frédéric lyon

Cet article donne, une fois encore, l’occasion de dénoncer les activités de la cinquième colonne, qu’accompagne la médiocre cohorte des kollabos.

Leurs ennemis sont toujours les mêmes : les américains, les juifs et les démocraties.

Un élément nouveau par rapport aux années Trente, cependant :

Les principaux soutiens du fascisme se trouvent aujourd’hui au sein d’une communauté allogène, qui est entrée en France par la fraude et qui a importé chez nous ses haines raciales et des conflits qui ne concernent pas les français.

Ils crachent sur notre pays, ses dirigeants et ses institutions.

Ils crachent sur nos alliés.

Certains d’entre eux sont allés clandestinement combattre nos propres soldats, les armes à la main.

Tôt ou tard, il faudra traiter ce problème car la République ne peut pas réchauffer de vipères en son sein.

Encore un article écrit par une Kollabo, à moins qu’il ne s’agisse, plus simplement, d’un membre de la cinquième colonne, camouflée derrière un pseudo qui sent bon la Grèce antique.

La population française ne veut pas de cette immigration afro-arabe, tout le monde le sait : les gens n’en veulent pas dans leur rue, ni dans les magasins, ni dans les bars, ni dans les restaurants, ni dans les boites de nuit qu’ils fréquentent.

Les patrons n’en veulent pas non plus. Ils ne fournissent pas de travail à ces immigrés, qui n’ont aucune qualification et ne comprennent rien aux principes de fonctionnement de l’économie, habitués qu’ils sont aux vols et à la rapine, et le taux de chomage des populations immigrés est deux à trois fois supérieur au taux de chômage des français.

Tout le monde le sait aussi, ce qui n’empêche pas les collabos et la cinquième colonne de prétendre « qu’on les a fait venir ».

Avait-on fait venir la Wehmacht ? Pour qu’elle puisse piller notre pays ?

Les français ne veulent pas de leurs enfants dans les écoles fréquentées par leurs enfants. Si l’enseignement confessionnel pouvait aujourd’hui répondre à toute les demandes, l’enseignement public se viderait.

On s’en tire tout bonnement en refusant à l’enseignement confessionnel toutes les autorisations de construire de nouvelles classes qu’il dépose après de l’administration.

Ils n’en veulent pas dans les quartiers qu’ils habitent, à tel point qu’on veut contraindre les Maires à les accueillir quand même, par toutes sortes d’obligations d’accueil, baptisées pudiquement : « mixité sociale ».

Tout le monde sait que les français n’en veulent pas, y compris l’auteur de cet article !

La démission d’ Ari Larijani, le négociateur iranien, indique que nous approchons, cahin caha, de l’heure de vérité.

Car l’entêtement des jusqu’auboutistes iraniens ne conduit pas seulement à la chute du régime des ayatollahs, qui réjouirait beaucoup de monde en Iran, mais entrainerait aussi le démembrement de ce pays, qui n’existe que dans l’imagination de quelques uns, un pays qu’on appelle « Iran » (« Le Pays des Aryens »), et dont la moitié de la population n’a rien « d’Aryen » puisque ce sont des turcs colonisés par les Perses avec la complicité des Russes.

Le seul risque est que les ayatollahs soient assez intelligents pour mettre les pouces pendant qu’il sera encore temps, contrairement à Saddam Hussein qui est allé tout seul au pied de son gibet.

Cette affaire est en effet une occasion en or et si les ayatollah s’échappent de la nasse, comme Larijani les y invite, l’occasion ne représentera peut-être pas de si tôt.

Il est vrai que nous pouvons compter sur les fanatiques pour tirer sur les cordes jusqu’à ce qu’elles cassent.

Attendons avec espoir.

La cause palestinienne commence à lasser l’opinion publique mondiale, en effet.

Les attentats islamistes, qui ensanglantent tous les continents, ne sont pas pour rien dans le dégout qui saisit la terre toute entière et dans l’affaiblissement de la cause palestinienne dans le Monde.

Mais ne savions-nous pas, dans le fond, que ces crétins tireraient sur la corde jusqu’à ce qu’elle casse ? Les fanatiques ne savent jamais jusqu’où ils peuvent aller sans aller trop loin. Et bien nous y sommes aujourd’hui.

La question politique palestinienne va trouver sa solution dans la création d’un Etat arabe en Palestine, à côté de l’Etat d’Israël, dans les conditions qui avaient été prévue par les Nations-Unis, il y a soixante ans.

Soixante années de crimes et de guerres illégales contre l’Etat d’Israël, pour quoi ? Pour rien.

Et maintenant, de quoi vivra la population de cet Etat palestinien ? La solution politique qui se prépare en coulisse ne donnera pas de réponse à cette question.

Les Israëliens ont construit un mur de protection, car ils ne veulent pas que des crétins suicidaires plantent des bombes dans leurs autobus et ils refuseront désormais de donner du travail aux arabes de Palestine, comme auparavant.

Toute la population arabe de Gaza et de Cisjordanie ne survit aujourd’hui que grâce aux rations alimentaires fourni par les Nations-Unis !

Les palestiniens vivront de la charité internationale pendant quelques années, puis cette manne s’épuisera elle aussi. Par lassitude, une fois encore.

Ils n’en étaient pas locataires, ils sont de simples envahisseurs arrivés au huitième siècle. Ils peuvent donc très bien en être expulsé, tout comme ils ont été expulsés d’Andalousie.