis reconnaissant d’avoir compris le sens de notre expérience et d’avoir joué le jeu sans manières.



  • easy easy 27 décembre 2012 16:33

    Ici, nous apprenons à réfléchir en nous passant des formules.
    J’estime que notre malheur vient d’une part de ce que les enfants sont trop fortement scolarisés et que cette scolarisation est formuliste, empilement de formules.

    J’estime que nous y gagnerions à enseigner à nos enfants la pensée formuliste et aussi la pensée intuitive + raisonnée selon la logique aristotélicienne ou avicennienne (sans a priori).

    On explore nos intuitions qu’on sait trompeuses en procédant de raisonnements sans a priori donc dans toutes les directions, sans complexe, sans gêne ni honte puis on les vérifie en procédant du principes de subsomption (que pratiquent vivement les moines tibétains) 



    Le cylindre d’air arrière de l’éolienne est perturbé, tourbilonnant. Les miettes d’air partent dans toutes les directions, latérales, inverses, etc...
    Cette masse n’a plus de vitesse unidirectionnelle.
    Elle forme une masse presque immobile globalement
    Elle forme alors bouchon pour la masse du cylindre amont

    Il faut éliminer le plus vite possible le bouchon arrière pour améliorer le passage du cylindre amont
     
    Nous voici à mi-chemin de la réponse

    Et la question devient :

    Quelles sont les conditions les plus favorables à l’évacuation du bouchon arrière : avec le mur cône ou sans le mur-cône ?



  • easy easy 27 décembre 2012 15:41

    Je vous félicite pour votre fair play Rémi

    Epurons en posant que la présence du mur ne crée aucune turbulence sur le cylindre d’air qui se présente face à l’éolienne.
    Ce qui serait plus certain si ce mur était un peu cônique vers l’arrière de l’éolienne. Alors pourquoi pas.
    Ainsi, avant ou après l’ajout de ce cône géant à grande gueule arrière, on aurait exactement le même vent se présentant face à l’éolienne.

    Alors ?

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