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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

Tableau de bord

  • Premier article le 17/07/2012
  • Modérateur depuis le 01/08/2012
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Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 31 mai 11:16

    @olivier cabanel

    Ah bon, et c’est quoi alors la fumeuse « taxe carbone » ?

    C’est pas le droit à polluer en fonction de contribution en argent. Donc, selon vos moyens financier, vous avez le droit de polluer l’air et si vous n’avez pas les moyens financier, vous avez le devoir de ne pas polluer l’air.

    C’est ainsi que ceux qui peuvent acheter une voiture neuve aux normes antipollution ont le droit de circuler et les autres non. Sachant que les véhicules électriques polluent au moins autant que les voitures thermique, mais pas ailleurs.

    Et si Ursula a été réélu à la tête de la commission, elle le doit aux partis écologistes.



  • Hervé Hum Hervé Hum 31 mai 09:52

    Cet Arthur Keller ne maîtrise pas le sujet qu’il traite, loin s’en faut.

    Je vais pas tout reprendre, juste cette phrase pour l’illustrer. Son problème étant de raisonner avec le même mode de pensé qui a engendré le problème que l’on veut résoudre (dixit Einstein)

    "nous n’avons jamais eu autant d’argent, et il faudrait mettre des limites à ceux qui en ont déjà beaucoup trop »

    L’’argent fiduciaire et maintenant numérique peut être produit en autant de quantité que l’on veut, donc, ce qu’il dit est absurde, puisque la création monétaire se fait aujourd’hui en appuyant sur un clavier d’ordinateur. C’est alors sa valeur qui trouve une limite et elle est liée à la réalité physique des ressources naturelles et la capacité productive à un instant t, en terme de machine et de temps de vie humaine dédiée à la production. Où la notion de PIB est une escroquerie pure et simple et n’a pas lieu d’être en dehors du système actuel de prédation de la vie d’autrui à son profit, fondement du capitalisme depuis des milliers d’années.

    Quand aux limites de ceux qui en ont déjà beaucoup trop, tout repose sur la séparation de l’économie en trois niveaux. L’économie des riches, l’économie de la classe moyenne et l’économie des pauvres ou de subsistance.

    La politique de lutte contre le changement climatique et la pollution dans le système actuel capitaliste, repose exclusivement sur la monnaie, c’est à dire, entre la partie créance et dette où celui qui détient la monnaie possède la créance et celui qui n’a pas de monnaie possède donc la partie dette. Cette dernière est donc une dette systémique, car il ne suffit pas d’avoir un crédit à rembourser, il suffit juste de ne pas avoir de monnaie dans sa poche pour être en dette, puisque sans argent, vous ne pouvez pas acheter quelque chose, donc, devez vous employer pour cela, soit en louant votre temps de vie soit en volant autrui ;

    En terme juridique, la créance prend alors la valeur du droit et la dette du devoir.

    Autrement dit, l’idée, défendu par les écologistes se disant de « gauche » (des idiots très utiles pour ceux qu’il prétendent combattre), est alors que le droit de polluer se fait par l’achat monétaire de ce droit et l’incapacité d’acheter du droit à polluer équivaut au devoir de ne pas polluer ;

    Pour faire bonne mesure, il est donné à chacun un droit à polluer annuel où ceux qui sont contraint par la nécessité, n’auront alors pas d’autre choix que de vendre leur droit à ceux qui peuvent l’acheter.

    Bref, le principe est que ceux qui capitalisent la monnaie disposent du droit à polluer et ceux qui n’en ont pas, possèdent alors le devoir de ne pas polluer.

    Autrement dit, les riches ont le droit de polluer l’air des pauvres et ces derniers le devoirs de ne pas polluer l’air des riches.

    Et tout est bien dans le meilleur des mondes capitalistes, c’est à dire, de prédation de la vie.



  • Hervé Hum Hervé Hum 30 mai 13:01

    @olivier cabanel

    La souveraineté est exclusive, n’admet pas d’autorité supérieure, or, dès lors où vous êtes là à vous lamenter du réchauffement climatique mondial ou de la guerre et d’en appeler au respect du droit international, vous raisonnez en parfait idiot, incapable de voir son erreur et d’en tirer les conséquences. Je vous en ait fournit une argumentation élémentaire, mais je n’ai pas lu que vous en fassiez la réfutation, non, vous l’ignorez, parlant de « karma » !!!

    Vous persistez juste à confondre l’outil et celui qui en a le contrôle, tout en disant qu’on apprend de ses erreurs.

