Les domestiques de l’islamisme ne se résignent pas à la victoire de la démocratie en Irak, qui n’a jamais pu être remise en cause, depuis cinq ans !
Les chiites et les kurdes d’Irak ont été libérés, ils ne seraient pas longs à couper les couilles de tous ceux qui prétendraient le contraire et qui préfèrent prudemment venir gasouiller sur Agoravox, plutôt que d’aller sur place leur expliquer que « c’était bien mieux avant » !!
A la niche.
Quant aux sunnites d’Irak, ils ont le choix : la valise ou le cercueil. On voit qu’ils hésitent !
Les canailles d’extrème-gauche n’aiment pas qu’on dise la vérité.
Ils ont tué, et ils tueront encore, que peuvent-ils faire de plus ? La dernière sortie de Fanny Ardant, qui se dépêche de s’allonger par terre lorsqu’elle constate, à sa grande surprise, que sa déclaration d’amour tombe sous les coups de la loi, est là pour nous montrer que le meurtre fait partie d’une certaine culture politique.
La culture politique du fascisme, dont l’extrème gauche est l’une des branches aujourd’hui. Et de loin la plus meutrière.
Les ligues fascistes d’extrème gauche ne sont que des groupuscules qui n’ont jamais eu AUCUNE chance de jouer un rôle politique quelconque dans une démocratie comme la France.
Et je dis bien : JAMAIS.
Et je ne parle que de jouer un rôle, car il est encore plus exclu qu’elles parviennent un jour au pouvoir.
Dans ces conditions, mes petits messieurs, à quoi jouez-vous entre vous ?
Quels sont vos buts ? A quoi servez-vous ?
Et ce pauvre Alain Krivine, le juif « antisioniste » de service, à quoi joue-t-il ? Il n’a pas pu apprendre à jouer du violon ?
Et le petit facteur ? Quand prend-il le temps de distribuer le courrier ?
L’anachronisme et le ridicule ne tue pas en France, voilà pourquoi vous existez encore. Vous salissez la gauche, à laquelle vous n’appartenez pas, et vous ne manquez jamais non plus de la poignarder dans le dos, quand vous pouvez,
Pensez-vous qu’on allait vous faire grâce ?
Votre place est dans les poubelles de l’Histoire, avec vos amis du PC et vos alter ego du Front National.
Il est important que l’extrème-gauche de Besancenot et de Jacques Doriot soit isolée de la gauche, qui est sociale-démocrate et qui a vocation à gouverner avec le Modem.
Le changement du mode de scrutin est un préalable incontournable, car le scrutin majoritaire à deux tours favorise la stratégie d’union de la gauche, tandis qu’un scrutin avec une bonne dose de proportionnelle fera du Modem un partenaire incontournable du Parti Social-Démocrate, pour former une majorité parlementaire.
Quant aux ligues fascistes d’extrème-gauche, elles se contenteront de faire ce qu’ont toujours fait les ligues fascistes en France : casser des virines ou des abris-bus,
Et pourquoi pas brûler des voitures et des écoles à l’occasion d’une émeute raciale en Seine-Saint-Denis ? Car après tout, ne sont-ils pas « antisionistes », eux aussi ?
Le choix porté devant les électeurs doit être un choix clair. Or, qu’y-a-t-il de commun entre Besancenot, Arlette et l’ivrognesse, auxquels on peut rajouter Mélanchon, Emmanuelli et consorts, d’une part, et DSK, Bockel, Kouchner, Besson, Lang, Hirsh, d’autre part ?
Les premiers sont des fascistes qui se disent « anticapitalistes », alors qu’ils ne sont qu’antidémocrates, ou « antisionistes » alors qu’ils ne sont que des antisémites, prêts à faire un bout de chemin avec les islamistes.
Tandis que les seconds sont des démocrates, attachés aux principes du libéralisme politique et économique, et, pour la plupart, sont des juifs !
Dans ce cas leurs électeurs respectifs ne doivent plus à se mélanger. La démocratie exige la clarté.
La « jeunesse », c’est à dire la lie, rejoindra le premier parti qui s’affichera ouvertement comme un parti fasciste en France, et le nouveau parti « radical » de Besancenot semble un excellent candidat.
Nous allons enfin vers la clarification du débat à gauche et vers la séparation de la gauche sociale-démocrate de la gauche extrémiste, celle qui se dit « antilibérale », « antisioniste » ou « anticapitaliste » et qui est en fait antidémocrate, antisémite et violente : la gauche qui finit toujours à Fleury-Mérogis, après avoir brûlé des bibliothèques, des écoles ou des voitures.
Cette gauche fasciste, la gauche héritière de Pierre Drieu la Rochelle, de Marcel Déat et de Jacques Doriot, finira dans les poubelles de nouvelles kollaborations.
La stratégie de l’Union de la gauche est morte, place à l’alliance des démocrates sociaux et des socio-démocrates.
L’instauration d’un scrutin incorporant une dose de proportionnelle aux législatives permettra de l’enterrer.