    L’unanimité existe déjà, elle est toute entière dans la charte des droits humains, le hic étant qu’il y a le ver dans le fruit, c’est à dire, la souveraineté des nations qui rend caduque tout le reste du contenu de la charte. Car soit c’est l’individu qui est l’ordre premier, soit c’est la souveraineté du souverain et qui donc place l’individu comme ordre secondaire, donc, victime de son souverain.

    C’est de la logique élémentaire, mais elle est implacable dans la réalité, sauf dans l’imaginaire, mais parce que chacun peut décider de la causalité, il n’y a plus de lieu commun, donc, le droit des individus dépend de celui qui détient le pouvoir à l’intérieur de son pays en tant que détenteur de la souveraineté .Et c’est valable quel que soit le domaine ou l’échelle.

    vous écrivez "a plupart des immondes salauds ont mal terminé leur vie...et la justice les rattrape un jour ou l’autre...et je plains ceux qui en échappent, car leur karma est en décomposition...

    désolé, mais vous confondez l’exception avec la règle. La plupart des « immondes salauds » échappent à la justice humaine et ont même des statues à leur gloire. Mais surtout, la plupart des immondes salaud ne s’exposent pas à la lumière de nos jours, ils travaillent plutôt dans l’ombre et évitent de s’exposer à la lumière. Ces immondes salauds vivent dans des palaces, voyagent en jets privés ou sur des yachts de plus de 50m de long.

    Les seuls salaud qui sont poursuivies sont comme je vous l’ai écrit, des petits chefs n’ayant pas la protection des grands chefs mafieux. Quant au karma en décomposition, c’est possible, mais alors, pourquoi donc vous insurger contre l’injustice ?



  • Hervé Hum Hervé Hum 30 mai 08:59

    @olivier cabanel

    Il y a une différence entre se tromper et persister dans son erreur alors même qu’on écrit des articles dans l’intention d’avertir sur les tromperies.

    Bref, comme vous l’écrivez « chacun sait que ce sont nos erreurs qui nous ouvrent les yeux », sous condition précisément de ne pas rester dans son erreur parce qu’on dit par ailleurs ’« adorer se tromper ».

    Si vous ne voyez pas l’absurdité de votre raisonnement et qui est seulement la conséquence de tous vos raisonnements du « en même temps », les complotistes qui nous manipulent et nous gouvernent n’ont pas de soucis à se faire, la cohorte d’idiots utiles qui croient les combattre se chargent de leur assurer leur domination en maintenant les cogito dans ce qu’on appelle l’état de sidération, c’est à dire, affirmer une chose et son contraire « en même temps ».

    Par exemple, appeler au respect du droit international et en même temps (Macron est un spécialiste) à la souveraineté des Etats qui sont depuis toujours uniquement celle de l’élite prédatrice de chaque pays et jamais celle des citoyens. Où les dirigeants étant vis à vis du droit international les justiciables eux même, revient à demander au chef de mafia qui contrôle les forces de polices et de l’armée de s’arrêter lui même pour se mettre à la disposition de la justice. Seuls les petits chefs ou délinquants peuvent être arrêtés par les gros chefs mafieux, mais jusqu’à preuve du contraire, aucun gros chef mafieux s’est arrêté lui même pour aller se faire juger et condamner. Regardez de Bush à Poutine ou Netanyahou pour ne citer que des gros chefs mafieux, tous se rient de la justice de l’ONU ou de la CPI, mais sont parfois disposé à arrêter un petit délinquant qui ne sert par leur intérêt.

    Alors, est ce un jugement de ma part ? Il s’agit plutôt d’un constat amer qui peut être vu comme une sorte de jugement.



  • Hervé Hum Hervé Hum 29 mai 18:57

    @olivier cabanel

    ben si, justement, vous vous trompez et je vous l’explique clairement.

    Sans cela, vous n’attaqueriez pas l’OMS en tant qu’outil de gestion de crise pour les pandémies, mais seulement sa gouvernance.

    Vous vous trompez chaque fois que vous parlez de l’Etat à fait ceci, à fait cela, alors qu’il s’agit d’un outil dont l’usage dépend de ceux qui en ont le contrôle, le gouvernement constitué d’humains.

    vous vous trompez chaque fois que vous parlez de telle multinationale à fait ceci ou cela, alors qu’il s’agit toujours d’un outil dont là encore l’usage dépend de ses actionnaires et directeurs chargés de collecter l’impôt privé que sont les dividendes et autres valorisation boursière.

    Bref, vous arrêterez de vous tromper et de tromper les autres lorsque vous ne parlerez plus de telle multinationale ou Etat à fait ceci ou cela, mais uniquement de leur dirigeants ou actionnaires.

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